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Jours tranquilles à Paris
12 février 2015

Nobuyoshi Araki

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12 février 2015

EGOÏSTE

EGOÏSTE : LA HAUTE-COUTURE DE LA PRESSE MODE

Par Clovis Goux

EN TRENTE-HUIT ANS ET DIX-SEPT NUMÉROS, LA REVUE EGOÏSTE S’EST IMPOSÉE COMME LA HAUTE COUTURE DE LA PRESSE. RETOUR SUR UNE AVENTURE AU COEUR DE LA MODE ET PLEINE DE CAPRICES.

C’est avec l’imprévisibilité de ceux qu’on n’attend plus que le n° 17 du magazine Egoïste a fait son apparition, majestueuse comme il se doit, dans les kiosques le 23 janvier 2015. Pas difficile pour cet ovni de la presse française de se faire une place entre Le Nouveau Détective, Femme Actuelle et Vanity Fair. Au milieu de ses congénères, on ne voit en effet que lui : 30 x 40 cm, 45388 pages volantes reparties en deux volumes, 2,3 kg au bas mot, le noir et le blanc comme unique dress code, la typo Walbaum comme seule religion, et un prix (35 €) qui n’a pas bougé depuis des années. Si Egoïste joue la carte de l’intemporalité, voire de l’anachronisme pour ses détracteurs, c’est que sa périodicité totalement capricieuse (le précédent numéro a paru il y a trois ans) dépend du bon vouloir de sa directrice Nicole Wisniak, que l’on rencontre au Café de Flore. Aux commandes de ce vaisseau amiral depuis trente-huit ans, cette sexagénaire aux cheveux et au tempérament de feu sort son magazine quand elle estime qu’il est prêt. En véritable perfectionniste, elle remet ainsi son ouvrage sur le métier jusqu’à ce que la profondeur de tel noir dans l’iris de tel mannequin soit à la hauteur de ses exigences, car comme elle aime à le marteler : "Le temps est le meilleur rédacteur en chef." Vous l’aurez compris : Nicole Wisniak travaille dans le luxe et plus précisément dans la haute couture d’une presse peu habituée à de tels égards.

UN BOTTIN DES ARTISTES MAJEURS

Tiré à 25 000 exemplaires, Egoïste n’est ainsi jamais réimprimé. Ce qui n’est pas pour déplaire aux collectionneurs avisés : la cote des anciens numéros ne cesse de grimper, atteignant souvent des sommes absurdes. C’est en 1977 que cette fille d’immigrés polonais, élevée dans le sérail du 5e arrondissement de Paris, resté son fief, lance sur un coup de tête le premier numéro d’Egoïste : "J’avais l’idée de viser immodestement l’excellence. Quand j’ai commencé le journal, j’avais 8 000 francs sur mon compte en banque", dit-elle tout en saluant deux ou trois têtes connues attablées en terrasse du Flore. A 26 ans, celle qui affirme n’aimer "ni la contrainte, ni l’obéissance" a peu d’expérience mais un carnet d’adresses conséquent. Elle veut façonner un objet hors norme qui réunisse les meilleures signatures et photographes au service des grands de ce monde. Sur les conseils de son amie Françoise Sagan, elle écarte les journalistes au profit des écrivains. Un véritable bottin mondain des artistes majeurs de leur époque va ainsi se rencontrer dans les pages d’Egoïste au gré d’une parution "spasmodique", comme aime à la qualifier Nicole : Gainsbourg, Jagger, Borges, Chéreau, Modiano, Sartre, Dalida, Adjani, Finkielkraut, Ava Gardner, Sagan, Pialat, Patrick Besson, Fellini, Warhol, Bernard-Henri Lévy, Cioran, Baudrillard, sœur Emmanuelle, Beigbeder…

LA LIBERTÉ ET LE COURAGE

Pour immortaliser ces chocs de titans, d’autres stars donc : Helmut Newton shoote en couverture Ava Gardner une clope entre les dents, tandis que Richard Avedon suspend Yannick Noah à poil dans les airs. Des clichés désormais entrés au panthéon. Depuis la disparition de ces deux géants de la photographie, Egoïste s’est offert à l’objectif de Paolo Roversi, qui règne sur la photo de mode contemporaine. Pour les deux couvertures du n° 17, il a photographié une star planétaire, Cate Blanchett, et une étoile en pleine ascension, l’actrice iranienne Golshifteh Farahani, bannie de son pays depuis qu’elle a décidé de faire carrière à l’étranger, et qui dévoile tout de son anatomie. "Elle a voulu affirmer la beauté de son corps face à un système qui le nie, souligne Nicole Wisniak. Je ne veux pas être comme Louis XVI qui disait “rien à signaler” le 14 juillet 1789. Le contenu d’Egoïste est le reflet de l’air du temps, avec toujours une obsession pour la liberté et le courage." Mais la grande singularité d’Egoïste est d’être, avant tout, le seul magazine dont on regarde les publicités avec autant d’attention qu’on peut y lire un portrait du pianiste Daniil Trifonov par Michel Schneider ou la complainte des mal-filmés de Patrick Besson qui prend notamment la plume à la place de Jésus pour se plaindre du traitement que lui a infligé Mel Gibson sur grand écran (La Passion du Christ, ndlr).

DES MICROFICTIONS LUDIQUES

Effectivement, les quelque 80 pages de pub qui ouvrent et ferment Egoïste, vous ne les verrez nulle part ailleurs pour la simple raison que Nicole Wisniak refuse celles déjà existantes et qu’elle les réalise elle-même, comme des microfictions ludiques qui se déroulent sur plusieurs pages. On peut ainsi voir dans la dernière livraison du magazine deux amazones bardées de cuir découvrir la calèche d’Hermès telle une peinture rupestre au fond d’une grotte, ou une carabinière décrocher un collier Chanel en tirant sur une constellation. Vendues une fortune aux annonceurs, ces publicités ne leur sont révélées qu’à la toute fin par Nicole. Elles sont le nerf de la guerre d’un magazine qui ne peut être réalisé que par une équipe réduite sur ses seules ventes : Eléonore Thérond et Siegfried de Turckheim à la direction artistique, Judith Grumbach, bras droit de sa mère, Nicole Wisniak. Quand on lui demande au moment de se quitter dans quel état d’esprit elle se trouve avant de commencer le n° 18, Nicole rit en lançant : "Comme quelqu’un qui s’apprête à grimper l’Himalaya en talons aiguilles."

Voir mes anciens billets sur EGOÏSTE :

EGOÏSTE 07:17 Photographe - Photographie
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L'actrice Golshifteh Farahani pose nue... 08/02/2015 Photographe - Photographie
EgoïsteGolshifteh FarahaniPresse
Golshifteh Farahani nue (pour la bonne... 06/02/2015 Presse
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EN NOVEMBRE 1977 PARAÎT LE PREMIER... 28/01/2015 Presse
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EGOÏSTE 26/01/2015 Presse
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EGOÏSTE - en vente à partir... 23/01/2015 Presse
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EGOÏSTE 21/01/2015 Photographe - Photographie
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EGOÏSTE 19/01/2015 Presse
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Egoïste... très bientôt en kiosque ! 13/01/2015 Presse
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Egoïste....très bientôt en kiosque 09/01/2015 Presse
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Egoïste... le 15 janvier en kiosque ! 28/12/2014 Presse
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C'est chic, c'est rare, c'est... 21/12/2014 Presse
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11 février 2015

Du mannequinat à la révolution de la photographie, voici Ellen Von Unwerth

Après avoir fait ses débuts dans le mannequinat à l’âge de 20 ans, Ellen Van Unwerth s’est rendue compte qu’il manquait quelque chose à l’industrie de la photographie, comme un grain de liberté et de folie dans ce milieu. Le déclic est venu lorsque son petit ami de l’époque, un photographe, lui a offert un appareil photo. Ellen Von Unwerth qui avait toujours posé devant l’objectif, se retrouvait derrière pour la première fois. Elle a commencé à prendre des photos de ses amies mannequins en les laissant choisir leur pose. Tout de suite, Ellen Von Unwerth a pris beaucoup de plaisir à prendre ses photos, tellement que la photographie est devenue sa nouvelle passion, détrônant le mannequinat dans son cœur : après dix années passées en tant que top model, elle décide de raccrocher pour passer derrière l’objectif. Avec un œil neuf dans le monde de la photographie et son passé de mannequin, elle permet à ses modèles de se faire plaisir devant l’objectif. Elle comprend mieux que quiconque les pensées de ces modèles, leurs états d’esprit et cela lui permet de pouvoir tirer le maximum à chaque séance de shooting, avec des poses ludiques, cinétiques à couper le souffle. Les photos qui ont mis Ellen Von Unwerth sous les feux des projecteurs sont celles réalisées avec Claudia Schiffer, au début des années 90. Cela lui a permis de remporter le premier prix du Festival International de la photographie de mode en 1991 : la consécration pour elle. Avec cette nouvelle renommée, elle parvient à travailler avec de grandes célébrités dans le monde de la mode. Elle a cette capacité innée de repousser les limites de la photographie avec des clichés de mode sur la sexualité féminine qu’aucun photographe n’avait osé auparavant, à l’image de ses photos avec Madonna pour le magazine Vogue en 1993 ou encore celles avec Drew Barrymore pour Playboy en 1995. Ellen Von Unwerth ne se contente pas seulement d’être une photographe de grand talent – citée parmi les plus grandes personnalités du monde de la photographie. Elle a aussi réalisé de nombreuses pochettes d’albums pour de grands artistes, tels que Duran Duran pour l’album « Liberté » (1990), The Velvet Rope (1997) de Janet Jackson. Plus récemment, elle a travaillé avec Britney Spears et son album « Back to Basics » (2006) ou encore Rihanna et ses albums « Rated R » (2009) ainsi que « Talk That Talk » (2011). C’est une artiste aux multiples facettes qui publie aussi des ouvrages dédiés à la photographie féminine naturelles et sexy comme Snaps (1994) ou Fraulein (2009). Elle appose aussi sa patte pour aider certaines entreprises comme Equinoxe ou Revlon à réaliser des vidéos publicitaires ou des films sur internet, sans hésiter à passer derrière la caméra.

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10 février 2015

EROTIC PHOTOS BY BETTINA RHEIMS SIMULATE THE FEMALE ORGASM (NSFW)

For Just Like a Woman, Paris-based photographer Bettina Rheims takes an intimate and titillating look at the female body, positioning herself directly above a set of nude models as they dramatize the moment of orgasm.

Having photographed many nudes throughout her prolific career, Rheims was inspired to take on the role of the lover, observing the height of female pleasure from an elevated vantage point. The women, she explains, were unable to see her as she worked, their views obscured by a dark curtain. As the women luxuriated on a mock bed, made of a bed-sheet covering the studio floor, she herself reclined face-down above them, talking dirty from behind the curtain to get her models in an erotic state of mind. The physicality of the orgasm, she says, was achieved not only through the models’ expressions but also through makeup designed to resemble flushed cheeks and broken sweats, and imprints of bras and panties were made along the naked flesh.

Here, Rheims simulates the erotic without being explicit, choosing only to reveal just enough flesh to suggest an ardent sexual encounter. The instant she captures isn’t necessarily one of penetration but of release, when inhibitions are abandoned entirely to corporeal sensation. Ultimately, she hopes to capture that elusive space between delirium and ecstacy, a moment wherein “the body is compressed and finally freed.”

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8 février 2015

Sports Illustrated

Née et élevée au bord d’une plage aux Iles Vierges des Etats-Unis, Hannah Davis porte le bikini (et le t-shirt blanc) comme personne. Même si la photo de couverture du nouveau “Swimsuit Issue” de Sports Illustrated a été prise dans une ferme, on a aucun mal à l’imaginer en Vénus sortie des eaux, même avec une esthétique plus pop que botticellienne. Agée de 24 ans, cette jolie blonde aux yeux verts n’est pas une inconnue du grand public, ne serait-ce que pour ses apparitions chez Victoria’s Secret, Ralph Lauren mais aussi une première apparition en 2013 chez Sports Illustrated ainsi qu’une petite carrière de tenniswoman dans les Caraïbes et dans l’équipe nationale des Virgin Islands de volleyball. Reste à savoir si, suite à l’arrivée du magazine en kiosque mardi prochain, elle connaîtra la même ascension stratosphérique que Kate Upton.

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8 février 2015

L'actrice Golshifteh Farahani pose nue pour revendiquer sa liberté

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7 février 2015

Le Turk Opera Mundi

7 février 2015

Photo : Patrick Demarchelier

Mes précédents billet sur Patrick Demarchelier : Photo : Patrick Demarchelier 07/02/2015 Patrick Demarchelier (photographe) 17/12/2014 Patrick Demarchelier (photographe) 30/10/2014 Victoria's Secret, les Anges shootées... 28/10/2014 Patrick Demarchelier (photographe) avec... 23/06/2014 Patrick Demarchelier (photographe) 15/02/2014 Natasha Poly et Patrick DEmarchelier... 31/10/2013 Vanity Fair 29/10/2013 Patrick Demarchelier (photographe) 20/10/2013 La modèle et les deux photographes 14/10/2013 Pirelli 2014 Calendar Peter Lindbergh... 06/10/2013 'Esprit Dior' exhibition in Shanghai -... 24/09/2013 ALLURE’S BODY BEAUTIFUL BY PATRICK... 24/08/2013 Calendrier Pirelli 2014 18/08/2013 Exposition : Patrick Demarchelier à la... 10/06/2013 Exposition : Patrick Demarchelier à la... 25/05/2013 Exposition : Patrick Demarchelier à la... 23/05/2013 Patrick Demarchelier (photographe) 19/05/2013 Kate Moss On Vogue UK’s June 2013 Cover... 02/05/2013 SAVE THE DATE : L'exposition Patrick... 01/05/2013 Patrick Demarchelier (photographe) 24/03/2013 VOGUE Japon mars 2013 - Patrick... 03/02/2013 Devon Aoki (à découvrir) 29/12/2012 Kate Moss 05/11/2012 Patrick Demarchelier né le 21 août 1943 21/08/2012 Patrick Demarchelier photographie Eniko... 16/08/2012 Vogue Russia February 2012 Cover : Anais... 18/01/2012 Kate Moss à la Galerie de l'Instant... 20/09/2011 Lara Stone pour Calvin Klein Underwear 26/07/2011 "Naked Glamour" de Calvin... 16/07/2011 Lara Stone est "Naked Glamour"... 15/07/2011 Gisele Bundchen plutôt quatre fois... 28/06/2011 Patrick Demarchelier (Photographe) au... 28/05/2011 Karlie Kloss par Patrick Demarchelier... 26/04/2011 Le calendrier Pirelli 2011 est dévoilé... 30/11/2010 Vogue Brazil - November 2010 Cover -... 31/10/2010 De Père en Fils .... 20/10/2010 Cheryl Cole par Patrick Demarchelier... 07/09/2010 Patrick Demarchelier (photographe) 09/08/2010 Patrick Demarchelier (photographe) 07/08/2010 Vogue UK September 2010 Cover - Kate... 03/08/2010 Patrick Demarchelier (photographe) 08/04/2010.

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6 février 2015

Présentation détaillée du projet Les prémices et

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Présentation détaillée du projet

Les prémices et les premières expérimentations de ce projet sont nés il y a presque 4 ans pour en arriver au projet qui suit :

Deux Point Zéro.

La naissance des réseaux sociaux et la multiplication des plateformes de partage ont donné à notre image une place primordiale dans cette nouvelle société virtuelle.

Cette fameuse image qui nous représente dans ce nouveau monde, de laquelle découle une estime de soi liée au regard des autres nous pousse à en montrer toujours plus, à nous dévoiler intimement et physiquement.

Le monde virtuel a réussi le pari de nous déshabiller.

Nous osons nous montrer, nous dévoiler souvent beaucoup plus que nous en serions capable dans la vraie vie.

C’est ce phénomène nouveau et qui touche n’importe qui que j’ai voulu représenter dans cette série de photos.

Le monde virtuel est ici représenté par un outil technologique de notre temps, un iPad.

Il est à la fois le symbole de ce monde, la frontière qui nous mène à lui et la représentation de cet écran derrière lequel nous nous sentons protégé.

Cette série est réalisée avec un vieil appareil photo datant dès année 40, une chambre photographique 4x5 où chaque personne est photographiée 2 fois sur le même plan film (un grand négatif), en surimpression.

J’ai choisi ce procédé à la chambre car il vient créer un conflit de génération entre l’écran du dépoli de la chambre derrière lequel le photographe se cache et l’écran de l’iPad derrière lequel se cachent les personnes photographiées.

http://jeremiemazenq.com

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3 février 2015

L’art du néon revisité en photo érotique : Robert Babylon (à découvrir...)

En soirée, c’est vraiment HYPE. Avoir un bâton lumineux au poignet, en collier, dans les cheveux ou de la peinture fluorescente sur le corps donne à la soirée une ambiance et un charme particulier. Robert Babylon s’en inspire pour réaliser ses photos avec les mêmes ingrédients.

Après s’être ennuyé pendant une dizaine d’années au programme spatial national britannique, Robert Babylon décide de tout lâcher pour vivre de sa passion, la photographie. Ses images sont uniques et spectaculaires. Elles combinent ses compétences photographiques traditionnelles avec une manipulation numérique, brouillant les frontières entre les deux. Bien lui en a pris. Avec cette nouvelle série de photo plus qu’érotique il montre combien il a de la chance de pouvoir prendre en photo ces modèles à la sensualité ravageuse. Le travail avec UV permet à Robert Babylon de pouvoir s’amuser et d’apporter une approche différente à ses clichés. Le corps bleui par les UV, rajoute un caractère sexuel au corps des modèles.

Robert Babylon a une utilisation tapageuse de la lumière par néon qui vient des années psychédéliques, les années 60. Son art est également inspiré par le mouvement surréaliste du XXe siècle. Salvador Dali et Günter Bloom sont ces deux principaux modèles. Il est un spécialiste de la création fétichiste. Il travaille en étroite collaboration avec ses clients pour leur permettre d’obtenir le résultat souhaité. Les positions sont explicites, mais ne trahissent pas l’art qu’il veut donner à ses clichés….quoi que.

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http://www.robertbabylon.com/

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