Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
marine vacth
17 mai 2016

Marine Vacth dans GQ

f5bc5c26-359f-4f5f-b34c-bdbe018c52d0

Photo : Paul Schmidt

Marine Vacth

tumblr_o6kf74sR9L1s6hy6ko1_500

Marine Vacth dans "Jeune et jolie"

Publicité
17 octobre 2015

Marine Vacth

12120467_166089287068933_1555353481_n

31 mai 2014

Retrait de la publicité d’un joaillier : homophobie ?

La mairie de Pecq (Yvelines) a provoqué le mécontentement de l’association SOS homophobie pour avoir fait enlever des publicités pour le joaillier Chaumet de la place Vendôme. L’affiche, baptisée « Double je », met en scène le visage de deux femmes sur le point de s’embrasser. Il s’agit en fait d’une seule et même personne se regardant dans un miroir, référence au mythe de Narcisse. La mairie aurait reçu une trentaine d’appels d’administrés « choqués » et a demandé à l’afficheur JC Decaux de retirer la publicité, ce que ce dernier a accepté. Selon l’association, la mairie « pratique une censure qui traduit la hiérarchisation des couples et des personnes selon leur orientation sexuelle ».

Voir mon précédent billet

29 mai 2014

Le Pecq: l’affiche au baiser censurée par la mairie après des plaintes

fd8e3ce3b715c577902fc1fb369e62cf

Quand il s’agit de baisers gays ou lesbiens, les mairies des Yvelines, comme Saint-Cloud et Versailles l’année dernière, sont décidemment enclines à la censure. Dans la ville du Pecq, voisine de Saint-Germain-en Laye, la municipalité a tout bonnement décidé de retirer les affiches de la campagne publicitaire du bijoutier Chaumet où l’on voit deux femmes sur le point de s’embrasser, rapporte Le Parisien dans son édition du 28 mai.

La mairie (UMP), qui n’a pas souhaité faire réagir les élu.e.s mais son service communication, se justifie en invoquant des pressions des parents. «Jeudi et vendredi, nous avons reçu de nombreux appels de parents: une dizaine au service communication et bien plus au cabinet du maire. (…) Ils nous ont dit que cela les gênait que les enfants soient soumis à cette image, que ça les choquait et les embêtait aussi de répondre à des réflexions des enfants à ce sujet.»

Mais en réalité, la photographie, intitulée The Double Take, met en scène une seule et même personne – l’actrice Marine Vacth, repérée par François Ozon dans Jeune et Jolie – afin d’évoquer le mythe de Narcisse, la dualité et l’émotion. Beaucoup de bruit, pour une affiche plutôt inoffensive, dont s’amusait déjà la sénatrice UDI Chantal Jouanno en avril dernier.

6 mai 2014

Marine Vacth...toujours aussi "jeune et jolie"

10152681_10152131893748226_6341237212181861605_n

10250165_10152131898773226_8457515856087547058_n

10269566_10152131899058226_7723893790745062432_n

10308178_10152131894343226_3079154474208861128_n

10322785_10152131899448226_7477092801771802049_n

Mes précédents billets sur Marine Vacth : 23/08/2013, 21/08/2013.

Publicité
23 août 2013

Marine Vacth : "Jeune et jolie"

IMG_0825

Marine Vacth dans le film "Jeune et jolie" de François Ozon

1305652161marine_vacht_officiel

Marine Vacth lorsqu'elle était modèle

marine001

IMG_0826

François Ozon

21 août 2013

"Jeune et Jolie" - sortie aujourd'hui dans les salles de cinéma

marine

"Jeune et Jolie"

Réalisation : François Ozon
Voir mes précédents billets sur François Ozon

La critique de Premiere

Isabelle Danel

Sensation de vertige. Observée à travers des jumelles, une ravissante demoiselle se dore langoureusement au soleil, en contrebas sur la plage. La piste du voyeurisme, immédiatement désamorcée (le mateur est en effet son petit frère !), reparaîtra à plusieurs reprises. Notamment lors de la scène de dépucelage au cours de laquelle Isabelle se dédouble pour se regarder dans les bras de son premier amant ou dans cette image récurrente à l’hôtel où la belle contemple son reflet dans la glace. La question du regard est réellement centrale dans Jeune & jolie. Objet ? Sujet ? Si « on n’est pas sérieux, quand on a 17 ans », comme l’a écrit Arthur Rimbaud, on n’est, à cet âge charnière où tout semble encore trop immobile, que ce que les autres projettent sur vous : une fille, une soeur, une copine, une petite amie... Isabelle, quant à elle, s’invente un autre rôle, prostituée,

Un autre prénom, Léa, et ce qu’elle en tire de plaisir, de douleur, d’apprentissage reste quelque peu opaque à nos yeux de spectateurs, comme à ceux de son entourage lorsque la vérité éclate brutalement. À travers ce fait de société, François Ozon examine sans juger, d’une caméra à la fois clinique et pudique, ce que grandir signifie. Faits et gestes, mensonges, ironie... Cependant, au fil de quatre saisons, les chansons de Françoise Hardy appuient inutilement le propos. Et le final est par trop artificiel pour suffire à conclure cette histoire qui observe un bouleversement. Mais la plupart du temps, le réalisateur frappe juste. Ça fait mal et c’est beau.

 

Les autres avis de la presse

    Toutlecine.com

    Camille Esnault

Finalement Jeune & Jolie n’est rien de plus qu’un énième récit d’initiation qui nous montre une jeune fleur passer à l’âge adulte au son des chansons de Françoise Hardy. L’addition n’est pas détestable, portée par des plans amoureux de la jeune Marine Vatch à la bouche cerise et à la moue mutine, qui nous renvoient aux égéries androgynes des années Hardy justement. A cela s’ajoute une jolie performance de Géraldine Pailhas en mère impuissante qui offre la scène la plus intense du film. > Ses dernières critiques : (Les Flingueuses) (Conjuring : les Dossiers Warren)

    Evene

    Olivier De Bruyn

Avec une rigueur extrême, sans jamais céder aux surenchères glauques, Ozon, en quatre chapitres et une heure trente tendue à l’extrême, met en scène avec une dérangeante inspiration l’aventure d’une fille qui, au-delà du bien et du mal, éprouve son pouvoir (sur les hommes, ses parents, ceux de son âge) et accomplit un parcours initiatique qui ne l’entrainera pas nécessairement à mieux se connaître. > Ses dernières critiques : (Né Quelque Part) (Belle du Seigneur)

    Libération

    Olivier Seguret

Complice, marionnettiste mais aussi victime reconnaissante, Ozon filme cette Marine-Isabelle littéralement comme un fou. Il se montre toujours aussi soucieux de maintenir cet équilibre entre gravité et divertissement qui caractérise son cinéma, mais semble aussi consentir à sa propre fascination pour l’actrice : à la fois sous hypnose et lucide, avec une concentration de grand maniaque, il la piste comme pour capter un moment animal, cosmique, universel et pourtant unique dans nos vies. > Ses dernières critiques : (Les Apaches) (Je Ne Suis Pas Mort)

    Télérama

    Louis Guichard

 Jeune et jolie s'affirme peu à peu comme une exploration de la solitude adolescente, affective et sexuelle. Une étude pleine d'empathie sur l'envie et l'impossibilité d'aimer – physiquement ou sentimentalement, selon les saisons. > Ses dernières critiques : (Frances Ha) (The Bling Ring)

    StudioCiné Live

    Emmanuel Cirodde

Alors que la Croisette attendait François Ozon sur le mode sulfureux, le réalisateur offre un film à la mélancolie mystérieuse. > Ses dernières critiques : (Les Flingueuses) (Un Nuage dans un Verre d'Eau)

    StudioCiné Live

    Christophe Chadefaud

Jeune & Jolie et l'un des plus beau film de François Ozon depuis Sous Le Sable. (...) Mystère et mélancolie comme écrin à l'éveil du corps d'une jeune fille. > Ses dernières critiques : (Chaque Jour que Dieu Fait) (Jeune & Jolie)

    Le Point

    Thomas Malher

Français François Ozon réussit le tour de force de raconter sans voyeurisme malsain mais avec justesse l'histoire d'une adolescente de 17 ans qui se prostitue comme elle vivrait une autre expérience extrême. > Ses dernières critiques : (The Bling Ring) (The Bling Ring)

    The Atlantic

    Jon Frosch

Un film malicieux, sensible, le portrait merveilleusement filmée d’une prostitué adolescente, de loin le meilleur film de François Ozon depuis « Swimming pool ». > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Cogan, Killing Them Softly)

    Film.com

    Jordan Hoffman

Un film qui expose la vie sexuelle d’une adolescente de 17 ans sans ménagement > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Dans la Tête de Charles Swan III)

    Time Out

    Keith Uhlich

Sur le même modèle que la plupart des films du prolifique Ozon, il y a une qualité éphémère dans « jeune et jolie » qui s’évapore petit à petit au cours du film. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (The Bling Ring)

    Village Voice

    Stephanie Zacharek

Ce film est raisonnablement irrésistible, particulièrement la manière dont Ozon met en scène la relation entre Isabelle et un de ses plus vieux clients. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Les Stagiaires)

    Daily Teleghaph

    Robbie Collins

Aussi pétillant et désaltérant qu’un verre de limonade. > Ses dernières critiques : (Le Dernier Pub avant la Fin du Monde) (Jeune & Jolie)

    A voir à lire

    Bruno Rit

Si Ozon filme avec perversité le portrait de cette jeune fille aussi belle qu’insaisissable, il ne tombera jamais dans l’excès, ni dans la vulgarité, malgré le regard troublant qu’il donne sur la prostitution. La finesse avec laquelle il explore l’inconscient sexuel de l’adolescence offre alors aux corps et aux esprits les moyens de s’exprimer avec une grâce éloquente. L’incroyable prestation de Marine Vacth ne fera que renforcer ce sentiment, tant celle-ci illumine l’image de sa beauté angélique. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Michael Kohlhaas)

    Ecran Large

    Stéphane Argentin

Avec une mise en scène et une direction d’acteurs magistrales, Ozon nous livre un remarquable éveil à la sexualité, aussi délicat que sensuel. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Oggy et les Cafards, le film)

    Excessif / TF1 News

    Romain Le Vern

 Petit Ozon donc mais grande révélation au regard triste et au corps indécis : Marine Vacht. Aussi lumineuse que Ludivine Sagnier dans "Gouttes d'eau sur pierres brûlantes". > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Metro Manila)

    Public

    Florence Roman

Ozon retrouve la veine sulfureuse de ses débuts avec ce portrait trouble d'une lycéenne de 17 ans qui se prostitue sans mobile apparent et y prend goût. Amoral mais captivant. > Ses dernières critiques : (jOBS) (Jeune & Jolie)

    Journal du dimanche

    Barbara Théate

Beauté froide qui souffle le chaud, Marine Vacth joue la nudité avec une pudeur désarmante et fait planer le mystère dans cette chronique qui met mal à l’aise. Dommage qu’à vouloir ne pas juger les pratiques sulfureuses de son héroïne, Ozon manque de point de vue et n’en dise finalement pas assez sur ses motivations. > Ses dernières critiques : (Kick-Ass 2) (Jeune & Jolie)

    Version Femina

    Anne Michelet

Le film peut choquer, mais ne laisse pas indifférent. Cette plongée au cœur des mystères d’une adolescence est très juste et sensible. Et, contre toute attente, souvent drôle ! > Ses dernières critiques : (jOBS) (Jeune & Jolie)

    Télé 7 jours

    Viviane PESCHEUX

C’'est remarquablement mis en scène, d’'un réalisme radical, dénué de jugement, de clichés ou de voyeurisme. Et Marine Vacth, à suivre de très près, se révèle autant dans la douceur et la dureté que troublante dans les scènes de nus. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Pour une Femme)

    Elle

    Florence Ben Sadoun

Porté par Marine Vatch, dont la beauté envahit l'écran, ce film déroute, démange et dérange longtemps après. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Le Congrès)

    La Croix

    Arnaud Schwartz

(...), "Jeune & Jolie" frappe par sa maîtrise extrême, y compris dans sa tonalité à la fois proche et distanciée, osant l'humour là où l'on n'aurait pas songé à l'y chercher. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Imogene)

    Les Fiches du cinéma

    Nicolas Marcadé

Ozon pose une situation, et en déploie les implications morales tout en nous laissant faire le tri. Un film discutable, sans doute, mais faire discuter est bien son mérite. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (40 Ans : Mode d'Emploi)

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7
Publicité