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Jours tranquilles à Paris
2 février 2018

Derniers jours au Théâtre Bobino - Hôtel Paradiso

 

👪 Ne manquez pas la Famille Flöz à Bobino 🗓 Jusqu'au 4 février 🎟 Info & résa : lien dans la Bio . . . #Paris #Spectacle #Famille #Berlin #Bobino



20 Likes, 2 Comments - Théâtre Bobino (@theatre_bobino) on Instagram: "👪 Ne manquez pas la Famille Flöz à Bobino 🗓 Jusqu'au 4 février 🎟 Info & résa : lien dans la Bio ...."



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2 février 2018

Extrait d'un shooting - fétichisme

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1 février 2018

PHOTO - Sylvia Gobbel en couverture...

gobbel

sylvia gobbel

 

1 février 2018

Gigi et Bella Hadid nues en une de Vogue : la polémique enfle !

Voir Gigi et sa sœur Bella Hadid entièrement nues ne plaît pas à tout le monde.

Qu'est-ce qui se passe chez nos stars ? Elles ont toutes décidé de se donner le mot. Durant tout le mois de janvier, les célébrités se sont affichées nues ou presque. Le meilleur exemple : Kim Kardashian ! Les photos de ces dernières 24 heures l'attestent.

Gigi et Bella Hadid ont aussi fait tomber le haut... mais aussi le bas ! Ces derniers mois, on a plus souvent eu l'occasion de voir l'ex de The Weeknd en tenue d'Eve. Pour la couverture de la version britannique de Vogue. Sur son compte Insta­gram, le maga­zine a publié un aperçu du shoo­ting visible dans son édition du 2 février prochain. Un cliché en noir et blanc signé du photo­graphe Steven Meisel où l’on découvre Bella et Gigi Hadid, tota­le­ment nues et très proches.

As the fashion industry's most in-demand sisters, we're more familiar seeing @gigihadid and @bellahadid apart than together. However, the sisters unite for the March 2018 issue of #NewVogue, on newsstands February 2. Photographed by #StevenMeisel, styled by #JoeMcKenna



87.1k Likes, 2,516 Comments - British Vogue (@britishvogue) on Instagram: "As the fashion industry's most in-demand sisters, we're more familiar seeing @gigihadid and..."

 

1 février 2018

Melania Trump

melania

Au discours de l'Union, #MelaniaTrump a volé la vedette à #Donald - D'habitude, le # président et la # premièredame ensemble ensemble au #Capitole , pour le traditionnel discours annuel sur l'état de l ' Syndicat. Mais cette fois, #Melania #Trump a décidé de n'en faire qu'à sa tête et d'arriver avec ses invités, mais sans son mari. Une première dans l'histoire récente des #EtatsUnis. Était-ce une vengeance? Selon les médias américains, elle serait furieuse contre Donald depuis la parution d'un article dans le très sérieux «Wall Street Journal» selon lequel Trump aurait versé 130 000 dollars à une étoile du X, dénommée Stormy Daniels, pour acheter son silence. Il aurait eu une relation avec elle en 2006, quatre mois après la naissance de Barron, son petit dernier. Juste avant le discours d'hier soir, Stormy s'est fendu d'un démenti officiel, peut-être pour apaiser Melania qui avait des liens à Palm Beach la semaine dernière plutôt que d'accompagner son mari à #Davos .

Donc quand la #FirstLadyest entré dans l'Assemblée du Capitole hier à 20h58, sur un senti comme un soulagement dans les voyages car même si sa présence était annoncée, certains doutaient. Rayonnante dans son tailleur blanc ivoire, elle a eu droit à une longue ovation standing, spécialement soutenue. En fait, Melania a volé la vedette à Donald dont le discours était de facture classique. Sans surprise, il a mis en avant la croissance économique du pays qui commence à profiter à l' Amériquemoyenne. Depuis son élection, at-il rappelé, «2,4 millions d'emplois ont été créés dans 200. 000 dans le secteur manufacturier. Le chômage des noirs et des hispaniques n'a jamais été aussi bas. La Bourse bat des records et crée 8000 milliards de dollars en valeur ». Il est également possible que la baisse des taxes soit affectée à un foyer de quatre personnes à raison de 75 000 dollars par an d'économiser 2000 dollars en impôts ».

Photo: Jonathan Ernst / @Reuters

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1 février 2018

Fétichisme

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1 février 2018

Milo Moiré

 

 

1 février 2018

Pourquoi le CSA a révoqué Mathieu Gallet de la présidence de Radio France

Par Alexandre Piquard, François Bougon - Le Monde

Les sept membres du Conseil ont pour la première fois révoqué le mandat d’un président de l’audiovisuel public, après la condamnation de M. Gallet pour favoritisme le 15 janvier.

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a décidé, mercredi 31 janvier, de retirer à Mathieu Gallet son mandat de président de Radio France. A la question « Mathieu Gallet est-il en capacité de continuer à diriger pleinement Radio France ? », les sept conseillers ont répondu par la négative. La décision prendra effet le 1er mars 2018.

Comment le CSA motive-t-il sa décision ?

Le CSA a motivé sa décision, mercredi, par le fait qu’il « importe » que les relations entre l’Etat et le président de Radio France soient « denses, confiantes et permanentes, dans un contexte de réforme majeure de l’audiovisuel public annoncée par le pouvoir exécutif », ajoutant que « le Conseil est particulièrement sensible aux questions de déontologie, de prévention des conflits d’intérêts et de moralisation de la vie publique ».

Les conseillers ont apparemment estimé que la condamnation de Mathieu Gallet l’empêchait de poursuivre son mandat sereinement. Ils n’ont donc pas été sensibles aux arguments du président en place, longuement auditionné lundi 29 janvier.

Celui-ci soulignait qu’il restait innocent car il avait fait appel de la décision en première instance. Ses partisans mettaient aussi en avant son bilan à Radio France et les bonnes audiences de France Inter, de France Culture… « Le révoquer crée plus de trouble pour l’entreprise que son maintien car il faut mener des discussions cruciales avec le gouvernement, qui veut réformer profondément l’audiovisuel public », avancent ses partisans.

M. Gallet n’a pas encore fait savoir s’il contestait la décision du CSA devant le Conseil d’Etat.

Pourquoi le CSA a-t-il dû se saisir du « cas Gallet » ?

Une procédure inédite avait été ouverte à l’encontre de M. Gallet le 17 janvier après sa condamnation, le 15 janvier, à un an d’emprisonnement avec sursis et à 20 000 euros d’amende pour favoritisme lorsqu’il était à la tête de l’Institut national de l’audiovisuel (INA), entre 2010 et 2014. L’intéressé, qui avait « exclu de démissionner », a fait appel du jugement.

C’est la première fois de son histoire que le CSA, créé en janvier 1989, utilise son pouvoir de démettre l’un des présidents de l’audiovisuel public, un pouvoir qui lui est conféré par l’article 47-5 de la loi du 30 septembre 1986. Celui-ci exige que la décision de révocation d’un mandat soit fondée « sur des critères de compétence et d’expérience ».

C’est aussi probablement la dernière fois que le CSA utilise ce pouvoir de révocation, puisque le gouvernement souhaite donner aux conseils d’administration des groupes concernés le droit de nommer et de démettre leur président. La mesure devrait figurer dans un projet de loi qui sera présenté d’ici à la fin de l’année.

Etait-ce au CSA de prendre une telle décision ?

En révoquant Mathieu Gallet, le CSA évite de se voir reprocher d’être trop indulgent avec un dirigeant qu’il a lui-même nommé, en 2014, à l’unanimité. Mais il risque d’être accusé de se plier à la volonté du gouvernement.

En effet, l’intervention de la ministre de la culture, Françoise Nyssen, qui a jugé la situation de M. Gallet « inacceptable », a politisé le dossier. L’exécutif n’a pas ensuite réitéré sa demande adressée au PDG de Radio France et au CSA de « tirer les conséquences » de la condamnation.

Mais le dimanche précédant l’audition du dirigeant devant le Conseil, la ministre de la justice l’a de nouveau appelé à se poser la question d’une démission. « Mathieu Gallet a la réponse à cette question et c’est à lui de mesurer à quel point, ou à quel moment, les questions éthiques doivent l’emporter, ou pas, sur les questions juridiques », a déclaré Nicole Belloubet sur RTL.

Pour éviter que le successeur de M. Gallet ne soit désigné selon « l’ancien » système, certains dans l’exécutif plaidaient ces dernières semaines pour le vote rapide d’une « petite loi » qui règle ces questions de gouvernance, dès le printemps idéalement.

Mais, plus récemment, cette option a été battue en brèche. Lors de ses vœux, le 23 janvier, la ministre de la culture ne l’a pas évoquée, parlant uniquement de la « refonte » à venir de la loi de 1986 qui régit tout l’audiovisuel.

Comment l’éviction de M. Gallet est-elle accueillie ?

Les avocats de M. Gallet, Christophe Ingrain et Rémi Lorrain, ont dénoncé la « pression de l’Etat », « plus forte que la présomption d’innocence ». Ils devraient rapidement rendre public leur décision sur un éventuel recours devant le Conseil d’Etat.

Françoise Nyssen, qui avait demandé au CSA de « tirer toutes les conséquences » de la condamnation de M. Gallet, « prend acte » de la décision du Conseil et « remercie Mathieu Gallet de son engagement à la tête de Radio France », tout en rappelant la nécessité de « l’exemplarité des dirigeants des entreprises », « condition absolue de bonne gouvernance ».

Pour les syndicats et le personnel de Radio France, le coup est rude et il y a un sentiment d’injustice. « Dans tous les cas, la décision du CSA était très mauvaise pour nous. Dans le cas de la révocation, vous imaginez une boîte sans PDG ? Nous n’aurons plus personne pour nous protéger, explique un salarié syndiqué. Or, il y a des discussions très importantes à mener avec le gouvernement, qui veut une réforme très profonde de l’audiovisuel public. Le problème, c’est le timing de son départ. Il y a un an, cela aurait été différent. Ce n’est pas le moment. »

« On dit que Radio France, ce sont ses directeurs, mais un nouveau PDG en remplacerait forcément certains, commente un autre salarié syndiqué. Que le nouveau PDG soit bon ou mauvais, on repart de zéro alors que les choses allaient plutôt bien à Radio France. Le changement, l’instabilité, c’est le problème de l’audiovisuel public. »

« Quand la nouvelle est tombée, un coup de grisou fou a traversé le couloir, on est complètement sonnés, confie un journaliste de France Inter. Pourtant, tout le monde ici s’attendait à cette possibilité… Ça reste un choc. Une incertitude horrible sur l’avenir. »

Le Front national, par la voie de son porte-parole Sébastien Chenu, a concentré sa réaction sur Françoise Nyssen, l’accusant d’un « autoritarisme qu’on avait jamais connu ». Eric Coquerel, député (La France insoumise) de la Seine-Saint-Denis, a lui aussi visé les propos que la ministre avait eus, estimant qu’il aurait « mieux valu [qu’elle] ne s’exprime pas avant parce que ça peut aussi ressembler à une reprise en main du secteur public de l’audiovisuel ».

Le SNJ (Syndicat national des journalistes) de Radio France a lui fait part de la « forte inquiétude » des personnels et demande « l’interruption des discussions sur l’avenir de l’audiovisuel public jusqu’à ce que Radio France ait retrouvé un dirigeant légitime ».

Qui succédera à M. Gallet à la tête de Radio France ?

Le CSA doit désormais nommer un successeur, un processus qui prendra au moins six mois. En 2014, pour M. Gallet, il avait fallu environ deux mois et demi au Conseil pour susciter et pour examiner les candidatures, plus « trois à quatre mois » de « tuilage » prévus par la loi avant l’entrée en fonctions.

En attendant, c’est le doyen des administrateurs de Radio France nommés par le CSA qui devrait assurer l’intérim à la tête du groupe public.

Jean-Luc Vergne, 69 ans, ancien directeur des ressources humaines de PSA Peugeot Citroën, pourrait donc être désigné. L’administrateur, nommé en décembre 2016, devra d’abord dire s’il accepte cette mission.

Après le départ de M. Gallet, quel scénario pour Radio France ? Le président intérimaire pourra-t-il diriger l’entreprise de façon satisfaisante, dans un moment de dialogue important avec l’exécutif ?

Certains au sein de celui-ci espèrent que l’équipe de direction en place, stable et soudée jusqu’ici, reste en poste pour épauler M. Vergne. Ils imaginent même que cet intérim puisse éventuellement se prolonger jusqu’à la fin théorique du mandat de M. Gallet, en mai 2019. Mais on ne sait pas si les directeurs actuels souhaiteront rester après le départ de ce dernier.

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Mathieu Gallet

1 février 2018

Extrait d'un shooting - topless avec paire de jean's

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1 février 2018

Chez Quies, cent ans de silence, une seule famille

Par Denis Cosnard, reportage pour Le Monde

Deux jeunes femmes de la cinquième génération se préparent à prendre la tête de la PME située à Palaiseau dans l’Essonne, actuellement en pleine modernisation.

Attention, « évitez de tenir la rampe, la peinture n’est pas sèche ! » Olivier Denis Du Péage grimpe l’escalier avec précaution. Quies, l’entreprise qu’il préside, s’est offert un joli lifting pour les cent ans des fameuses boules.

A Palaiseau (Essonne), l’immeuble qui abrite le siège social de l’entreprise et la production vient d’être agrandi. Quelque 300 mètres carrés de plus, pour accompagner la croissance et moderniser les installations. Au bas de l’escalier, un ouvrier étale une dernière couche de noir. En haut, de nouvelles machines doivent arriver, et quelques bureaux immaculés attendent leurs futurs occupants. Dans la cour, les Algeco utilisés pour grappiller temporairement un peu de place vont être démontés.

Quand les visiteurs débarquent ici, à 20 kilomètres de la tour Eiffel, ils demandent souvent : « Où sont les usines ? » Certains pensent avoir affaire à une multinationale américaine, compte tenu de la notoriété de la marque. Ils tombent alors de haut. « Ah, vous n’êtes que 48 ? » La direction a bloqué le compteur juste en deçà du seuil des 50, le « groupe » compte à peine 90 personnes, et il n’y a qu’une usine, ce petit bâtiment sans grâce. Les boules, fabriquées dans une salle blanche au rez-de-chaussée, sont emballées à l’étage.

Bienvenue dans une PME 100 % tricolore, 100 % familiale, et qui entend bien le rester. Non seulement en investissant dans l’outil de production pour ne pas se retrouver dépassée par la concurrence. Mais aussi en préparant le passage de témoin à une nouvelle génération, la cinquième. Une transition qui peut être délicate, comme vient de le montrer l’exemple de Selmer, le roi du saxophone. Fondée en 1885, la manufacture vient de se vendre à un fonds d’investissement, faute, en partie, de relève familiale.

Une marge nette à faire rêver bien des industriels

Pendant plus de trente ans, Quies a été gouverné par Olivier Denis Du Péage et sa sœur Christine Postel-Vinay, les arrière-petits-enfants d’un des fondateurs. Depuis le départ de sa sœur, en 2016, Olivier Denis Du Péage fait équipe avec un directeur général venu de l’extérieur, Ludovic Hardouin. A terme, cependant, un autre binôme se profile déjà, entièrement féminin. Chloé Postel-Vinay, fille de Christine, œuvre depuis 2010 dans l’entreprise, où elle dirige le marketing. « Et ma fille Prudence, qui a 30 ans, arrivera en février comme chef de projet », annonce l’actuel président.

Chloé Postel-Vinay passe justement dans le couloir. Son oncle la hèle : « Chloé, tu en dis quoi de travailler en famille ? » Réponse de l’intéressée : « Cela facilite certaines choses et en complique d’autres. Parfois, comme il y a de l’affectif, on n’ose pas dire certaines choses… » Pour éviter le mélange des genres, les dirigeants ont pris conseil auprès d’un psy spécialisé dans les entreprises familiales. Ils ont aussi professionnalisé le fonctionnement interne. « Avant, mes oncles ne venaient jamais à l’assemblée générale, raconte Olivier Denis Du Péage. Mais à chaque mariage, chaque baptême, ils nous demandaient : “Ça va, les boules ?’’ »

Oui, ça va, les boules. En 2017, la société Quies a encore vu ses ventes augmenter de 8,5 %, à environ 18,5 millions d’euros. Et depuis des années, la PME affiche une marge nette à faire rêver bien des industriels : près de 11 % des ventes en 2016. « Mes oncles, toujours actionnaires, sont contents », reconnaît le président du directoire.

Des décennies que cela dure. « L’activité a baissé pendant la seconde guerre mondiale, mais depuis, les volumes n’ont pas reculé une seule année », précise Olivier Denis Du Péage. De 700 000 boules vers 1930, la production annuelle est peu à peu montée à 60 millions de boules, notamment grâce à l’entrée de la marque en grandes surfaces, dans les années 1990.

Marcel Proust, un des premiers clients

Tout a commencé en 1918. A la demande d’une de ses clientes, un pharmacien parisien, M. Pascale, met au point un bouchon d’oreille à base de cire et de coton. Sa cliente est ravie.

Ce succès le pousse à produire cette « sourdine » en série, et à en assurer la promotion dans la presse. « Que ceux dont le sommeil est léger ou qui ont des voisins bruyants, que les névrosés, les neurasthéniques, les malades respirent, car ils vont dormir ! », promet l’apothicaire. Marcel Proust, un des premiers clients, n’est toutefois guère satisfait : « J’ai eu un commencement d’otite par suite du bouchage d’oreilles par ces boules que je mets pour dormir et qui sont très difficiles à retirer », se plaint-il en 1920.

L’année suivante, le créateur de Quies s’associe officiellement avec deux partenaires : le mari de sa cliente, M. Henry-Lepaute, et Joseph Moreau, l’arrière-grand-père du président actuel. Ensemble, ils créent la société Quies et déploient l’épervier pseudo-égyptien qui restera longtemps l’emblème de la marque.

Un siècle après leur invention, la composition des boules roses a peu changé, même si leur fabrication, un temps confiée à des « bouleuses » travaillant chez elles en province, est désormais très automatisée.

Développement des exportations et diversification

A Palaiseau, au premier étage, les boules sont mises dans des boîtes à toute allure, et les boîtes dans des cartons. Olivier Denis Du Péage hausse la voix pour couvrir le cliquetis mécanique : « Les nouvelles machines, plus robotisées, vont nous donner de la flexibilité. Nous pourrons produire des boîtes de huit boules le lundi, de douze le mardi, etc., pour répondre aux besoins des différents pays. » Le premier enjeu du moment consiste en effet à développer les exportations, qui ne pèsent encore que 20 % du chiffre d’affaires.

La diversification de l’offre est l’autre grand sujet clé. Sur place, des appareils fabriquent déjà des bouchons en mousse, près de 30 millions par an. La maison propose aussi des sprays auriculaires, des bâtonnets pour enlever le cérumen, et un assistant d’écoute concurrent de ceux de Sonalto.

Après avoir fait le tour de l’oreille, Quies a mis au point une flopée de produits contre le ronflement, des lingettes pour les yeux, un antipoux. Prochaine étape, la mise en place d’une gamme d’hygiène buccale.

A chaque fois, l’idée est la même : s’appuyer sur la puissance de la marque Quies pour élargir la palette de la société, avec des articles contre les « petits bobos du quotidien » distribués en pharmacie, sans trop de concurrence. Aujourd’hui, la protection des oreilles ne représente déjà plus que 30 % des ventes. Les risques sont répartis. Avec ou sans boules, les oncles peuvent dormir sur leurs deux oreilles.

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