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Jours tranquilles à Paris
lgbt
24 juillet 2019

ça se passe en Pologne !

lgbt

POLOGNE : Une importante campagne contre « l’idéologie LGBT » se déroule dans ce pays catholique. Le journal conservateur Gazeta Polska a annoncé offrir avec son prochain numéro, en kiosques le 24 juillet prochain, des autocollants d’une grande croix noire barrant un arc-en-ciel avec l’inscription « ceci est une zone sans LGBT ». Diffusé à près de 22.000 exemplaires, le magazine de droite est un fervent soutient du parti conservateur actuellement au pouvoir, le PiS (Droit et Justice).

« Je suis déçue et inquiète de voir certains groupes utiliser des autocollants pour promouvoir la haine et l’intolérance », avait réagi jeudi l’ambassadrice américaine Georgette Mosbacher sur Twitter.

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12 juillet 2019

LGBT - GAI PARIS

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Gai Paris

Paris, capitale du cinéma. Paris, capitale de l'amour. Paris, ville désirée par tant d'homosexuel-le-s comme un Eldorado où ils et elles pourraient enfin être eux-elles-mêmes dans cette liberté offerte par l'anonymat de la grande ville. Gay Paris des bals travestis et des cabarets, Chez Michou, Le Monocle, Madame Arthur, Chez Moune, Le Carrousel, et bien d'autres. Paris et son quartier gay, le Marais après d'autres, ses lieux de drague en extérieur datant parfois, comme le jardin des Tuileries, de l'Ancien Régime, ses quais de Seine et de gare propices aux rencontres, son Bois aux amours tarifées. Paris et ses amphis où s'élaborèrent tant de contestations et de combats, du féminisme aux réunions du FHAR (Front homosexuel d'action révolutionnaire) dans les années 1970 à Act Up vingt ans plus tard. Paris et ses rues et avenues au long desquelles se sont déroulées d'innombrables manifestations LGBTQI+ depuis un demi-siècle, qu'elles se nomment Gay Pride, Marches des Fiertés, Existrans, mobilisations du 1er décembre contre le sida. Des plus populaires. aux plus huppés, tous les quartiers de la capitale ont vu fleurir des histoires homosexuelles — tendres, engagées, sensuelles, festives... — dont des dizaines de scénarios ont su faire leur miel. Comme le chantait l'icône Coccinelle (la première vedette de cabaret transgenre française) dans le film Nuits d'Europe (Alessandro Blasetti, 1959) : « Ça c'est Paris ! »

11 juillet 2019

CHAMPS D’AMOURS - 100 ans de cinéma arc-en-ciel

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Comédies populaires, documentaires, biographies, films rares et militants, histoires d’amour du monde entier : découvrez une exposition organisée en collaboration avec La Cinémathèque française et la Mission Cinéma de la Ville de Paris, qui met pour la première fois en lumière toutes les couleurs du cinéma arc-en-ciel.

Il était une fois, avant 1919, des femmes et des hommes quasi invisibles, autant dans la société que dans les salles du cinéma naissant, jusqu’à ce qu’un film allemand, en révélant sur grand écran les premiers rôles explicitement homosexuels, apporte une lueur dans cette obscurité. Dès leur arrivée au pouvoir, les nazis s’empressèrent de l’éteindre, envoyant les « invertis » dans les camps.

Il faut attendre 1969, les émeutes autour d'un bar gay new-yorkais, le Stonewall Inn, et le mouvement de libération qui s’ensuivit, pour que le cinéma brise le carcan des tabous et contribue ainsi à une meilleure visibilité des homosexuel·le·s.

Aujourd’hui, en 2019, les représentations de personnages LGBTQI+ touchent tous les genres du cinéma : comédies populaires, drames passionnels, films expérimentaux et militants, documentaires, biopics.

La diversité des identités a finalement intégré les écrans du monde entier, explorant de nouveaux ressorts dramatiques qui suscitent maintenant les mêmes émotions que dans n’importe quel autre film.

C’est cette histoire sur cent ans, où se lient intimement cinéma et révolution des mœurs, que « Champs d’amours » propose de raconter à travers plus de 100 extraits de films, affiches, scénarios, photos et archives inédites.

Portée par les commissaires Alain Burosse, Jean-Baptiste Erreca, créateurs de la Nuit gay de Canal+, Laurent Bocahut, Michèle Collery et Didier Roth-Bettoni, cette exposition, en collaboration avec La Cinémathèque française, est une invitation à découvrir les révolutions culturelles, sensuelles et sexuelles qui ont émaillé le XXe siècle. Elle se déroulera alors que sera célébré dans le monde entier le cinquantenaire des émeutes de Stonewall à New York en 1969. Un soulèvement qui, rappelons-le, marque symboliquement la naissance d’un mouvement identitaire LGBTQI&+ et des longues luttes pour la reconnaissance des droits humains aux États-Unis, en Europe et dans le monde.

Champs d'amours

RÉTROSPECTIVE -LIBÉRATIONS SEXUELLES, RÉVOLUTIONS VISUELLES

La Cinémathèque française - Musée du Cinéma

51, rue de Bercy , 75012 PARIS

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1 juillet 2019

Chronique : LGBTQIA+… La sexualité a-t-elle besoin d’étiquettes ?

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Par Maïa Mazaurette

La prise en compte des identités minoritaires peut certes compliquer la vie. Tout cela ne relève-t-il pas du domaine du privé ? Pour la chroniqueuse de « La Matinale » Maïa Mazaurette, plus il y aura de mots, plus la société pourra être inclusive.

LE SEXE SELON MAÏA

LGBTQIA+, c’est pas bientôt fini cette histoire ? Lesbiennes, gays, bis, trans, queers, intersexes, asexuels, et il faudrait en ajouter encore ? Eh bien… oui, sans doute. Ce n’est pas si exaspérant, et puis en France, d’habitude, nous sommes plutôt friands d’acronymes : personne ne proteste quand on parle de l’Unicef, des Assedic ou du programme Erasmus.

Si vous n’êtes pas franchement convaincus par cette ribambelle de lettres, si vous faites partie de celles et ceux qui voient dans cette accumulation un très suspect besoin identitaire, il faut lire les mots de l’autrice Mélanie Fazi : « L’étiquette, ce n’est pas s’enfermer dans une boîte, ce n’est pas chercher à tout prix la normalité, ce n’est pas couper inutilement les cheveux en quatre. C’est savoir qu’il y en a d’autres comme nous. Savoir que [notre orientation] n’est pas un problème, et qu’on n’a pas à s’en vouloir de ne pas réussir à le résoudre : c’est une identité connue. Vivre sans étiquette, c’est n’avoir aucune existence aux yeux du monde, parce que les autres ne savent pas. »

Mais pourquoi les autres devraient-ils savoir ? Pourquoi devriez-vous savoir ? C’est simple : même de manière inconsciente, vous pensez savoir – notre société est organisée autour d’une certaine idée de la normalité. Ce qui complique la vie de personnes comme Mélanie Fazi : « C’est une redéfinition de chaque instant : rectifier ou non les attentes que les autres plaquent sur nous par défaut, revendiquer ou non cette différence, la vivre discrètement ou bien en faire un étendard. » (Son témoignage est à découvrir dans son ouvrage de non-fiction intitulé Nous qui n’existons pas, paru en 2018 aux éditions Dystopia.

Quand Mélanie Fazi parle d’attentes « par défaut », ces dernières se situent à des niveaux multiples. Jusqu’à preuve (et revendication) du contraire, la société nous considère comme bien installés dans notre sexe de naissance, qui correspondrait à notre genre, tout cela serait somptueusement hétérosexuel, l’amour serait la grande aventure qui nous rendrait complets, et nous ferions des enfants. Ce « par défaut » est absurde. Surtout quand l’histoire, la géographie ou les sciences sociales nous démontrent que l’ordre naturel est construit (nous avons par exemple appris à l’école que l’idée d’hétérosexualité aurait épaté les citoyens athéniens de l’Antiquité, lesquels nous auraient sans doute demandé pourquoi nous avons tant besoin d’exhiber cette « étiquette hétérosexuelle »).

Essayer d’inclure

Ne pas ressentir le besoin de s’identifier est un privilège : la norme est comme l’air qu’on respire, on n’y fait pas forcément attention. Parce que notre identité est invisible, on se demande pourquoi certain/e/s recherchent la visibilité, pourquoi certains passages piétons seraient recouverts d’arc-en-ciels, pourquoi nous aurions des LGBTQIA+ prides. Ne pourrions-nous pas laisser tout ça dans le domaine du privé ?

Le problème, c’est que si vous êtes hétéro, votre sexualité personnelle n’est pas privée. Elle passe dans le journal, dans les salles de cinéma, elle constitue l’idée que nous transmettons d’une existence épanouie. Rien que pour acheter un billet de train, vous devez renseigner votre sexe – et parfois votre statut marital (pourtant, ce n’est pas comme s’il existait des wagons pour femmes célibataires). Votre corps lui-même est une étiquette – quitte à rester au rayon papeterie, ne parle-t-on pas d’enveloppe charnelle ?

Certaines résistances viennent du fait que la prise en compte des identités minoritaires complique la vie. Ah oui, parfois, la vie est compliquée ! L’éthique est compliquée.

C’est le même argument pour l’écriture inclusive… Pourtant, en nommant, en faisant évoluer la langue, on inclut ces minorités aux débats. Cela ne va pas changer leur situation de manière directe, mais on ne change aucune situation, jamais, sans commencer par la prendre en compte.

Tout ce qu’on nous demande en ajoutant des lettres aux LGBTQIA+, c’est d’essayer d’inclure. C’est notamment à cela que sert le « + » final. C’est également pour cette raison que ce paquet de lettres pourrait être remplacé par un générique « queer » (tordu, entortillé). Alors, va-t-on finir avec un sigle de 79 lettres ? Un simple + ? On peut faire de la prospective, mais le passé nous montre que la langue et ses usages ne nous emmènent pas toujours dans la direction attendue. Et puis, quand on ne sait pas, on peut demander : qui es-tu, où vas-tu, dans quelle étagère ?

Identité mouvante

Peut-être que les personnes concernées ne sauront pas répondre à nos questions, parce que leur identité sera mouvante – ou que la question ne sera pas pertinente dans leur cas.

Vous connaissez bien cette situation, soit dit en passant : si vous êtes un homme hétérosexuel « normal », une femme féminine née sous le signe de Vénus, vous êtes déjà passé/e par des phases trans. Vous avez connu vos propres trajectoires sexuelles, vos propres accrocs dans la toile bien tissée des attentes sociales – et tant que vous serez en vie, cette trajectoire continuera son bonhomme de chemin (ou sa bonne-femme ou sa bonne-intersexe de chemin).

Vous avez transitionné de l’enfance à la puberté, vous avez découvert l’auto-érotisme. Peut-être avez-vous connu quelques escapades queers. Peut-être avez-vous porté un fœtus dans votre ventre. Peut-être vos érections sont-elles soutenues par des substituts chimiques. Votre sexe, votre genre, vos préférences, ne sont ni plus stables, ni plus normales, que celles de votre voisin/e intersexe butch demiromantique à tendance cuir & dentelles.

Un jour, sans doute, ces catégories n’auront plus aucun sens (parce que les notions d’homme et de femme auront disparu, parce que nous aurons renoncé à établir des orientations sexuelles fixes, parce qu’il n’existera plus aucune attente concernant l’obligation à aimer ou désirer quiconque).

Mais nous n’en sommes pas encore là. Pour l’instant, une partie non négligeable de la population essaie de ne pas se faire frapper en pleine rue, de ne pas embarrasser sa famille, de ne pas perdre son boulot parce que le/la boss est LGBTQIA+ phobe (si vous trouvez ça long, rappelons qu’il existe plus de 70 000 mots français comportant treize lettres ou plus – preuve que nous sommes parfaitement capables de gérer ce niveau de complexité).

Par ailleurs, réjouissons-nous de nos queers, trans, bears et autres fems : qui peut sincèrement désirer que sa langue possède moins de mots ? Même si certains sont des acronymes, ou des néologismes, ou même des synonymes ? Pourquoi ne pas voir le verre à moitié plein, la coupe à moitié remplie, le godet à moitié complet, la chope à moitié comble – et nous tous et toutes, à ce rythme, probablement totalement alcoolisé.e.s ? Les flacons importent. Tous les flacons. On aura d’autant plus d’ivresse.

28 juin 2019

Il y a 50 ans, le 28 juin 1969, des gays, des lesbiennes, des queens et des drags ripostèrent après un énième raid de la police

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18 mai 2019

Taïwan légalise le mariage homosexuel, une première en Asie

Par Brice Pedroletti, Taipei, envoyé spécial, Harold Thibault

Ce vote intervient deux ans après que la Cour constitutionnelle de Taïwan a rendu un arrêt jugeant anticonstitutionnel l’absence de mariage gay.

En devenant le premier pays d’Asie à reconnaître le mariage entre personnes du même sexe, Taïwan a confirmé, vendredi 17 mai, son statut d’avant-poste progressiste dans la région. « Le 17 mai 2019, à Taïwan, l’amour l’a emporté. Nous avons fait un grand pas vers l’égalité réelle, et fait de Taïwan un pays meilleur », a écrit la présidente Tsai Ing-wen sur Twitter, après que le Parlement a adopté une loi autorisant le mariage pour tous.

L’île, où se tient chaque année à l’automne une importante Marche des fiertés LGBT, est devenue un phare de tolérance dans une région conservatrice, notamment sur la famille. Plus tôt en mai, le sultan de Brunei a dû renoncer à son projet d’imposer la lapidation pour les homosexuels, face au tollé international suscité par l’annonce.

Surtout, Taïwan se démarque par son ouverture face à Pékin, qui revendique sa souveraineté sur l’île mais s’illustre par sa répression de la libre expression et le renforcement du contrôle du Parti communiste (PCC) sur la société civile en Chine continentale.

« Une vraie démocratie » face à la Chine

Toute la matinée, des dizaines de milliers de militants avaient attendu sous une pluie battante que s’ouvre la session de vote dans une rue coupée à la circulation, où une estrade avait été installée, à quelques encablures du Yuan législatif, l’Assemblée taïwanaise.

Les prises de parole se sont succédé, appelant à « montrer que le pays est une vraie démocratie, par comparaison avec un certain pays en face », référence à la Chine, et à « combattre les préjugés ». En cadence, l’ensemble de la foule a plusieurs fois repris les slogans du mouvement : « Le vrai amour, ça ne connaît pas la discrimination. » « Nous voulons le mariage ! Nous voulons le mariage ! » La présentation de chacun des articles de loi a été diffusée en direct. Il a fallu attendre le vote du quatrième, vers 13 h 30, pour que les cris de victoire et les hourras emplissent les alentours du Parlement.

Le calendrier avait été imposé à la présidente Tsai Ing-wen par une décision de la Cour suprême à l’issue du recours d’un militant des droits des homosexuels, Chi Chia-wei, appuyé par des associations : le 24 mai 2017, la plus haute juridiction de l’île avait exigé, au nom du droit constitutionnel à l’égalité, que soit adoptée sous deux ans une législation permettant le mariage entre personnes de même sexe. A défaut, les mariages homosexuels auraient été reconnus devant les cours de justice.

Résistance de mouvements religieux conservateurs

Le temps pressait donc pour mettre cette avancée au compte de l’administration de Mme Tsai, qui a porté le texte au vote à une semaine de la date limite et à l’occasion de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie.

En chemin, le gouvernement issu du Parti progressiste démocratique (DPP, gauche) s’est heurté à la résistance de mouvements religieux conservateurs, notamment chrétiens, qui s’étaient coalisés sous la bannière « Alliance pour le bonheur des générations futures ». Ils ont aussi multiplié les rassemblements et porté, en novembre 2018, des référendums d’initiative populaire afin « de restreindre à un homme et une femme la notion de mariage dans le code civil » ; malgré leur seule valeur consultative, ils ont compliqué la tâche du gouvernement.

L’administration soutient avoir tenu compte de cette opposition par un jeu d’équilibre dans le texte, qui permet que les couples de même sexe forment « des unions permanentes exclusives » et les fassent inscrire au « registre des mariages ». Le texte permet l’adoption de l’enfant du conjoint et donne aux couples de même sexe les droits dont jouissaient jusqu’alors les couples mariés hétérosexuels en matière d’imposition ou d’assurance.

« L’aboutissement de trente ans de lutte »

« Les articles 2 et 4 de la loi garantissent que les couples homosexuels puissent enregistrer leur union à l’administration des mariages en mairie, mais au nom d’une loi qui ne sera pas intégrée au code civil, qui ne mentionne pas le mariage des personnes de même sexe. Toutefois, les mêmes droits sont désormais reconnus aux couples homosexuels qu’aux couples hétérosexuels », explique « Benson », l’un des porte-parole de la Coalition pour l’égalité devant le mariage, l’organisation regroupant plusieurs des ONG qui réclamaient le mariage pour tous.

Depuis que le gouvernement a annoncé, en février, qu’il allait proposer au vote une loi, les associations promariage homosexuel ont négocié pour obtenir le maximum de droits – tout en encourageant les militants à accepter le « compromis » que constituait une loi séparée. « Certes, c’est un compromis, mais c’est l’aboutissement de trente ans de lutte », dit Jay Lin, un entrepreneur taïwanais qui dirige l’une des associations.

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28 juillet 2018

Le Rainbow Flag, étendard de la communauté LGBT

30 juin 2018

Les banderoles arc-en-ciel de l'Assemblée nationale vandalisées

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Après les passages piétons arc-en-ciel du quartier du Marais, ce sont les banderoles installées sur les portes de l'Assemblée nationale qui ont été vandalisées dans la nuit du vendredi au samedi, jour de la Marche des fiertés. L'auteur a été arrêté et serait un militant d'extrême-droite.

Un homme s'en est pris aux banderoles arc-en-ciel déroulées devant les portes et sur une façade de l'Assemblée nationale dans la nuit du vendredi 29 au samedi 30 juin, a révélé François de Rugy dans un tweet.

L'homme a été arrêté et "se revendique militant d’extrême droite et anti LGBT", ajoutant que l'Assemblée nationale portera plainte.

Marche des fiertés

Cet acte de vandalisme a lieu alors que la Marche des fiertés a lieu ce samedi 30 juin à Paris. Depuis trois jours, d'autres dégradations ont eu lieu, comme des tags homophobes ou anti-mairie de Paris sur des passages piétons aux couleurs LGBT.

Anne Hidalgo, en retour, a annoncé qu'ils seraient permanents et les services de la mairie ont procédé aux nettoyages de ces inscriptions.

La Marche, elle, démarrera à partir de 14h, place de la Concorde.

27 juin 2018

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24 juin 2018

Dans le Marais... en attendant la Gay Pride de samedi prochain (30 juin)

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La Gay Pride de Paris est le rendez-vous gay de France. Un incontournable depuis plusieurs années. Plusieurs français passent un long week-end sur Paris pour fêter librement cette diversité Depuis la fin des années 80, plusieurs militants des droits des gay et lesbiennes rêvent d’une gay pride à Paris. Un comité est formé en 1989 pour tenter de donner plus de droits aux homosexuels de France. Initialement, les premières manifestations pacifiques à Paris ne s’appelaient pas « Gay Pride » comme on peut l’appeler aujourd’hui. Ces événements avaient comme objectif de réunir des gens afin de militer pour les droits des homosexuels. Si aujourd’hui, Paris et plusieurs autres villes de France fêtent la Gay Pride librement, c’est grâce à des hommes et des femmes qui ont courageusement prouvé que les homosexuels avaient les mêmes droits que les hétérosexuelles. Malgré le fait que la Gay Pride n’a plus les mêmes objectifs initiaux, plusieurs combats sont toujours à venir sur les préjugés que font face les gays et lesbiennes. Cet événement a pour but de lutter contre l’homophobie. Paris propose une gay pride d’envergure internationale. Si cette Gay Pride est si importante, c’est bien entendu pour faire évoluer positivement la cause des droits des homosexuels. Fêtons tous ensemble lors de la prochaine Gay Pride de Paris!

L’essentiel de la Gay Pride de Paris

Dates : 30 juin 2018

Marche de la fierté : 30 juin 2018

Lieu des principaux activités : Centre-ville de Paris (Quartier du Marais)

Gay Pride de Paris 2018

Date de la Gay Pride de Paris

La semaine de la Gay Pride de Paris se tiendra le 30 juin 2018. C’est LE rendez-vous gay de l’année en France. Touriste, locaux et nationaux se donnent rendez-vous à Paris pour une marche coloré. Plus de 500 000 homosexuels et hétérofriendly sont présents pour fêté et s’amuser. Un rendez-vous incontournable pour la communauté gay de Paris. Durant cette journée, de nombreuses activités se tiendront partout à Paris. Le Marais est le quartier gay de Paris où se tient le plus d’activités aux couleurs de l’arc-en-ciel. Il faut dire que plusieurs activités non officiel ont lieux durant cette journée. Les événements sont autant dans les rues du Marais que dans les bars et discothèques gay de Paris. Il y a aussi bons nombres d’activités qui se tiennent dans les saunas gay de Paris. Comme l’événement se tient un samedi, beaucoup d’homosexuels arrivent le jeudi ou le vendredi pour bien débuter leur long week-end sur Paris. C’est également durant ce week-end de festivités qu’aura lieu la célèbre marche au coeur du centre-ville de Paris. My Gay Prides vous conseil fortement de réserver un hôtel parisien proche de la Gay Pride quelques semaines avant l’événement.

Marche de la fierté gay de Paris 2018

La marche de la fierté gay de Paris est l’événement gay numéro un de Paris, mais aussi de la France. C’est également l’une des principales gay pride en importance au monde. Plus de 500 000 homosexuels participent à la gay pride chaque été. Un événement touristique de classe mondiale.

Date de la marche de a fierté gay de Paris

La parade de la fierté gay de Paris a toujours lieu les samedis. Le défilé, une activité gratuite, aura lieu le 30 juin 2018. Paris à l’« exclusivité » de cette date en France. Toutefois, c’est la première fois depuis longtemps, qu’une autre marche se tient le même jour que celle de Paris. Ainsi, le 30 juin prochain, les gays et lesbiennes et leurs amis pourront aussi marcher à Biarritz le même jour que la Gay Pride de Paris.

Parcours de la Gay Pride de Paris

Le parcours de la Gay Pride de Paris 2018 se fera dès 14 h au métro du Luxembourg (place Edmond Rostand). Le défilé de la fierté gay de Paris passera par plusieurs rues parisienne : boulevard Saint-Michel, boulevard Saint-Germain, pont de Sully, Bastille et terminera à République.

Programmation et agenda de la Gay Pride de Paris

Pour connaître l’ensemble de la programmation et l’agenda de la Gay Pride de Paris, nous vous invitons à visiter le site web de Inter LGBT.

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