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Jours tranquilles à Paris
16 août 2015

Tous les calendriers Pirelli...

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16 août 2015

Lara Stone - publicité

lara stone

16 août 2015

Street Art sur poubelle

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16 août 2015

Visible à Nantes....

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16 août 2015

ça c'est costaud ! - Vu sur Instagram

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16 août 2015

Vu sur Instagram

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16 août 2015

Extrait d'un shooting - la salopette

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16 août 2015

Bientôt "Warhol Unlimited" au MAM - save the date

WARHOL UNLIMITED

Du 02 octobre 2015 au 07 février 2016 

A l’occasion de la première présentation en Europe des Shadows (1978-79) dans leur totalité, le Musée d'Art moderne de la Ville de Paris consacre une exposition exceptionnelle à Andy Warhol (1928-1987).

Avec plus de 200 œuvres, elle met en valeur la dimension sérielle de l’œuvre de Warhol, aspect incontournable de son travail, et sa capacité à repenser les principes de l’exposition.

Conservée à la Dia Art Foundation, les Shadows, étonnant ensemble de 102 toiles sérigraphiées de 17 couleurs différentes se déploient sur une longueur de plus de 130 mètres. Elles rappellent de façon magistrale la capacité de Warhol à ébranler les conventions de l'art, depuis la conception des œuvres jusqu'à leur mise en scène. A la question de savoir si elles étaient de l’art, Warhol répondait non : « ... on passait de la disco durant le vernissage, je suppose que ça en fait un décor disco ». L’art de Warhol se présente comme un défi que l’exposition du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris étend à plusieurs séries comme les Electric Chairs (1964-1971), les Jackies (1964), les Flowers (1964-1965), les Maos (1972-1973).

La manière souvent controversée avec laquelle l'artiste mettait en scène son propre travail est au centre de toutes les interrogations qui légitiment cette exposition. On y retrouve le souci constant de l’artiste d'investir l'espace et le temps pour en remodeler notre perception. Le visiteur est invité à se laisser submerger par l’accumulation des oeuvres d’Andy Warhol, des Self-portraits (1966-1967, 1981) aux Brillo Boxes (1964), des portraits filmés (les Screen Tests, 1964-1966) aux papiers peints les Cows (1966), des ensembles de Flowers aux frises de Maos, du cinéma expérimental (le célèbre film Empire de huit heures, 1964) aux Silver Clouds (1966), sans oublier les environnements spectaculaires des concerts du Velvet Undergound (l'Exploding Plastic Inevitable, 1966).

Aussi encensé que critiqué, l'artiste possède toujours la capacité de bouleverser les attentes du visiteur et cela malgré la surmédiatisation à laquelle il a pratiquement toujours été exposé. Au-delà de son image superficielle de « roi du Pop Art », Warhol n’a eu de cesse de réinventer le rapport du spectateur à l’œuvre d'art. Débordant sans cesse des cadres qu’on lui assigne, Andy Warhol s’impose comme l’artiste de la démesure. Quelles que soient les formes explorées, son rapport à l’œuvre tend vers l’abolition des limites.

http://www.mam.paris.fr/fr/expositions/exposition-warhol

warhol au mam

16 août 2015

Actuellement au Palais de Tokyo : Céleste Boursier Mougenot

16 août 2015

Le Voyage à Nantes (jusqu'au 31 août)

COURS CAMBRONNE

"TERRE EN CHANTIER" (vu le 6 août)

AYMERIC CAULAY

Aymeric Caulay s’intéresse à l’idée qu’une œuvre  d’art doit s’emparer de l’espace et du lieu, des activités et systèmes qui lui sont liés. L’activité productrice,  le monde de l’entreprise, ce qu’on appelle “l’économie réelle”, est ainsi son champ d’investigation : il s’immerge et explore les processus de production, de l’extraction de la matière jusqu’à sa transformation finale.

Dans le cadre du post-diplôme Les Réalisateurs porté par l’artiste Fabrice Hyber, l’école supérieure des beaux-arts de Nantes Métropole et l’école de management Audencia, Aymeric Caulay s’est introduit à la manière d’un archéologue-anthropologue dans des entreprises qui extraient et transforment l’argile. En rencontrant les personnels, en observant les modes de fonctionnement et les savoir-faire, il a conçu une œuvre qui s’appuie sur l’usage de cette seule matière.

Malgré la taille imposante de l’engin de chantier,  c’est bien à un jouet d’enfant qu’on pense face à la sculpture. L’œuvre laisse apparaître les différentes phases que l’artiste a observées : de l’extraction de la terre par tractopelle – la sculpture principale – à la transformation en pâte manufacturée qui constitue le socle. En affirmant le processus comme principe de réalité pour l’artiste comme pour l’entreprise, Aymeric Caulay place l’art non pas à la marge, mais au cœur de l’activité productrice. 

http://aymeric-caulay.beauxartsnantes.fr/


Terre en chantier par TELENANTES

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