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Jours tranquilles à Paris
musee de l'erotisme
7 novembre 2012

Save the date : au Musée de l'Erotisme = L'étrange peuple de Freak Wave Novembre 2012- Avril 2013

15 Novembre 2012 à 18:00 VERNISSAGE : L'étrange peuple de Freak Wave

Vous pouvez imprimer le carton d'invitation pour accéder au vernissage

De la littérature noire à la peinture mauvais genre, Freak Wave fédère les courants de la contre-culture française et étrangère. Bousculant les barrières de l’art, les influences pêle-mêle de l’art brut, des fanzines, du multimédia, des écoles sensationnistes sud américaines, l’arrivée d’une école africaine curieuse et dévoreuse d’Occident ainsi qu’une peinture baroque chinoise, ces tendances si diverses font de cette mouvance un courant artistique majeur du début du 21e siècle.

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31 octobre 2012

Diego Tolomelli au Musée de l'Erotisme très bientôt...

23 octobre 2012

Save the date : Atsushi Tani au Musée de l'Erotisme

15 Novembre 2012 à 18:00 Vernissage: Histoire de l'Oeil

Atsushi Tani est un photographe japonais né à Osaka en 1967 qui utilise le photomontage pour doter ses œuvres d'une charge visuelle puissante

Avec son modèle fétiche, Satomi, vous donne l'occasion d'évoquer ses visions étrange et sa fascination pour le corps humain décolorée. La déformation des chairs, la mutation de la sexualité, images fantasmées et morbide de la féminité font de ses photographies un collage entre l'homme et la machine, avec une forte charge sexuelle . Même si depuis plusieurs années Atsushi Tani pratique la photographie est seulement en 1995 qu'aura lieu sa première exposition en dehors du Japon « Views from Japan » à la Dinawear Gallery (Arizona USA), ensuite il exposera en 2004 en Avignon « Body Art/ Weird Faktory », 2007 à Rome Mondo Bizzarro Gallery et en 2011 à Paris « Chic Art Fair 2011 » La Cité de la Mode et du Design, En 2008 Atsushi Tani réalise les photos pour la jaquette de l'album « Point de suture » de la chanteuse française Mylène Farmer.

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28 septembre 2012

Save the date : Novembre 2012- Mai 2013 Philippe Rony au Musée de l'Erotisme (Paris)

Philippe Rony est né en 1949. Après une année de dessin aux Beaux-arts et une première vie dans le cinéma, où il fut assistant entre autres de Pierre Zucca, Jean-Luc Godard, Sotha... , et réalisa une demi-douzaine de court métrages, il rejoint la troupe du Café de la Gare avec laquelle il joue pendant une quinzaine d' années.  Créateur d' affiches pour le théâtre , il se consacre à la photo.

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27 juillet 2012

Musée de l'Erotisme - Paris

Le tout nouveau site du Musée est en ligne

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9 juillet 2012

Exposition : actuellement au Musée de l'Erotisme

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Saturno Butto
- FIN DU MONDE -
Pissing Women

Exposition jusqu'en novembre 2012 au
Musée de l'érotisme de Paris.

16 juin 2012

Exposition : actuellement au Musée de l'Erotisme

11 juin 2012

Découvrir Saturno Buttò (Photographe) - Musée de l'Erotisme

Saturno Buttò (Portogruaro 1957) vit et travaille à Bibione. En 1971, il s’inscrit à l’Ecole d’Art de Venise et plus tard à l’Académie des Beaux-Arts, avec spécialisation en peinture en 1980.1993 est l’année de ses premières expositions, 1993 est aussi l’année de publication de sa première monographie, intitulée «Portraits de Saturne: 1989-1992». Depuis il y a eu de nombreuses expositions personnelles en Italie et aux Etats-Unis (New York et Los Angeles), deux nouvelles monographies «Works 1993-1999» et le récent «Martyrologium» (2007). Le travail de Saturno est caractérisé par une interprétation personnelle formelle de l’art sacré européen et par une technique impeccable, qui rappelle les grands maîtres de la peinture classique. Rituels figurés, tableaux vivants, retables néo-gothiques sont des créations magistrales avec lesquelles l’artiste explore les mystères fascinants d’une «religion sombre »: la sensualité innée du corps et de sa profonde spiritualité. En perpétuel conflit entre érotisme et douleur, extase et transgression, les précieuse peintures sur bois de Buttò examinent la vision intransigeante et contradictoire de l’iconographie religieuse occidentale vis à vis du corps, d’un coté exposé comme objet de culte, de l’autre nié dans sa nature de pure beauté érotique. Le résultat est une tension fascinante qui exalte avant tout la figure humaine, qui dans son travail est toujours au centre de la scène.

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Vernissage jeudi 14 juin à partir de 18h00 au Musée de l'Erotisme

10 juin 2012

Exposition : Béatrice Morabito au Musée de l'Erotisme

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Je choisis (et spécialement je modifie en suite) d’utiliser des poupées qui peuvent être érotiques : elles doivent être femmes mûres, volitives et qui me permettent ce jeu de projection de mes désirs en elles.

Le sexe et l’érotisme sont les composants essentiels des désirs des personnes, et étant donné que les images de mes poupées les représentent, souvent dans mes travaux la composante érotique prévaut sur les autres. Même si on diffuse actuellement des poupées érotiques «réelles» de taille humaine ( comme les real dolls japonaises dont on peut choisir l’aspect : phénomène à la limite entre le fétichisme et le désir de soigner la solitude et la sensation de vide), le premier schéma que je voudrais casser grâce à mon travail est le concept « Femme Poupée / Objet ». Les magazines glamour, la télévision etc nous ramènent continuellement au concept que si une femme est belle et si elle aime sa beauté, elle pourra seulement être utilisée comme un objet et comme une poupée. Je voudrais revenir en arrière, quand les poupées « archétype et prototype » de la beauté étaient gardées avec soin, aimées et considérées comme de grande valeur. Posséder une poupée, dans un monde pas qui n’était pas voué au consumérisme et à l’appropriation facile des objets, était une richesse exactement comme être beau.

De formation psychanalytique, j’ai toujours cherché à représenter sur mes photos plus que des situations, des émotions, des désirs et des sentiments.

Je considère mon travail comme une sorte de « journal intime » où au lieu de simplement écrire mes sentiments, mes rêves, ma vie réelle ou imaginaire, je les cristallise dans une image, qui au lieu de les cacher, les montre. Un peu comme faisaient Sylvia Plath et Anne Sexton avec leur poésies définies comme «Confessionnelles », je considère mon travail comme faisant parti de la même mouvance mais utilisant une expression différente.

Le site de Béatrice Morabito en cliquant ICI

Béatrice Morabito sur twitter

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19 novembre 2011

Antonio Fischetti expose actuellement au Musée de l'Erotisme - Paris

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Un recueil original de curiosités sexuelles, aussi savant que drôle. Comment un morpion distingue-t-il un poil d’un cheveu ? Pourquoi les hommes aiment-ils les seins ? Le sperme est-il bon pour la peau ? La taille du pénis est-elle liée à la taille des doigts ? Est-il dangereux d’éternuer pendant un cunnilingus ? Deux solutions : soit vous n’avez jamais songé à ces questions, et à bien d’autres du même genre, soit vous n’avez jamais osé les poser.

 

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Antonio Fischetti

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Antonio Fischetti - SA VIE : Tout petit, Antonio lit deux journaux : Pif Gadget, à cause de Rahan, et Charlie Hebdo, que ses sœurs étudiantes rapportent à la maison. Adolescent, il découvre les femmes nues avec Hara-Kiri. Pas trop mauvais en maths, il se lance en fac de sciences. En même temps, le journalisme le titille. Il crée Intercours, fanzine vendu à la sortie du restaurant universitaire (trois numéros), et rédige des piges dans le journal nantais La Tribune de Loire-Atlantique.

17112011510Pour entrer le plus tard possible dans ce qu’on appelle le monde du travail, Antonio reste le plus longtemps possible à la fac, ce qui le mène à un doctorat d’acoustique (consacré aux critères de qualité des salles de concert). De là, il est enseignant-chercheur au Conservatoire national des arts et métiers et donne des cours d’acoustique aux élèves ingénieurs du son des écoles de cinéma (Louis-Lumière, Femis).

Mais, un jour, changement de route : Antonio bifurque dans le journalisme. Il devient rédacteur en chef adjoint des numéros hors série de la revue Science et Avenir. Sauf que le week-end il lit Charlie Hebdo. Alors, l’idée lui vient d’y proposer ses services. Et donc, nouvelle bifurcation.

Quoique toujours ouvert à la science, il aime à s’en échapper et apprécie son statut de SRF (Sans Rubrique Fixe), qui lui permet d’écrire sur les sujets les plus divers au gré de ses envies. Un parcours qu’Antonio aime à résumer ainsi : « Je suis passé de la science pure et dure à la science impure et molle, puis au journalisme scientifique et enfin au journalisme tout court. »

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