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Jours tranquilles à Paris
7 juillet 2018

Festival Beauregard

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4 juillet 2018

Rencontres d'Arles - Matthieu Ricard

2 juillet 2018

Festival Photo de La Gacilly

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DSC_4355Reportage photographique : J. Snap

 

30 juin 2018

Gay Pride 2018 - Paris

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A Paris, un cortège de tête animé pour repolitiser la Marche des fiertés

Par Pierre Bouvier - Le Monde

Plusieurs centaines de personnes ont dénoncé, samedi, le racisme dont sont victimes les LGBT issus des minorités, la dépolitisation de la Gay Pride ou la présence de marques voulant améliorer leur image.

Ils étaient plusieurs centaines, membres de plusieurs associations, à s’être placés devant le défilé officiel de la Marche des fiertés 2018 (Gay Pride), entre la place de la Concorde et celle de la République, samedi 30 juin. Line, Florence ou Olivia, Jonas ou Camille, tous participaient cortège de tête à l’appel d’un collectif rassemblé autour du mot d’ordre « Stop au Pink Washing ». Bien décidés à faire entendre une autre musique que celle proposée par les organisateurs : « Les discriminations au tapis, dans le sport comme dans nos vies ! »

Comme lors de la manifestation du 1er mai, où un cortège ne se reconnaissant pas dans les slogans officiels des syndicats s’était formé, les participants dénonçaient l’organisation de la Pride 2018. Dans son appel à manifester, le collectif rappelait ses buts : « Lutter contre les multiples politiques homonationalistes et racistes, dont le discours officiel de la Marche des fiertés se fait le relais. »

« Ah, donc vous voyez les couleurs ? »

Un groupe de quelques dizaines de personnes « queer et trans racisées [personnes victimes du racisme systémique] et en non-mixité » ouvrait ce cortège. Jonas en est le porte-parole : « Notre initiative est venue du fait que le racisme n’est pas abordé, la Pride porte un message racisé. » Tous brandissent des panneaux sur lesquels sont écrits : « Passage piétons aux couleurs arc-en-ciel. Ah, donc vous voyez les couleurs ? » ou « Drapeaux arc-en-ciel dans vos rues, profilage racial dans nos rues ». Jonas en veut pour preuve la présence du Flag [l’association de policiers et gendarmes LGBT]. Et il assène : « On est la partie précarisée de la communauté LGBT. »

Florence (le prénom a été changé à sa demande), du collectif Irrécupérables, affirme que « l’action d’aujourd’hui est historique : à Paris comme en province, on a pris la tête de cortège. On refuse le discours de la ville qui se dit progressiste et récupère nos luttes ». Elle dénonce le mot d’ordre de l’interLGBT : les Gay Games et au-delà, les Jeux olympiques de 2024. Pour elle, « l’homophobie dans le sport n’est pas une question vitale ».

Camille L., membre du CLAQ (Comité de libération et d’autonomie queer, collectif féministe trans-pédé-bi-gouine insurrectionnel qui a pour objectif de combattre toutes les oppressions) explique la présence de son groupe par le besoin de prendre position contre le rétrécissement des politiques, pour dénoncer, comme en 2017, la présence de La République en marche dans le défilé. « On parle de PMA [procréation médicale assistée], de droits des trans mais les organisateurs de la Pride ne veulent pas rentrer dans un rapport de force contre le gouvernement ». Il dénonce la tentative de récupération du mouvement par la majorité, avec l’Assemblée nationale pavoisée aux couleurs arc-en-ciel.

« Les lesbiennes qui portent le foulard : qui en parle ? »

A propos du cortège mené par les « LGBT racisé.e.s », Florence (Les Irrécupérables) affirme que ce sont eux qui sont invisibles : « Elles et ils ont pris la tête de cortège parce que personne ne leur donne la parole : ils l’ont prise et on les soutient. » Elle affirme que la forme absolue de l’homophobie consiste à dire qu’il n’y a pas de LGBT noirs, musulmans ou arabes :

« Elles et eux subissent l’homophobie et le racisme au faciès, vivent deux discriminations. Moi, lesbienne, je peux trouver un travail. Les lesbiennes qui portent le foulard : qui en parle ? On ne veut pas les voir, pourtant, elles existent. »

Olivia, de l’association FièrEs revient sur les raisons de cette action destinée à dénoncer la dépolitisation de la Marche des fiertés, la présence de marques comme Tinder ou Mastercard, et le « pinkwashing dont se rend complice l’interLGBT », dénonçant elle aussi le mot d’ordre des Gay Games, sans revendiquer la PMA, sans slogans contre le sida. On veut rendre « la Pride antiraciste, anticapitaliste, féministe, on veut lui rendre sa dimension politique ».

Au niveau de la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides, le cortège de tête s’est arrêté et a fait face au cortège officiel, lui lançant des slogans tels que « Pas de pinkwashing dans nos fiertés », provoquant une certaine incompréhension des participants venus pour l’ambiance festive du reste de la Marche de fiertés. La halte s’est prolongée quelques instants : un incident s’est produit lorsqu’un participant a collé un autocollant sur la statue et a été brièvement interpellé.

Quelques minutes plus tard, une partie du cortège s’est éclipsée pour aller assister aux débuts du match entre les Bleus et l’équipe d’Argentine. Pendant ce temps, le défilé continuait, rejoignant la place de la République, en remontant la rue de Rivoli, le boulevard de Sébastopol puis le boulevard Saint-Martin.

28 juin 2018

Simone Veil

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Simone et Antoine Veil entrent, ce dimanche, au Panthéon. Une cérémonie tout aussi solennelle que minutée dont Le Parisien - Aujourd’hui en France dévoile le déroulé en exclusivité.

Une cérémonie exceptionnelle pour un événement historique. Ce dimanche, le couple Veil aura l’honneur d’entrer au Panthéon. Les cercueils de Simone Veil, décédée il y a un an, le 30 juin 2017, et de son mari Antoine, disparu en 2013, vont être inhumés conjointement dans l’édifice des « Grands hommes ».

Emmanuel Macron, qui avait prononcé l’éloge funèbre de Simone Veil il y a un an dans la cour des Invalides, lui rendra à nouveau hommage devant un parterre de 1 000 invités, triés sur le volet. Les anciens présidents de la République Nicolas Sarkozy et François Hollande seront notamment présents. Valéry Giscard d’Estaing, en revanche, sera absent, retenu par l’inauguration, en province, d’une exposition qui lui est dédiée. Egalement invités : les membres du gouvernement, les parlementaires et des personnalités européennes…

Autant d’invités prestigieux pour rendre un dernier hommage à l’ancienne déportée, devenue ministre, dont la loi sur l’IVG, votée en 1975 et dépénalisant l’avortement en France, constitue aujourd’hui encore une avancée sociétale majeure.

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Un hommage ouvert au plus grand nombre

Simone Veil sera la cinquième femme à avoir l’honneur d’être panthéonisée, après Marie Curie ou la résistante Germaine Tillion. Et preuve de l’importance que revêt cet événement et conformément à la devise du Panthéon « Aux grands hommes, la patrie reconnaissante », cette cérémonie a été orchestrée dans les moindres détails par l’Élysée, qui souhaite que l’hommage soit ouvert au plus grand nombre.

Les deux cercueils seront d’abord exposés au Mémorial de la Shoah (Paris IV) vendredi et samedi avant d’être escortés dimanche matin par un cortège d’une quinzaine de motards jusqu’à la place Edmond-Rostand, sur l’autre rive de la Seine, et de remonter, portés par la Garde républicaine, jusqu’au Panthéon sur un tapis de moquette bleue, couleur qui symbolise selon l’Élysée « la paix, l’entente entre les peuples et l’Europe ».

Un cortège qui avancera au rythme - entre autres - de « Nuit et brouillard » de Jean Ferrat. Quatre écrans géants disposés sur le parcours permettront au public de suivre la cérémonie.

L’Élysée espère une affluence d’autant plus importante que les prévisions météo sont bonnes. Un cinquième écran sera d’ailleurs installé dans le jardin voisin du Luxembourg.

Après l’entrée des cercueils au Panthéon , escortés par la famille Veil et le couple Macron, le public pourra entrer dans la nef rendre un dernier hommage au couple - le 3e à y faire une entrée conjointe -, à partir de 16 heures le dimanche. Ce n’est que le lundi matin que les cercueils seront descendus, dans l’intimité familiale, dans le prestigieux caveau VI, où reposent déjà deux grands résistants, Jean Moulin et André Malraux, le « père de l’Europe » Jean Monnet et le prix Nobel de la Paix René Cassin. Résistance, Europe, paix… Autant de fragments de la vie de Simone Veil.

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UNE PIÈCE DE 2 EUROS EN HOMMAGE À SIMONE VEIL

La mise en circulation est prévue pour début juillet. LP/Philippe de Poulpiquet

Jeudi 14 juin, Monnaie de Paris, quai de Conti. Dans l’imposante salle du Grand monnayage, là même où était frappée la monnaie des rois après 1775, les deux fils ainsi qu’une partie de la famille de Simone Veil sont présents. C’est ce jour-là qu’a lieu la frappe inaugurale de la pièce de deux euros à l’effigie de la Grande femme politique, décédée l’an dernier.

Une pièce qui comporte notamment le numéro de déportée de Simone Veil à Auschwitz, ainsi que le chiffre 1975 - date de la loi sur la dépénalisation de l’avortement. L’imposante presse, une fois mise en route, crache ses pièces dans un petit panier, qui sera ensuite renversé dans un plus grand. L’ambiance est à la fois pleine d’émotion et chaleureuse : « On pourra se promener avec maman en poche », plaisante Jean Veil, l’un de ses fils.

Ensuite, la production des autres pièces se fera à Pessac, où 15 millions de pièces de 2 euros seront frappées. La mise en circulation est prévue pour début juillet. C’est le 1er juillet que Simone Veil entrera au Panthéon.

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24 juin 2018

Festival Photo de La Gacilly

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18 juin 2018

Festival Photo de La Gacilly

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Photos : J. Snap

16 juin 2018

La foire de Bâle entre débauche d’argent et panorama artistique

Par Harry Bellet - Le Monde

Quelque 100 000 visiteurs étaient attendus cette année à Art Basel, foire d’art moderne et contemporain, jusqu’au 17 juin.

En être ou pas ? La question se pose particulièrement pour la foire d’art moderne et contemporain de Bâle, Art Basel, considérée, à juste titre, comme la meilleure du monde. Elle se pose d’abord pour les visiteurs – 100 000 étaient ­attendus cette année jusqu’au ­dimanche 17 juin. On les divisera en deux catégories : les très riches qui, paradoxalement, ne paient pas les 60 francs suisses (51,80 €) du prix d’entrée, puisqu’ils sont ­invités au titre de VIP durant les journées professionnelles – du lundi 11 juin, vernissage de la partie dévolue aux œuvres monumentales, « Art Unlimited », et de la section consacrée au design, jusqu’au mercredi 13, en passant par le mardi, jour d’inauguration du reste de la foire.

Et puis, les moins riches, ou moins en vue, c’est-à-dire qui ne sont ni collectionneurs connus, ni galeristes réputés, ni conservateurs de musée, ni journalistes accrédités. Ceux-là, les « ni-ni », n’accèdent au saint des saints qu’à partir du jeudi 14, quand les affaires auront été faites avec les précédents. On les envierait presque : les œuvres les plus désirées seront déjà décrochées des murs, et, compte tenu du goût commun des milliardaires ces temps-ci – assez médiocre, il faut l’avouer –, ce sont aujourd’hui rarement les meilleures.

Cote à des niveaux stratosphériques

Elles coûtent pourtant « un ­pognon de dingue », comme dirait quelqu’un. Et partent comme des petits pains : ainsi, deux jours après l’inauguration, la galerie Jack Shainman a annoncé avoir vendu la quasi-intégralité de son stock. Et notamment les œuvres de la nouvelle coqueluche de cette édition, le peintre afro-américain Kerry James Marshall (né en 1955), fort bon artiste au demeurant, mais dont un récent record en ventes publiques a propulsé la cote à des niveaux stratosphériques.

Le magazine The Art Newspaper raconte que ses tableaux se vendaient entre 25 000 et 100 000 dol­lars en 1997, ce qui est plus qu’honorable, mais que depuis que l’on a su qu’il était collectionné par Jay-Z et Beyoncé, ainsi que par Michelle Obama, et que le rappeur Sean « P. Diddy » Combs a surenchéri sur une de ses œuvres lors des ventes de New York, en mai, jusqu’à la somme record de 21,1 millions de dollars (18,2 millions d’euros), les prix ont grimpé. Malgré, ou à cau­se de cela, tout le monde en veut…

Une fois leur stand initial dévalisé, les marchands auront ­concocté un nouvel accrochage, souvent avec des pièces moins attendues, des artistes moins à la mode, mais jamais de qualité moindre : une commission y veille. Certains galeristes ont, par le passé, amèrement regretté, par une exclusion sèche et sans appel, d’avoir négligé la qualité de leur stand sur la fin du parcours. ­Résultat : les derniers jours de la foire sont plus propices aux découvertes que les premiers.

LES DERNIERS JOURS DE LA FOIRE SONT PLUS PROPICES AUX DÉCOUVERTES QUE LES PREMIERS

Et certaines pièces ne bougent pas : celles – monumentales – de la section « Art Unlimited », ou celles des stands qui ne se sont pas contentés de planter aux murs des tableaux à vendre, mais ont conceptualisé leur accrochage. C’est le cas, par exemple, de la galerie 1900-2000, où une grande photographie murale conçue exprès par Cindy Sherman accueille une série de petites œuvres de ­Picabia, ou de la galerie Tornabuoni, qui consacre tout son stand aux expériences d’Alberto Burri, qui brûlait des films de plastique dans les années 1970.

Il existe deux catégories de gens qui boudent Bâle : les méga-collectionneurs, comme Bernard ­Arnault ou François Pinault, qui ne viennent plus parce qu’ils ont un accès direct aux œuvres qui les intéressent, parfois même avant qu’elles ne soient sorties de l’atelier, et celle, plus vaste, des amateurs d’art que cette débauche d’argent – la dernière tendance est de compter les jets privés à l’aéroport de Bâle-Mulhouse – exaspère.

Un panorama impressionnant de l’art actuel

A dire vrai, ils ont tort. Bâle offre, en une semaine, un panorama impressionnant de l’art actuel et de son marché, à travers Art Basel (4 000 artistes représentés par 291 galeries), mais aussi des foires satellites : Liste, la plus ancienne, est un tremplin pour les jeunes artistes, et leurs jeunes marchands. Même chose pour Volta, Scope, ou Photo Basel. On ne négligera pas non plus l’offre exceptionnelle des musées locaux, du Kunstmuseum, qui abrite quelques-uns des plus beaux tableaux de Hans Holbein, au Schaulager, qui montre une exposition de Bruce Nauman, en passant par la Fondation Beyeler, où sont confrontées des œuvres de Giacometti et de Bacon.

C’est aussi une concentration unique de professionnels, qui n’a guère d’équivalent sauf, peut-être, dans le cinéma, lors du Festival de Cannes. En une semaine, on y croise des gens qu’il faudrait une année pleine et de longues heures de vol pour rencontrer autrement.

C’EST UNE CONCENTRATION UNIQUE DE PROFESSIONNELS, QUI N’A GUÈRE D’ÉQUIVALENT SAUF, PEUT-ÊTRE, DANS LE CINÉMA, LORS DU FESTIVAL DE CANNES

En être ou pas, la question se pose aussi, paradoxalement, pour les marchands de tableaux. Paradoxalement, car cette foire a été créée par eux et pour eux, il y a près de cinquante ans, pour leur permettre, notamment, de rencontrer une nouvelle clientèle et de lutter contre l’efficacité et la concurrence redoutables des maisons de ventes aux enchères. Mais la compétition a un prix : outre qu’il est difficile d’obtenir un stand, le comité de sélection étant des plus féroces, les heureux élus font face à des frais ­considérables. Bénins pour une galerie installée, ils peuvent être mortels pour une plus jeune, dans l’hypothèse – certes improbable à Bâle – où elle ne vendrait pas.

Toutefois, la tendance actuelle étant à la désaffection des visiteurs dans les galeries, les foires sont devenues vitales : certains y réalisent plus de la moitié de leur chiffre d’affaires. L’enjeu est si lourd que quelques-uns des plus puissants marchands, comme Hauser & Wirth, ont récemment proposé d’être eux-mêmes taxés ! Ceci afin de subventionner des ­galeristes moins nantis. L’idée est belle, sinon généreuse (les jeunes marchands sont un vivier d’artistes dans lequel puisent les vieux), mais difficilement réalisable.

Peut-être serait-il plus réaliste d’augmenter la contribution des marques de luxe, de plus en plus envahissantes, voire de solliciter la générosité de la banque UBS, qui, depuis une trentaine d’années, sponsorise la foire. Mais ce serait courir le risque de les voir étendre un peu plus une emprise déjà respectable, au détriment des exposants, et ce serait dommage : on ne vient pas à Art Basel pour admirer le dernier modèle de BMW. Quoi que…

Messe Basel, Messeplatz 10, 4005 Bâle. Tous les jours, jusqu’au 17 juin, de 11 heures à 19 heures. Entrée 60 CHF. artbasel.com

14 juin 2018

Arles

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13 juin 2018

Festival Photo de La Gacilly

Une fois de plus, le festival photo de La Gacilly, confirme l’engagement fort des organisateurs et des pouvoirs locaux. Pour cette 15e édition, 25 photographes exposent leur travail en plein air, mis en valeur par un parcours judicieusement bâti et une scénographie toujours aussi soignée. On attend encore cette année plusieurs centaines de milliers de visiteurs.

Le thème 2018 est « La Terre en Questions » qui abordent les grands enjeux environnementaux et sociaux du moment. Tout d’abord hommage à la beauté de la planète où on remarque les photos de Thomas Pesquet qui ont déjà connu un grand succès public, Philippe Bourseiller et ses paysages glacés, Olaf Otto Becker qui pointe la contradiction de détruire la nature tout en essayant de la recréer en ville et William Albert Allard rendant hommage à une autre Amérique proche de l’univers de l’écrivain Jim Harrison.

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