Galerie Bailly Contemporain
Il y a quelques années, une héroïne haute en couleur faisait son apparition sur internet : Mamika. Sous l’œil attendri de son petit-fils, le photographe Sacha Goldberger, cette baronne juive hongroise de 80 ans se livrait devant l’objectif aux activités les plus loufoques : repasser son chien, raser son cactus, se limer les ongles avec un cornichon, faire du ski dans l’escalier…
En 2010, l’engouement suscité chez les internautes et dans la presse par ces clichés drolatiques donnait lieu à la publication de deux ouvrages photographiques aux Éditions Balland, avec à la clé un énorme succès public et médiatique. A la galerie Bailly, Sacha Goldberger expose le dernier volet des aventures de sa grand-mère : ses pérégrinations de super héroïne déjantée à New York aux côtés de Super Papika (l’époux) et Super Papouka (l’amant). Dans un décor architectural dont la verticalité est soudain bousculée, « Mamika and Co » (c’est le titre de l’exposition) promènent le chien, repassent le linge et glissent sur des peaux de banane avec humour et poésie.
A la Galerie Bailly Contemporain
38 rue de Seine – Paris 6
Jusqu’au 29 octobre.
Toutes ces photos ont été prises au cours du vernissage de l'exposition Sacha Goldberger jeudi dernier 15 septembre 2011. Photos prises avec mon téléphone Nokia N8.
A la Galerie Bailly Contemporain (aujourd'hui)
Sabine Pigalle (photographe) à Galerie Bailly Contemporain - 38 rue de Seine - Paris
Le site de la Galerie Bailly
Vu ce soir, Sabine Pigalle :
Voir mes précédents billets des 15 juin 2010, 26 mai 2010, 07 mai 2010, 05 mai 2010 et, 20 mai 2009
Toutes les photos ci-dessus ont été prises avec mon téléphone Nokia N8
Exposition : Nal-Vad à la Galerie Bailly Contemporain
Le site de Nal Vad en cliquant ICI
David Nal-Vad,artiste plasticien franco-gabonais,ne en 1954,vit aujourd'hui a Paimpol, en Bretagne dans son village natal et maternel.Il a longtemps vécu en Afrique avant de s'installer en Bretagne. Il se définit comme un homme sans culture fixe, et ses toiles illustrent à merveille le métissage de sa double culture, alors que ses sculptures, sont totalement imprégnées de la grande tradition statuaire africaine. Il se dit "un vagabond des cultures".
Photos prises avec mon téléphone Nokia N95.
Lire article du "Télégramme" sur David Nal-Vad en cliquant ICI