Le bikini en Algérie...
En Algérie, des femmes se battent pour porter le bikini. (Par Le Hic) pic.twitter.com/SeLIjGTOHU
— Ornikkar ™ (@ornikkar) 6 août 2017
En Algérie, des femmes se battent pour porter le bikini. (Par Le Hic) pic.twitter.com/SeLIjGTOHU
— Ornikkar ™ (@ornikkar) 6 août 2017
L'issue de l'élection présidentielle en Algérie ne faisait plus aucun doute. Le président sortant Abdelaziz Bouteflika est réélu, vendredi 18 avril, pour un quatrième mandat, avec 81,53% des suffrages, lors de l'élection présidentielle. Il avait été élu à 74% en 1999, 86% en 2004 et 90% en 2009. A 77 ans et en dépit de ses ennuis de santé, il partait grand favori face à ses cinq adversaires dont son ancien Premier ministre Ali Benflis qui rêvait d'une revanche après l'humiliation de 2004 où il n'avait récolté que 6% des suffrages.
"Face au terrorisme, il faut être implacable. (...) Il faut avoir à l'esprit que les terroristes, très nombreux, qui ont attaqué ce dépôt gazier sont des tueurs. Ils pillent, ils violent, ils saccagent."
Interrogé ce matin sur Europe1 sur l'intervention des forces spéciales algériennes à In Amenas, le chef de la diplomatie française a indiqué qu'il partageait le point de vue de François Hollande.
L'opération à In Amenas est désormais terminée. Sept otages et onze islamistes ont péri dans l'assaut final lancé par les forces spéciales algériennes dans la matinée. Il n'y avait plus de ressortissants français parmi les otages retenus sur le site gazier, avait annoncé ce matin le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.
"C'est à la justice algérienne, avec la justice française" de faire la lumière sur l'affaire des moines de Tibhirine, a affirmé François Hollande durant sa conférence de presse. Ces moines avaient été enlevés dans leur monastère algérien puis assassinés en 1996.
Cliquez également ICI
Le président François Hollande a déclaré mercredi que "la République reconnaît avec lucidité" la répression "sanglante" de la manifestation d'Algériens à Paris le 17 octobre 1961.
"Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l'indépendance ont été tués lors d'une sanglante répression", a déclaré François Hollande, selon un communiqué de l'Elysée. "La République reconnaît avec lucidité ces faits. Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes", a-t-il ajouté.
Le chef de l'Etat se différencie ainsi de ses prédécesseurs, particulièrement Nicolas Sarkozy, qui ont toujours refusé de faire acte de repentance. L'année dernière, pour les commémorations des cinquante ans de cette tragédie, la pression politique s'était intensifiée sur l'Elysée, mais Nicolas Sarkozy n'avait présenté aucune excuse, au grand dam des associations.
De nombreux responsables politiques avaient eux présenté des excuses au nom de l'Etat français. François Hollande, lui-même, avait signé une pétition initiée par Mediapart en faveur de la reconnaissance officielle de cette répression. Source : L'Express
Revoir mon billet du 20 décembre 2011