Extrait de l’exposition Champs d’Amours - Hôtel de ville Salle Saint Jean 5 rue de Lobau 75004 Paris jusqu’au 28 septembre 2019
Une dessinatrice de mode solitaire s'éprend follement d'une jeune femme qu'elle entreprend de façonner, mais dont le départ soudain va la briser...
Impitoyable peintre du couple quelle qu'en soit la nature (hétéro, gay, g ou ici lesbien), Fassbinder utilise la i forme d'un huis clos stylisé pour dire l l'oppression amoureuse. Il Les Larmes amères de Petra von Kant / The Bitter Tears o/Pefra von Kant / Die bîtteren Tranen der Petra von Kant RainerWerner Fassbinder, Allemagne, 1972
En photo: Margit Carstensen, Hanna Schygulla lie de plateau --
Collection La Cinémathèque française
Extrait de l’exposition Champs d’Amours - Hôtel de ville Salle Saint Jean 5 rue de Lobau 75004 Paris jusqu’au 28 septembre 2019 : lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi de 10h à 18h30 A travers des affiches, des photographies, des livres, des costumes et des scénarios de films, l’Hôtel de ville de Paris raconte 100 ans de cinéma arc-en-ciel. A l’occasion du mois des Fiertés et 50 ans après les émeutes de Stonewall, l’exposition « Champs d’amours » montre l’évolution de la représentation des personnes LGBT sur le grand écran de 1919 à 2019. Près de 100 extraits de longs-métrages et une dizaine de longs-métrages animent l’exposition. Où : Hôtel de Ville de Paris Quand : tous les jours (sauf les dimanches) de 10h à 18h30
Exposition Champs d’Amours - Hôtel de ville Salle Saint Jean 5 rue de Lobau 75004 Paris jusqu’au 28 septembre 2019
Couronné de la Queer Palm et interdit aux moins de 16 ans en raison de ses scènes de sexe non simulées, le film d'Alain Guiraudie sort sous les louanges critiques et obtient un inattendu succès commercial. Seule ombre au tableau de ce polar se déroulant sur un lieu de drague ensoleillé : le retrait de l'affiche dessinée par Tom de Pékin dans deux villes, Versailles et Saint Cloud. Vingt jours après l'adoption de la loi sur le Mariage pour tous, ces municipalités conservatrices se disent choquées par le baiser entre hommes au centre de l’image, et la fellation suggérée en arrière-plan.
Extrait de l’exposition Champs d’Amours - Hôtel de ville Salle Saint Jean 5 rue de Lobau 75004 Paris jusqu’au 28 septembre 2019 : lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi de 10h à 18h30 A travers des affiches, des photographies, des livres, des costumes et des scénarios de films, l’Hôtel de ville de Paris raconte 100 ans de cinéma arc-en-ciel. A l’occasion du mois des Fiertés et 50 ans après les émeutes de Stonewall, l’exposition « Champs d’amours » montre l’évolution de la représentation des personnes LGBT sur le grand écran de 1919 à 2019. Près de 100 extraits de longs-métrages et une dizaine de longs-métrages animent l’exposition. Où : Hôtel de Ville de Paris Quand : tous les jours (sauf les dimanches) de 10h à 18h30
FUROSHIKI PARIS
Un furoshiki est un joli carré de tissu d’origine japonaise, utilisé depuis le VIIIe siècle pour emballer des objets afin de les transporter. Écologique, il est aujourd’hui considéré comme le premier « ecobag » du monde. Esthétique, il est désormais source d’inspiration pour les artistes contemporains. Car le furoshiki incarne des valeurs multiples : culture, tradition, savoir-vivre et hospitalité, mais aussi art et environnement. Du fait de ses nombreuses qualités, il est bon pour les Occidentaux, ou les Parisiens adeptes des carrés Hermès, de découvrir ce tissu au motif décoratif. Tel un cadeau emballé dans un furoshiki géant, le pavillon éphémère envoyé par Tokyo cet automne s’installe et se découvre sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris. À l’intérieur de celui-ci, plusieurs tissus nippons sont exposés, aux côtés d’installations artistiques. Celles-ci, réalisées par des designers et des artistes français et japonais, sont signées Yayoi Kusama, Annette Messager, Kohei Nawa, Jean-Michel Othoniel ou encore Constance Guisset. Inscrit dans le cadre du tandem Paris-Tokyo de l’année 2018, ce cadeau de fin d’année reçu légèrement en avance est une jolie métaphore des échanges croissants entre ces deux pays. Un haïku pour traduire « plaisir d’offrir, joie de recevoir » ?
Furoshikis are beautiful pieces of cloth traditionally used as reusable bags. A giant Furoshiki will be erected at the Hotel de ville for this fun exhibit !
HÔTEL DE VILLE
Du 1er au 6 novembre 2018
Place de l'Hôtel de Ville, 75004 Paris
"Kadamati"
#Kadamati @AkramKhanLive
— Théâtre de la Ville (@TheaVilleParis) 9 septembre 2018
Première représentation : fait ✔️💃🏼🕺🏻
Rdv sur le Parvis de l’Hotel de Ville à de nouveau à 16h & 17h
😉 @theatrechatelet @1418NOW @FondationBNPP @BloombergDotOrg @Telerama pic.twitter.com/uKyz1XFVhs
Ce dimanche, 700 danseurs se réuniront sur le parvis de l'Hôtel de Ville pour un spectacle gratuit hors norme // Produit par le théâtre de la ville en association avec le théâtre du Châtelet, ce spectacle va marquer les esprits ! Créé par le chorégraphe britannique Akram Khan, "Kadamati" ("terre d'argile" en bengali) réunit 700 danseurs professionnels et amateurs venant d'horizons professionnels très différents. Cette sorte de flash-mob (vous savez, ces mobilisations éclair et participatives qui font parler d'elle et donnent le sourire aux passants) rend hommage aux soldats ayant combattu lors de la Première Guerre mondiale. On commémorera en effet dans un mois le centenaire de la signature de l'armistice du 11 novembre 1918. Kadamati Le 9 septembre 2018 à 15h Parvis de l'Hôtel de Ville, 75004 Entrée libre
We’re on site and warming up!
— Akram Khan Company (@AkramKhanLive) 9 septembre 2018
727 dancers from all over Paris have come together today at the beautiful Parvis de l’Hôtel de Ville for performances in #Kadamati.
We’re so excited to be here in the city of love - join us from 3pm!@TheaVilleParis / @theatrechatelet / @1418NOW pic.twitter.com/AcCRPRJ090
Splendide performance artistique de 700 danseurs d’île-de-France sur le parvis de l’hôtel de ville de #Paris. Une mise en scène imaginée par le chorégraphe @AkramKhanLive. Reportage à suivre sur @BFMParis #Kadamati #danse@TheaVilleParis @theatrechatelet @BFMTV pic.twitter.com/ldXZlSaMkF
— Anne-Laure Banse (@AnneLaureBanse) 9 septembre 2018
Exposition : NAOKI URASAWA
NAOKI URASAWA
Rien n’est jamais tout blanc, ni totalement noir. C’est peut-être l’ambivalence de ces deux couleurs qui contraste le plus justement les thématiques brutales de la fameuse œuvre de Naoki Urasawa, 20th Century Boys, dessinée en noir et blanc. Le maître du manga japonais traite dans cet ouvrage de l’histoire de la secte Aum, considérée comme l’une des plus dangereuses au monde, dont les fondements nourrissent un imaginaire imprégné d’angoisse apocalyptique et salutaire. L’homme fuyant la mort, persécuté par la moralité de ses actes sur Terre avant le jugement dernier, une inspiration intemporelle. L'évènement est une rétrospective originale revenant sur les thématiques récurrentes de l’artiste : l’obsession d’un mal sans visage et sans nom, l’art comme forme supérieure d’aspiration humaine, le dialogue entre l’Orient et l’Occident, ou encore la crainte de la résurgence de dictatures sanguinaires. Amateurs et curieux ont ainsi l’occasion de contempler 500 planches originales de l’artiste à l’Hôtel de Ville. Une finesse du trait et un traitement de la matière si singulier qu’il serait dommage d’y couper.
Paris Rendez-Vous - Hôtel de Ville de Paris
Jusqu'au 31 mars 2018
29 rue de Rivoli, 75004 - M° Hôtel de Ville (1/11)
Du lundi au samedi de 10h à 19h
Entrée libre
Pour ceux, et celles qui ne le connaissent pas, une petite présentation s'impose : Naoki Urasawa a débuté véritablement sa carrière presque par hasard, grâce à un concours lancé par la maison d’Edition Shogakukan, qu’il remporte à l’âge de vingt-deux ans. Dans les années 1970, il découvre Métal Hurlant et voue dès lors, un culte à Jean Giraud, qu’il considère sans égal. Il devient l’un des premiers auteurs japonais à revendiquer l’influence de la bande dessinée franco-belge. Il est déjà venu à Paris, et même si pour lui, ce qui est important est de transmettre les émotions, cette exposition est très importante pour lui.
Le maître incontesté du manga de genre pour adultes grâce à des séries comme Monster, ou Pluto sorti en huit volumes en janvier aux Editions Kana, est exposé pour la première fois dans la capitale jusqu’au 31 mars à Paris Rendez-Vous, le concept store de l’Hôtel de Ville de Paris dans "L'Art de Naoki Urasawa".
Gratuite, cette rétrospective de son œuvre présente 500 planches originales, choisies parmi 30 000, dont de superbes illustrations en couleur. Les deux premiers chapitres de sa nouvelle série, Mujirushi, une commande du Musée du Louvre, seront également exposés. Et cadeau pour les fans, Naoki Urasawa a signé quelques dessins sur les murs blancs de l'exposition pour remplir le vide qu'il sentait quand il est venu la première fois.
Reportage photographique : J. Snap