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Jours tranquilles à Paris
28 décembre 2017

Maison de la Culture du Japon à Paris - exposition = reprise le 4 janvier 2018

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Pour son 20 e anniversaire, la MCJP évoque les premiers rapports du Japon avec la France au XIXe  siècle à l’aube du japonisme à travers de nombreuses pièces: maquettes de maisons, objets en laque, nacre ou céramique, livres, peintures, estampes et photographies. Cette exposition présente aussi les ambassades japonaises sous le Second Empire et l’époque où les artistes français découvrent avec admiration le chatoiement des kimonos, les vives couleurs des estampes des années 1840-1865 et le naturalisme des livres illustrés de Hokusai et ses contemporains.

À l’époque des shoguns Tokugawa installés à Edo, le commerce se faisait par l’intermédiaire des Hollandais et des Chinois depuis leurs comptoirs de Nagasaki. Lors de leur retour en Europe, les responsables du comptoir hollandais rapportaient des collections japo - naises, tandis que les Français qui se rendaient en Chine pouvaient y acquérir des objets japonais. Le Japon fermé était moins coupé du monde qu’on ne l’imaginait et connaissait déjà diverses choses de la France, notamment les événements de la Révolution et de l’Empire.

Après la signature du traité de commerce et d’amitié entre le Japon et la France en 1858, le commerce s’intensifia. Le Japon participa officiellement pour la première fois à une Exposition universelle, celle de 1867 à Paris, à l’occasion de laquelle le jeune prince Akitake Tokugawa visita la France, à la veille de la restauration de Meiji qui transforma radicalement le Japon.

L’exposition À l’aube du japonisme réunit des objets – souvent inédits – conservés en France, qui illustrent la connaissance que les Japonais avaient des Français : des médaillons en laque noir et or d’après des gravures transmises par les Hollandais, mais aussi des peintures de Hokusai offertes à la Bibliothèque nationale de France par le fils du capitaine du comptoir de Deshima, qui montrent la familiarité de Hokusai avec la perspective occidentale.

Des objets japonais, laques, céramiques, modèles de maisons, qui étaient en vente à Paris dès 1840, seront également présentés, de même que des pièces japonaises collectées par les membres de la mission française lors de la signature du traité de 1844 avec la Chine, et qu’une remarquable vue de Deshima, en laque et nacre.

La collection du baron de Chassiron, membre de l’ambassade française au Japon de 1858, les photographies faites à Paris des membres des ambassades japonaises de 1862 et 1864, des porcelaines, des albums d’estampes, des livres illustrés présentés à l’Exposition universelle de 1867 montreront comment, en peu d’années, s’installe un réel engouement pour l’art japonais qui prend bientôt le nom de japonisme.

Commissaire de l’exposition : Geneviève Lacambre, conservateur général honoraire du patrimoine

Reprise de l'exposition le 4 janvier. La Maison de la Culture du Japon à Paris est fermée entre Noël et le Nouvel An

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28 décembre 2017

Vu sur internet - j'aime beaucoup

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Cette photo me fait penser à "Portier de nuit"

28 décembre 2017

Polémique autour du décret autorisant la publicité sur les trottoirs

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Par Vincent Fagot - Le Monde

Les villes de Bordeaux et de Nantes et la métropole de Lyon vont expérimenter pour une durée de dix-huit mois les marquages publicitaires.

A Bordeaux, la pilule passe mal. Alors qu’un décret publié dans le Journal officiel du 24 décembre autorise pour dix-huit mois, à titre d’« expérimentation », les « marquages sur les trottoirs à des fins publicitaires » dans la capitale de la région Nouvelle-Aquitaine, la mairie a fait connaître son agacement.

Dans un communiqué, la municipalité s’est étonnée, mardi 26 décembre, que « les élus et administrations de la Ville de Bordeaux et de Bordeaux Métropole n’ont à aucun moment été consultés ou informés en amont de cette décision ».

Le texte rappelle en outre que la ville « a régulièrement opposé un refus à des demandes de ce type émanant d’annonceurs ou de commerçants considérant que cela constituait une pollution visuelle inutile ». Le même étonnement a prévalu à la découverte du décret à la mairie de Nantes, l’une des trois agglomérations, avec la métropole de Lyon, qui sont concernées par cette initiative.

L’idée d’une révision du règlement sur la publicité remonte à l’été 2016, dans le cadre d’un projet soutenu par le ministre de l’économie de l’époque, Emmanuel Macron, et confié à la direction générale des entreprises. Avec le programme « France Expérimentation », il s’agissait, sur la base d’un appel à candidatures, d’identifier des secteurs innovants dont le développement serait freiné par la législation, et de tirer parti de l’article 37-1 de la Constitution autorisant, depuis 2003, des « dérogations temporaires à certaines dispositions réglementaires afin de tester et d’évaluer en conditions réelles les conséquences d’une nouvelle réglementation ». Six lauréats avaient été retenus, dont la société lyonnaise Biodegr’AD, spécialisée dans la publicité sur les trottoirs.

La possibilité d’un revenu pour les munipalités

C’est dans ce contexte que s’inscrit le décret publié dimanche. Il permet de s’affranchir pour une durée de dix-huit mois de certaines dispositions du code de la route et du code de l’environnement, qui empêchaient jusque-là le recours à la réclame sur les trottoirs pour des raisons de sécurité routière et de qualité de vie.

Le texte encadre pour la première fois une pratique déjà en vogue : ces publicités devront être faites par projection ou apposition d’eau ou de peinture biodégradable à travers un pochoir, disparaître au bout de dix jours au plus, ne pas excéder une surface de plus de 2,5 mètres carrés, et être séparées de 80 mètres au minimum. De tels affichages sont en outre interdits dans des secteurs spécifiques, par exemple à proximité de monuments historiques ou dans des parcs naturels.

Même si le décret prévoit que l’expérimentation fera l’objet d’une évaluation tous les six mois et est susceptible d’être suspendue à tout moment, les associations hostiles à la réclame y voient un passage en force dissimulé. Pour Khaled Gaiji, porte-parole de Résistance à l’agression publicitaire, cette expérimentation représente « un recul majeur ». « L’espace public est le seul endroit où on pourrait choisir de ne pas subir ces messages. Or c’est tout le contraire qui se produit », explique-t-il, en pointant la multiplication des banderoles publicitaires sur les bâtiments historiques. L’association envisage déjà de mener des actions à Bordeaux, pour manifester sa désapprobation.

De son côté Guillaume Pâris de Bollardière, l’un des cofondateurs de Biodegr’AD, souligne que « cette expérience n’est pas contraignante pour les collectivités, qui auront toujours le dernier mot d’autoriser ou non ces réclames ». Selon lui, elle a surtout l’avantage d’ouvrir le débat et doit permettre de « poser les fondations d’un modèle intéressant pour toutes les parties », ouvrant notamment la possibilité aux municipalités de percevoir des revenus sur ces nouveaux formats publicitaires, ce qui n’était pas possible jusque-là.

Des audiences quantifiées et qualifiées

Depuis cinq ans, la société, qui compte aujourd’hui de nombreux concurrents, propose déjà à des grands comptes (ERDF, Kia, SFR…), à des petits commerçants ou à des associations ses réclames sur trottoir en faisant valoir la possibilité de toucher des audiences quantifiées et qualifiées selon le lieu choisi (devant une auberge de jeunesse, une salle de sport…), même là où aucun équipement publicitaire n’est présent.

Malgré une législation défavorable, Biodegr’AD assure n’avoir été sanctionnée par une amende que quatre ou cinq fois. Pour l’avocat de la société, Gilles Le Chapelier, cela s’explique par l’interprétation « libérale ou stricte » que font les municipalités du code de la voirie. De la même manière, les villes peuvent se doter d’un règlement local de la publicité plus ou moins strict.

Aujourd’hui les villes concernées par le décret sont dans l’expectative. Dans son communiqué la mairie de Bordeaux se dit « dans l’attente de précisions quant à l’utilité d’une telle décision et des conditions de son application ». Peut-être sera-t-elle satisfaite, au moins, que le texte lui confie, conjointement avec la mairie de Nantes et le conseil de la métropole de Lyon, la mission de rédiger un rapport final sur les impacts du dispositif en termes de sécurité routière, de bénéfice économique et de perception de la population.

28 décembre 2017

Coco de Mer

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28 décembre 2017

Le Studio des Acacias accueille la nouvelle exposition du photographe de mode visionnaire Sølve Sundsbø.

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« Sølve Sundsbø pour Numéro », première exposition solo inédite consacrée à l’artiste en France, explore deux décennies de collaboration entre le photographe norvégien et le magazine Numéro.

Paul-Emmanuel Reiffers, Fondateur du Studio des Acacias et Président de Mazarine Group, a souhaité inscrire ce nouveau chapitre à la programmation du Studio, résolument tournée vers la photographie et la scène artistique contemporaine.

Né en Norvège en 1970, Sølve Sundsbø est installé à Londres. Avec ses images expérimentales et oniriques, il s’est imposé rapidement comme l’un des principaux photographes de mode au monde et l’un des plus talentueux de sa génération. En couleur ou en noir & blanc, chacun de ses clichés répond à uneesthétique intransigeante et très sophistiquée.

Son travail a été célébré dans de nombreuses expositions, mis à l’honneur dans les ventes aux enchères de Phillips de Pury et est conservé dans la collection permanente de la National Portrait Gallery à Londres.

Amateurs et collectionneurs pourront pendant un mois admirer ses images extraordinaires au Studio des Acacias et acquérir des tirages en édition limitée mis en vente exclusivement dans le cadre de l’exposition.

http://www.solvesundsbo.com/work

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aca10Photos ci-dessus : J. Snap

Le Studio des Acacias est une maison "atelier d'artiste" répartie sur trois niveaux avec de grands volumes et des plateaux lumière naturelle.

Ground floor : Grand plateau photo de 220 m2

1er étage : Salon privé accueillant la collection d'art et photo permanente du Studio

2ème étage : Plateau photo "lumière du jour" sous verrière

Le Studio des Acacias  

Adresse : 30 Rue des Acacias, 75017 Paris

 

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28 décembre 2017

SNCF. La ministre des Transports demande des comptes après la « succession d’incidents »

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La ministre des Transports Elisabeth Borne a écrit, ce mercredi 27 décembre, un courrier aux dirigeants de la SNCF. Elle leur demande des comptes après la « succession d’incidents importants et médiatisés » des dernières semaines dans les gares parisiennes de Montparnasse, Bercy et Saint-Lazare.

Elle tape du poing sur la table. La ministre des Transports Elisabeth Borne a écrit, ce mercredi 27 novembre, aux dirigeants de la SNCF. Elle leur demande des comptes après la « succession d’incidents importants et médiatisés » survenus ces dernières semaines dans les gares parisiennes de Montparnasse, Bercy et Saint-Lazare.

Pour mémoire, la SNCF a dû faire face coup sur coup à : une panne géante due à un « bug informatique » le 3 décembre à Montparnasse, une grande pagaille « en raison d’une affluence de voyageurs bien supérieure à la capacité des trains » samedi à Bercy, et enfin à une panne électrique mardi à Saint-Lazare.

« Tirer ensemble le bilan de ces incidents »

« Tous ces incidents n’ont pas le même niveau de gravité. Pourtant, pour beaucoup, et notamment pour les voyageurs touchés par ces incidents, la répétition de ces situations apparaît incompréhensible et suscite une légitime exaspération », dit Elisabeth Borne dans le courrier dont l’AFP a obtenu copie..

Elle a convoqué le 8 janvier le patron du groupe public et président de SNCF Mobilités, Guillaume Pepy, et le président de SNCF Réseau, Patrick Jeantet, pour qu’ils puissent « tirer ensemble le bilan de ces incidents » et qu’ils présentent leurs « analyses et les actions engagées », selon la missive.

« Restaurer la confiance dans le système ferroviaire »

« Vous vous attacherez à montrer dans quelle mesure le plan de rénovation du réseau (en cours), auquel le gouvernement apporte son soutien, ainsi que le programme 'robustesse & information' que vous avez initié permettent d’apporter les réponses suffisantes pour restaurer la confiance dans le système ferroviaire », écrit-elle.

En attendant, Elisabeth Borne a appelé la SNCF « à la plus grande vigilance dans la préparation et le suivi […] des grands retours ».

Un premier avertissement après la panne à Montparnasse

Ce n'est pas la première fois que la ministre des Transports convoque ainsi les dirigeants de la SNCF. Elle a reçu M. Jeantet début décembre, quelques jours après la grande panne de la gare Montparnasse, due à des manipulations informatiques ayant mal tourné sur du matériel des années 1980.

Et elle avait déjà demandé des explications fin juillet, quand une panne de signalisation avait quasiment paralysé la même gare pendant trois jours, en plein chassé-croisé estival. Déjà, Mme Borne appelait à « limiter l'impact des incidents », et « mieux informer les voyageurs » avec un système « plus réactif et plus cohérent ».

Côté infrastructures, Patrick Jeantet a promis début décembre « une profonde réorganisation » dans la gestion de la rénovation du réseau, avec à la clef la nomination d'un nouvel adjoint et un inévitable audit des installations.

Investissements

Guillaume Pepy est également invité au ministère cette fois-ci, car les aléas des chantiers de modernisation n'expliquent pas tout. Il devra notamment expliquer pourquoi la SNCF n'a pas su répondre à la demande à la veille de Noël, et répondre aux critiques sur les défaillances régulières dans l'information aux voyageurs.

La SNCF s'est engagée fin novembre à investir 150 millions d'euros d'ici à 2020 dans ses interactions avec les passagers. Car si elle communique beaucoup, elle est suscite régulièrement la colère de voyageurs en raison du manque d'informations fournies en cas de perturbations importantes, des critiques désormais amplifiées par les réseaux sociaux.

28 décembre 2017

Kishin Shinoyama - photographe

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28 décembre 2017

IPhone bridés : une plainte en France contre Apple pour «obsolescence programmée»

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L’association Halte à l’obsolescence programmée a porté plainte ce mercredi contre le géant américain, qui a admis ralentir volontairement les anciens modèles de son smartphone.

La semaine dernière, Apple a reconnu ralentir volontairement les anciens modèles d’iPhone. D’après le géant américain, le but est « de prolonger la durée de vie » des smartphones. L’explication ne convainc pas l’association française Hop, qui a déposé une plainte contre Apple pour l'« obsolescence programmée », selon un communiqué. La plainte, déposée ce mercredi auprès du procureur de la République à Paris par l’association Halte à l’obsolescence programmée (Hop), vise également le chef de « tromperie ».

En septembre, l’association Hop avait déjà déposé une plainte contre plusieurs fabricants d’imprimantes, notamment HP, Canon, Brother et Epson, pour les mêmes raisons. Il s’agissait alors de la première plainte en France contre le délit d’obsolescence programmée.

L’obsolescence programmée punie par la loi depuis 2015

Dans sa plainte transmise à la presse, Hop estime qu’Apple réduit les performances et la durée de vie des iPhone afin d’en accélérer le remplacement. « Apple a mis en place une stratégie globale d’obsolescence programmée en vue d’augmenter ses ventes », estime l’association. Elle considère donc qu’Apple est susceptible d’être poursuivi pour l’ensemble des iPhone vendus en France depuis la promulgation de la loi du 17 août 2015, qui a introduit le délit d’obsolescence programmée dans le droit français.

La semaine passée, Apple avait justifié sa décision en raison de l’utilisation de batteries au lithium-ion qui ont davantage de difficultés à répondre à d’importantes sollicitations par l’utilisateur du téléphone lorsqu’elles vieillissent. Il confirmait ainsi, pour la première fois, des rumeurs sur de possibles ralentissements volontaires des iPhone, récurrentes depuis des années dans la presse spécialisée et les nombreux sites consacrés à Apple. Aux États-Unis, une action de groupe a été lancée la semaine passée contre la marque à la pomme. Une plainte a également été déposée en Israël.

28 décembre 2017

Fétichisme

FETISH

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fgetic

28 décembre 2017

Théâtre - j'y vais demain soir

chemin des dames

Théâtre - Le chemin des dames.   Théâtre Essaïon   Théâtre à Paris, France Le théâtre Essaïon est un théâtre de Paris situé 6, rue Pierre-au-Lard à Paris 4ᵉ, dans le Marais. Wikipédia Adresse : 6 Rue Pierre au Lard, 75004 Paris Téléphone : 01 42 78 46 42

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