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Jours tranquilles à Paris
5 novembre 2016

Poser pour moi ? Why not ?

Bonjour,

Shooting possible dans mon studio (Paris 15ème) en novembre et décembre 2016, un samedi ou un dimanche (date à déterminer). Thèmes : portrait, mode, lingerie, nu.

Pose contre photos numériques retravaillées par mes soins livrées sous 7 jours. Pour mieux me connaitre : http://www.jacques-snap.book.fr/

Si intéressée, me contacter en indiquant vos coordonnées (liens) et en joignant à votre réponse quelques photos de vous.

Cordialement

Jacques Snap

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5 novembre 2016

In memorem : Jacques Tati

5 novembre 2016

Elections Américaines

5 novembre 2016

Le Musée de l’Érotisme ferme ses portes...

Une vidéo publiée par Marion (@ms_jov) le 4 Nov. 2016 à 9h51 PDT

ENCHÈRES. La maison Cornette de Saint Cyr va vendre l'intégralité des pièces du musée de l'Erotisme à Pigalle. Visite de ce lieu baroque avant sa fermeture définitive dimanche.

On se sent toujours un peu bête de découvrir un musée quand il ferme. Comme d'arriver pour le dessert. Mais que de gourmandises et de mignardises ! Dimanche à minuit, le musée de l'Erotisme, ouvert en 1997 dans le quartier Pigalle à Paris, fermera définitivement ses portes, après la dispersion de ses quelque 2 000 objets lors d'une vente aux enchères organisée par la très sérieuse maison Cornette de Saint Cyr (lire ci-dessous).

On y allait peu, voire pas, dans ce musée bizarre à l'enseigne lumineuse comme ces lieux interlopes du quartier, ouvert jusqu'à 2 heures du matin — horaire un brin suspect — coincé entre un sex-shop et une boutique de souvenirs. S'il ferme, c'est parce que son public était constitué « à plus de 60 % de touristes, et qu'ils désertent », indique Jo Khalifa, le patron. Et le loyer devenait trop cher. Aucun autre espace bien situé n'a pu accueillir la collection. La chair est triste, comme disait Mallarmé.

De jolis petits lots

Mais rien n'est plus joyeux et bordélique — c'est le mot — que ces petits lots — oui, pardon, mais il y en a 650 promis à la vente, comprenant parfois des ensembles de cartes postales, figurines ou dessins érotiques — qui se baladent sur six étages. Un vrai bazar, où se côtoient le meilleur et, sinon le pire, du moins le plus baroque. Jo Khalifa a commencé sa collection au début des années 1980 : « J'étais prof de français au Japon et j'ai acheté quelques estampes licencieuses. J'ai continué en Asie avec des gravures et sculptures du Kama-sutra. Mais on a aussi exposé le grand dessinateur Albert Dubout, et nos amis de Charlie Hebdo, Wolinski, Willem ou Charb. Du sexe, oui, mais avec humour. »

Khalifa, qui a un temps codirigé les lieux avec Alain Plumey, ex-acteur porno époque Brigitte Lahaie, refuse de verser dans le regret : « L'Etat ne nous a jamais aidés, sur ce genre de sujet il ne faut pas rêver. Mais on a fait du bon boulot en montrant comment le sexe est représenté dans le monde entier. » A part ici, en effet, où prend-on conscience que, du Sénégal au Pérou, de l'Inde à Paname, on ne pense qu'à ça, on le sculpte, on le dessine, on le photographie, on en fait des assemblages hétéroclites ? « Le talent de ce musée, ajoute Bertrand Cornette de Saint-Cyr, l'organisateur des enchères, c'est aussi d'être allé dénicher, chez des artistes africains plutôt versés dans le religieux, leurs rares pièces très érotiques. Comme un petit supplément coquin. »

La dispersion de poupées russes obscènes ou d'une tirelire en forme de fesses va juste nous arracher un sourire, de même que ce sexe africain, aussi incongru que beau, constitué d'une vulve-coquillages et de plumes d'oiseaux pour représenter les poils pubiens.

Mémoires de jeunes filles pas très rangées

Mais trêve de gauloiseries et fin des préliminaires, Jo Khalifa a un coup au coeur de voir se disperser son petit chef-d'oeuvre, la collection Romi, nom de plume de Robert Miquel (1905-1995), journaliste à « Paris Match » et au « Crapouillot » qui avait réuni une documentation exceptionnelle sur les bordels des années 1930 : images des « filles » de Pigalle et des maquerelles appelées « Madame », toute cette vie oubliée qui affleure sur de simples cartes de visite ou publicités. « Oh là là ! Venez voir les Jolies Diablesses à la brasserie tenue par Madame Emma », « Chez Madame Yvonne à Chaumont »... Une fille de joie a noté sur une feuille volante les surnoms de ses clients et ce qu'ils ont dépensé, comme ce type appelé « Nom de Dieu », « sans doute ce qu'il proférait au lit », sourit le patron du musée. On dirait du Audiard.

Un musée flingué, c'est triste ? « Mais non, d'autres feront mieux que nous. On aura été précurseurs », sourit Jo Khalifa. A l'entrée, le guichetier, fataliste, s'apprête à « chercher du boulot ».

Pratique

Musée de l’Erotisme,72, bd de Clichy (Paris XVIIIe), de 10 heures à 2 heures du matin, minuit dimanche. Fermeture diman- che soir. De 6 à 10 €. www.musee-erotisme.com.

Une vente aux enchères ouverte à tous

La maison Cornette de Saint Cyr organise dimanche la vente des 650 lots — 2 000 pièces au total — du musée de l'Erotisme, à des prix estimés de 30 EUR à quelques milliers d'euros, qui vont de cartes postales à des sculptures de dimensions imposantes. Objets d'Afrique, d'Indonésie, d'Océanie, de Chine, du Japon, de Russie, des Etats-Unis, de France : un bric-à-brac de sculptures, gravures, dessins, d'art contemporain aussi, et la fameuse collection « Romi » de documents sur les maisons closes d'avant-guerre, images, publicités, livres de comptes...

La vente se fera sur photos, sans les oeuvres, restées au musée à Pigalle, où les heureux acheteurs pourront aller les chercher dès lundi matin.

Cornette de Saint Cyr, vente dimanche en deux temps, 10 heures et 14 h 30, au 6, avenue Hoche (Paris VIIIe). Tél. 01.47.27.11.24.

« Cette fermeture est une catastrophe »

Claudine, une habituée

Elle fait partie des rares visiteurs, hier presque à l'ouverture. Pas vraiment l'heure de pointe à Pigalle. Claudine, une habituée du musée, n'en revient pas de cette fermeture : « C'est catastrophique. Cette collection est unique. Sur l'érotisme, je ne vois que l'acteur Michel Simon qui avait amassé une collection aussi singulière que Jo Khalifa (le directeur du musée). C'est toute une vie avec une idée fixe ! Je ne suis pas du milieu, mais j'ai connu quelques artistes contemporains. C'est inouï le nombre de pièces intéressantes qu'on a vu passer ici, de toutes les époques. Ils ont exposé Willem, le dessinateur de « Charlie », et sa femme, c'était génial. Toutes les expos n'ont pas été bien, mais là n'est pas l'important. Ce n'est pas le Louvre, hein ! C'est toujours triste de voir se disperser un trésor pareil. L'érotisme est très doux dans ces salles... »

eros

http://jourstranquilles.canalblog.com/tag/Mus%C3%A9e%20de%20l'Erotisme

 

5 novembre 2016

Crazy Horse de Paris

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5 novembre 2016

Extrait d'un shooting - hommes

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5 novembre 2016

Delete Magazine

5 novembre 2016

Une réplique de l'abri souterrain dans lequel le Führer s'est suicidé le 30 avril 1945 va devenir un musée

Une réplique de l'abri souterrain dans lequel le Führer s'est suicidé le 30 avril 1945 va devenir un musée. Un parcours pédagogique veut éviter d'en faire un «Disneyland» de l'horreur. Certains historiens allemands disent leur crainte de voir se développer un «tourisme nazi».

Jusqu'à présent, un simple panneau informatif signalait l'ancienne présence du bunker d'Adolf Hitler dans une rue du centre de Berlin. Le dernier refuge du dictateur a été détruit à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Il n'y a plus rien à voir: l'endroit est devenu un parking. Les autorités allemandes ont toujours refusé d'installer le moindre signe ostensible rappelant le passé, de peur que des nostalgiques du IIIe Reich s'y retrouvent en pèlerinage. À deux pas, il y a au contraire le mémorial de l'Holocauste et, non loin, le musée «Topographie de la Terreur», qui raconte l'histoire du nazisme et son implantation dans la capitale allemande. Mais l'époque a changé.

Malgré les polémiques qu'il a pu susciter, le bunker où le dictateur s'est suicidé le 30 avril 1945 va bien rouvrir. Ou tout du moins une réplique à un kilomètre de là dans un ancien abri anti-aérien de la ville. Dans l'enceinte, derrière des murs de 3,80 mètres d'épaisseur, le dernier bureau et la dernière chambre du Führer ont été reconstitués. On y voit un portrait de Frédéric II au mur, une statue de chien, une bouteille à oxygène près de la table de travail… La reconstitution n'est pas totalement exacte, ont relevé des spécialistes. «Le sofa était différent», disent-ils.

«Il ne s'agit pas de faire un “Hitler-show”»

Avec son air de «Disneyland» du nazisme, l'initiative, soupçonnée de rechercher le «tape-à-l'œil», a laissé beaucoup de commentateurs dubitatifs. Les historiens allemands craignent une dévalorisation de la mémoire si elle n'est pas accompagnée d'explications. Pis encore, le développement d'un «tourisme nazi». C'est pourquoi le nouveau musée a aussi choisi de proposer un parcours complet d'une heure et demie dont le «bunker d'Hitler» n'est que la conclusion.

Au préalable, la vie dans l'abri anti-aérien est racontée en détail, pour montrer la réalité du conflit. L'endroit était censé pouvoir contenir 3.500 personnes. À la fin de la guerre, ils étaient 12.000 à s'y entasser dans la saleté la plus extrême pour se protéger des bombardements. «Il ne s'agit pas de faire un “Hitler-show”», a assuré l'historien Wieland Giebel, du Berlin Story Museum.

Le succès devrait être au rendez-vous et la curiosité massive. Pour l'historien Adam Kerpel-Fronius, cité par le Tagesspiegel, «tous ceux qui viennent à Berlin et qui s'intéressent à l'histoire s'étonnent de ne trouver qu'un parking là où se trouvait le bunker d'Hitler». Ils pourront désormais mieux se représenter les derniers jours de la bataille de Berlin. Les responsables du Berlin Story Museum ne redoutent pas non plus un afflux de visiteurs d'extrême droite. «En règle générale, les néo-nazis ne veulent pas voir où Hitler est mort», a expliqué Enno Lenze, l'un des organisateurs de l'exposition.

5 novembre 2016

Exposition

5 novembre

5 novembre 2016

Street Art

When anonymous street artists get creative... Follow: @URBANSPOON

Une photo publiée par StreetArtGlobe (@streetartglobe) le 4 Nov. 2016 à 20h48 PDT

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