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Jours tranquilles à Paris
17 novembre 2018

Le Festival Woodstock va faire son grand retour

"Trois jours de paix, de musique… et d'amour". Lancé en août 1969, le Festival de Woodstock, concert sauvage emblématique du mouvement hippie, s’apprête à faire son come-back.

Août 1969, Etats-Unis. La petite ville de Bethel, située dans l’Etat de New York, accueille un regroupement de hippies, venus assister à un concert en plein air : c’est le Festival de Woodstock. Fondé par Michael Lang, jeune producteur, John Roberts, jeune entrepreneur, Joel Rosenman et Artie Kornfeld, deux producteurs, le succès de l’événement est tel que ses organisateurs sont contraints de le rendre gratuit dès le premier jour. La scène accueille plusieurs personnalités phare de la musique, aujourd’hui considérées comme des icônes, à commencer par Jimi Hendrix, Janis Joplin ou encore The Who. La bonne nouvelle ? Selon Page Six, le festival pourrait bientôt faire son come-back. Le site officiel du festival laisse présager un retour pour les 50 ans de l'événement avec un mystérieux message et il se murmure même que Michael Lang rechercherait actuellement le lieu. Affaire à suivre de très près.

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11 novembre 2018

11 novembre 2018 - Gay Pride dans les rues d'Hanoï (Vietnam)

10 novembre 2018

Sous l'Arc de Triomphe, Femen dénoncent la venue de “criminels de guerre “

7 novembre 2018

Vogue Fashion Festival 2018, l’événement mode incontournable de l’automne

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4 novembre 2018

La Route du Rhum

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Route du Rhum 2018 : l’envol vers l’inconnu des Ultimes

Par Clément Martel, Saint-Malo, envoyé spécial - Le Monde

Les géants des mers, les Ultimes, trimarans de plus de 30 mètres équipés d’appendices leur permettant de décoller, vont se disputer la victoire sur la 11e édition de la course qui commence dimanche.

A Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) , tous les concurrents célébrant les quarante ans de la Route du Rhum sont rassemblés dans le bassin Vauban, au pied des fortifications érigées par l’urbaniste de Louis XIV. Tous ? Non, car si les Imocas, Multi 50, Class 40, Rhum Multi et Monos composent une flotte bariolée, qu’admirent les nombreux badauds, la catégorie reine manque toutefois à l’appel : géants des mers, les Ultimes, des trimarans de 100 pieds de long (plus de 30 mètres), sont installés à l’écart.

L’écart, ces bolides des mers devraient le creuser rapidement avec le reste des 123 concurrents au départ, dimanche 4 novembre, de la onzième édition de cette transatlantique en solitaire, reliant Saint-Malo à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe. Leur potentiel de vitesse fait prévoir une traversée en six jours, voire moins – là où le record établi par Loïck Peyron il y a quatre ans était de 7 jours 15 heures 8 minutes 32 secondes.

Le premier affrontement des bateaux volants

Vieux d’un à trois ans, ou reconfigurés pour certains, ces navires vont s’affronter en compétition pour la première fois de leur jeune histoire. Pour leurs skippeurs, tous ténors de la course au large – Armel Le Cléac’h (Banque populaire), Sébastien Josse (Edmond de Rothschild), François Gabart (Macif), Thomas Coville (Sodebo) et Francis Joyon (Idec) –, il s’agira également d’un galop d’essai avant de se lancer dans la première course en solitaire en multicoque autour du monde, la Brest Oceans, en 2019.

« Il y a un plateau exceptionnel en Ultime cette année, savoure Sébastien Josse, dont le maxi-trimaran Edmond-de-Rotschild est l’un des derniers-nés de la flotte. Mais ce qui marque, c’est que ça va être la première course en solitaire sur des bateaux volants. » Pour la première fois en quarante ans de la mythique transatlantique, plusieurs de ces formules 1 des mers sont équipées de foils, ces appendices élévateurs permettant de s’extraire de l’eau et d’augmenter drastiquement la cadence.

« On a commencé par faire “voler” les bateaux sur quelques milles, en baie. Ensuite, on a fait de même pour les bateaux de la Coupe de l’America, sur des courts parcours. Et désormais, on va leur faire traverser l’Atlantique en vol avec un seul homme à bord », synthétise l’architecte Vincent Lauriot-Prévost du cabinet VPLP, où ont été conçus la majorité des “bateaux volants” actuels.

« Personne n’a d’expérience là-dessus »

Cette évolution a tout du saut dans l’inconnu. Car la plupart des skippeurs explorent le potentiel de leur monture. « Personne n’a d’expérience là-dessus. On progresse crescendo, en apprivoisant le bateau comme le pur-sang qu’il est, éclaire Sébastien Josse. On doit réapprendre des réflexes, car on ne navigue pas de la même manière sur un bateau volant qu’à bord d’un trimaran de l’ancienne génération. »

« Quand le bateau est en mode archimédien – quand il flotte de manière classique –, il tape chaque vague, prolonge François Gabart, qui a fait équiper de foils son maxi-trimaran Macif, avec lequel il a pulvérisé le record du tour du monde en solitaire en 2017. Puis, quand on s’élève au-dessus de l’eau, on s’affranchit de cette traînée due à la portée d’Archimède. Le bateau accélère, tape moins dans les vagues. Il n’y a plus de bruit, à part le petit sifflement des foils, moins d’à-coups et le bateau est capable d’accélérer. Cette sensation est fabuleuse. »

Affranchis du frottement des vagues, les Ultimes dernière génération peuvent atteindre des vitesses de pointe dépassant 80 km/h. « C’est comme activer un mode turbo, s’exclame Armel Le Cléac’h. On a un peu l’impression de planer. Et il faut trouver l’équilibre pour que le bateau reste sur ce mode-là et évite de retomber dans l’eau et d’être trop instable. C’est à la fois passionnant et pas évident, car sur ces immenses bateaux, quand l’état de la mer se durcit, l’équilibre est de plus en plus compliqué à trouver. »

Le Finistérien de 41 ans sait de quoi il parle. A la barre du plus récent des Ultimes, il a chaviré en avril, perdant son mât et de longs mois d’entraînement.

« En Ultime, on y va sur des œufs », rappelle Christian Le Pape, directeur du pôle Finistère course au large, qui a rassemblé quatre des cinq navires en stage à Port-la-Forêt à l’automne :

« Ce sont des bateaux fiables, capables de faire un tour du monde, mais l’instabilité d’un multicoque restera toujours une réalité physique : ils peuvent se mettre à l’envers. »

« Dès qu’on sort de l’eau, on va deux fois plus vite »

Confessant son admiration pour les bateaux volants, le vétéran du multicoque Francis Joyon (62 ans) a « modestement acheté un kitesurf à foil » pour tester la technologie. Et constate : « dès qu’on sort de l’eau, on va deux fois plus vite. » Mais rendre volant son Idec, double tenant du titre (Groupama, en 2010, devenu Banque-Populaire-VII en 2014), « l’aurait alourdi de presque deux tonnes, ce qui aurait été très cher payé parce qu’on ne peut pas voler dans toutes les conditions ».

Il s’est donc « contenté de soulager un peu plus » son navire en équipant notamment le safran de plans porteurs, à l’instar de ses concurrents. « Mais on ne sortira jamais complètement de l’eau. » Pour autant, à l’instar de Thomas Coville, dont le Sodebo a aussi été reconfiguré, le vétéran n’entend pas céder le passage aux bateaux volants. « J’ai le bateau le plus puissant de la flotte, conçu pour naviguer dans le vent du mauvais temps des 40es rugissants et des 50es hurlants », prévient-il, souriant.

Les dernières prévisions météo vont dans le sens de celui qui a bouclé le tour du monde en quarante jours (en équipage). « C’est sûr que les premières quarante-huit heures, voire les trois premiers jours, on va commencer directement par la haute montagne », avertit Armel Le Cléac’h. De quoi brider les ailes des plus aériens des navires.

L’inconnue des réactions physiques des skippeurs

Difficile dans ces conditions de dégager un favori. D’autant qu’outre l’inconnue matérielle, les réactions physiques des skippeurs face aux vitesses annoncées ne restent que théoriques. « On n’a aucune référence, martèle Christian Le Pape. Il faut être réaliste, quand il y a une pointe à 47 nœuds (87 km/h), ça peut avoir des implications viscérales. Parce que ce sont des chocs qui peuvent entamer la carcasse. Mais où est la limite ? On n’en sait rien. »

Pour Vincent Lauriot-Prévost, « le marin qui sait dormir quarante nœuds seul sur son multicoque a un avantage sur ceux qui ne l’ont pas encore expérimenté. Et aujourd’hui, le seul à l’avoir fait, c’est François Gabart lors de son tour du monde en solitaire. » Et l’architecte de rappeler l’importance de l’expérience dans les courses en solitaire :

« Ceux qui ont le plus expérimenté les conditions qu’ils vont rencontrer, et connaissent un peu les limites de leur bateau, seront les mieux placés à l’arrivée. »

« Dans les années qui viennent, tous les bateaux vont être amenés à voler, conclut François Gabart. C’est une certitude, mais on commence par les multicoques parce que ça reste les plus faciles aujourd’hui à faire voler. » Comme ses congénères, le skippeur a hâte de déployer les ailes de son navire.

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19 septembre 2018

Techno Parade - 20 ans !

techno parade

http://www.technoparade.fr/

La Techno Parade s’apprête à célébrer ses 20 ans samedi 22 septembre, un anniversaire symbolique qui marque 20 ans de musiques électroniques et de combat pour leur reconnaissance en France.

Tout commence en février 1996 avec l’annulation de la soirée Polaris à Lyon. Dans un contexte de diabolisation des musiques électroniques et d’évènements annulés, plusieurs acteurs du secteur décident de s’allier en fondant l’association Technopol, créée pour venir en aide sur le plan juridique aux organisateurs d’événements et pour revendiquer le droit de faire la fête.

Parallèlement, Jack Lang découvre la Love Parade à Berlin et souhaite développer l’initiative en France. Très vite, Technopol s’empare du projet : l’idée d’une manifestation, à la fois militante et festive, en complément des actions menées par l’association, naît dans les têtes des organisateurs.

La première Techno Parade voit le jour samedi 19 septembre 1998. Elle rassemble 36 chars et plus de 200 000 participants et devient ainsi le plus grand rassemblement des musiques électroniques de France.

Trois mois après la victoire des bleus en juillet 1998, Paris connaissait un nouveau moment de liesse dans ses rues avec le rassemblement de plusieurs centaines milliers de personnes réunies autour de la cause des musiques électroniques.

2018. L’histoire se répète. La France arbore fièrement sa deuxième étoile et la Techno Parade s’apprête à fêter non moins fièrement 20 années de manifestation pour une prise de conscience des médias, du grand public et des institutions.

Si des avancées notables, une éclosion et une diversification d’événements de musiques électroniques sont à constater, cette édition anniversaire sous le défilé aura ses griefs. La circulaire Collomb entraînant la facturation des forces de l’ordre aux organisateurs de festivals et les annulations répétées – et sans justification particulière – de nombreux évènements à dominante techno restent des freins conséquents au développement du secteur.

C’est donc de manière toujours aussi militante que le plus grand événement national dédié aux musiques électroniques soufflera sa 20ème bougie avec au programme une dizaine de chars qui résonneront aux rythmes des sons techno, house, trance, drum’n’bass ou hardcore.

Le parcours :

Quai François Mitterrand

Quai du Louvre

Quai de Mégisserie

Quai de Gesvres

Quai de l’Hôtel de ville

Quai des Célestins

Boulevard Morland

Pont Morland

Quai de la Râpée

Pont d’Austerlitz

Bd de l’hôpital

Place d’Italie

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9 septembre 2018

Festival du Cinéma Américain de Deauville

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9 septembre 2018

Mostra de Venise : le Lion d’or pour « Roma » du Mexicain Alfonso Cuaron

Par Véronique Cauhapé, Venise, Italie, envoyée spéciale - Le Monde

Le jury présidé par le Mexicain Guillermo del Toro a récompensé ce film, favori des critiques et du public. C’est une première pour Netflix, qui distribue le long-métrage.

La 75e édition de la Mostra de Venise a attribué son Lion d’or à Roma, le très beau film du cinéaste mexicain Alfonso Cuaron, samedi 8 septembre, lors de sa cérémonie de clôture. Favori de la critique italienne et internationale, mais aussi du public, ce film très personnel en noir et blanc entraîne dans le sillage de son couronnement un autre grand vainqueur : son distributeur, Netflix. Une première qui fera date.

Jamais en effet la plate-forme américaine de streaming n’avait obtenu la plus haute récompense de l’un des trois festivals de cinéma européens majeurs (Cannes, Venise et Berlin). Roma n’avait d’ailleurs pas été présenté au printemps à Cannes. Netflix avait boycotté le festival français, dont les organisateurs imposent aux films sélectionnés de respecter un délai obligatoire de trois ans entre la sortie en salles et la diffusion sur une plate-forme de vidéo.

« Aujourd’hui est l’anniversaire de Liba, la femme qui a inspiré le rôle de Cleo [l’héroïne du film], ce sera un cadeau d’anniversaire », a déclaré Alfonso Cuaron en recevant son prix pour ce film émouvant tiré de ses souvenirs d’enfance. « Ce prix est le témoignage de mon amour pour toi Liba, et pour mon pays », a ajouté le cinéaste oscarisé en 2013 pour son épopée spatiale Gravity.

Pour Netflix, cette récompense a presque valeur de revanche. D’autant que le prix du scénario a été attribué au western de Joel et Ethan Coen, The Ballad of Buster Scruggs, le deuxième des trois films Netflix (avec July 22, de Paul Greengrass) en compétition cette année à la Mostra. Jeudi 6 septembre, Netflix s’était déjà offert une première puisque c’est un de ses films, Outlaw King : Le roi hors-la-loi, de David Mackenzie, qui avait donné le coup d’envoi du Festival international du film de Toronto. Autant dire que la plate-forme semble d’ores et déjà bien partie dans la course aux Oscars.

Un autre western a été récompensé par le jury présidé par le cinéaste mexicain Guillermo del Toro (dont le film The Shape of Water avait reçu le Lion d’or 2017) : Les Frères Sisters, de Jacques Audiard, premier film en anglais et à la verve américaine du cinéaste, avec Joaquin Phoenix et John C. Reilly, a été honoré du Lion d’argent de la meilleure mise en scène.

Part belle pour les films de genre

Les films de genre et les films d’époque se sont taillé la part belle lors de cette 75e édition. Ils en sortent couverts de récompenses. The Favourite, film sulfureux du réalisateur grec Yorgos Lanthimos, qui met en scène le combat des femmes de la cour pour le pouvoir sous le règne de la reine Anne, dernière des Stuart, a reçu le Lion d’argent-Grand Prix du jury et la Coupe Volpi de la meilleure interprétation féminine remise à Olivia Colman. Autre long-métrage en costumes, The Nightingale de l’australienne Jennifer Kent, seule femme réalisatrice en compétition, a reçu deux récompenses, malgré l’accueil frileux que lui a réservé la critique : le Prix spécial du Jury et le Prix Marcello Mastroianni du jeune acteur émergent pour le comédien aborigène Baykali Ganambarr.

La Coupe Volpi du meilleur interprète masculin a récompensé l’acteur américain Willem Dafoe, époustouflant Van Gogh dans At Eternity’s Gate, de Julian Schnabel, film dont on regrette qu’il n’ait pas été plus récompensé. Ont également reçu le Lion d’or pour l’ensemble de leur carrière, l’actrice britannique Vanessa Redgrave et le cinéaste canadien David Cronenberg.

3 septembre 2018

« The Ballad of Buster Scruggs », western des frères Coen, présenté à la Mostra de Venise

Par Véronique Cauhapé - Le Monde

Le film se découpe en six récits sur l’Ouest américain. Un joyeux ballet où l’humour noir règne en maître, sans esquiver l’émotion.

L’Amérique a créé le western ; l’Italie, le western spaghetti ; Ethan Coen et Joel Coen, leur propre anthologie du genre.

Elle se nomme The Ballad of Buster Scruggs, se découpe en six chapitres à travers lesquels sont repris avec une ironie folle, les épisodes, les paysages, les chansons, et les personnages culte dont le cinéma s’est fait la gloire durant plusieurs décennies. Cette longue histoire du western a imprégné la rétine des frères Coen, et les a conduits à ce film, qui a été présenté en compétition officielle, vendredi 31 août, à la Mostra de Venise. Ainsi peuvent-ils dire aujourd’hui que ce long-métrage, ils l’ont au fond commencé, il y a vingt-cinq ans, l’élaborant au fil de brefs récits.

Six récits au total sur l’Ouest américain, différents dans le ton et par les personnages qu’ils mettent en scène (un cow-boy solitaire qui chante, un cul-de-jatte itinérant qui raconte des histoires, un chercheur d’or…), mais unis par une même créativité, qu’elle s’applique aux dialogues ou aux effets visuels et techniques.

The Ballad of Buster Scruggs, c’est un peu Butch Cassidy qui rencontrerait Laurel et Hardy ; John Ford qui croiserait les Marx Brothers ; et Lucky Luke, les frères Coen. En mieux encore. Puisque tout ce joyeux ballet, où l’humour noir règne en maître, n’esquive pas l’émotion.

Film à sketchs revendiqué

Annoncé et conçu au départ comme une minisérie de six heures pour Netflix, The Ballad of Buster Scruggs est donc devenue un film à sketchs de deux heures, comme n’hésitent pas à le qualifier leurs auteurs, en hommage aux longs-métrages italiens des années 1960 auxquels participaient plusieurs réalisateurs. Ce changement de format a été la surprise de la journée à Venise.

C’est pourtant bel et bien cette version de deux heures que le public pourra découvrir sur la plate-forme de streaming d’ici à la fin de l’année, aux Etats-Unis et probablement dans la plupart des pays, mais aussi en salles. En France, tout dépendra de sa sortie dans les cinémas – ou pas –, puisque si tel était le cas, le film devrait attendre trois ans avant d’être disponible sur Netflix, conformément à l’actuelle chronologie des médias.

Quant aux six heures de la série qui ont été produites, rien n’a été annoncé sur leur devenir. Pour leur part, Ethan Coen et Joel Coen ont estimé important que Netflix ait accepté la sortie en salles de leur film, afin que le public « puisse le découvrir sur grand écran ». Ajoutant qu’il était important aussi « de bénéficier de sociétés qui financent et fassent des films en dehors des circuits conventionnels ». « Elles contribuent à garder vivant nos créations. Plus il y en a, mieux c’est », a conclu Joel Coen.

« The Ballad of Buster Scruggs », film américain d’Ethan et Joel Coen. Avec Tim Blake Nelson, James Franco, Liam Neeson, Zoe Kazan (2 h 12). En 2018 sur Netflix aux Etats-Unis.

1 septembre 2018

Festival de Deauville

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Deauvilleofficial : Around Sandrine Kiberlain - , president of the jury - Sarah Giraudeau, Alex Beaupin, Leila Slimani, Leila Bekhti, Sabine Azema, Stephane Brizé, Xavier Legrand, Pierre Salvadori.

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