Bons Voeux d'un modèle
Dans un tout autre style voici les Bons Vœux d'un modèle que j'ai eu l'occasion de photographier en 2009 (en studio, pas sur une plage).
Dans un tout autre style voici les Bons Vœux d'un modèle que j'ai eu l'occasion de photographier en 2009 (en studio, pas sur une plage).
Le 4 janvier 1960, l'écrivain et philosophe Albert Camus meurt dans un accident de la route. Il a reçu le Prix Nobel de littérature trois ans plus tôt et n'a pas craint de s'engager en faveur d'une réconciliation des communautés en Algérie, lui-même étant issu de pieds-noirs d'origine espagnole. La mort le fauche à 46 ans, avant qu'il ait pu tout exprimer de sa pensée.
Il y a 50 ans la mort d'Albert Camus.
Le Candidat est porté par l'interprétation du talentueux
Yvan Attal, alors que Niels Arestrup y tient la triple casquette de
réalisateur, acteur et scénariste.
L'histoire prend place peu avant l'élection présidentielle
d'un état européen, où Michel Dedieu a remplacé au pied levé le candidat de son
parti, contraint de se retirer à cause d'un cancer fulgurant. Au lendemain du
premier tour, il ne lui reste que très peu de temps pour préparer avec son
équipe rapprochée, le débat télévisé qui l'opposera à son adversaire. Peu
apprécié des médias et de l'opinion, il doit à tout prix améliorer son image et
affiner son argumentaire. A cette fin, il organise un week-end de travail dans
sa propriété. Le candidat, d'abord docile et fragile se plie à toutes les
exigences de son staff, quand, arrivé au bord de l'épuisement, il découvre
qu'il est en fait prisonnier d'une terrible manipulation dont il ne s'extraira
qu'en jouant sa propre partition...
On retrouve également au casting Guillaume Gallienne, Maurice Bénichou ou encore Stefania Rocca.
Djân est un mot de la langue persane qui signifie à la fois le corps et l’esprit. À l’inverse de l’Occident et de l’esprit dualiste platonicien et cartésien, la culture persane, héritière de la pensée préislamique (notamment zoroastrienne et bouddhiste) ne dissocie pas le corps de l’âme pour désigner l’être. Les grands poètes mystiques ont beaucoup joué de ce double sens dans leurs poèmes. D’après leurs textes littéraires, on peut constater que le mot djân dans la philosophie orientale s’attache à cet « intermonde » où vivent en état symbiotique les deux mondes, sensible et intelligible, visible et invisible...
Au-delà du corps lui-même, la question de sa représentation est également très importante pour moi, en particulier dans la peinture et la photographie. Ces deux arts, dès leur origine, bien que très distancés dans le temps, ont pris le corps comme sujet.
Lorsqu’on se réfère à l’histoire de la photographie, on a l’impression qu’elle n’est inventée que pour la mise en image du corps dans l’esprit et la mise en image de l’esprit dans le corps… Elle crée une fusion que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. C’est pour cela que je dis qu’elle révèle le djân. Cette exposition est un hommage à cet art de révélation.
Galerie VU au 2, rue Jules Cousin Paris 4ème - Jusqu'au 10 janvier 2010
C'est ce que vous appelez "un beau gosse" n'est ce pas ?