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Jours tranquilles à Paris
syrie
12 avril 2013

Syrie : une guerre chimique ?

chimiques

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15 mars 2013

Vendredi 15 mars, Vague blanche pour la Syrie à Paris

Bertrand Delanoë va participer à la manifestation parisienne de la Vague Blanche annoncé ce vendredi 15 mars à 19h, Place du Panthéon (5e). Le Maire de Paris traversera la Place du Panthéon avec une soixantaine de personnes portant des panneaux blancs. Une fois la traversée achevée, les panneaux seront retournés, laissant apparaître les mots « Syrie », « Stop » et le chiffre de 70 000 morts. Le maire sera accompagné d’Anne Hidalgo, Première adjointe, et de Pierre Schapira, adjoint chargé des relations internationales, des affaires européennes et de la francophonie. Parmi les personnalités attendues Robert Badinter, François Cluzet, Sarah Moon, Monseigneur Gaillot, Père Paolo, Tony Gatlif, Daniel Cohn-Bendit, Noémie Kocher, ambassadeur de l’OMCT, Christiane Féral-Schuhl, bâtonnière de Paris, Eric Chevallier, ambassadeur de Syrie, Monzer Mahkous, ambassadeur de la coalition, et Dan Franck. Dans le même temps, la façade de l’Hôtel de Ville sera pavoisée en blanc en rappel de l'opération « Une Vague Blanche pour la Syrie ». Une banderole sera également déployé sur la façade de l’Hôtel de Ville, affichant que "Paris soutient le peuple syrien".

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Une vague blanche pour la Syrie

(AFP) - La Fédération internationale des droits de l'Homme (FIDH) appelle dans un communiqué à "manifester pour dire Stop aux massacres en Syrie et aux crimes contre les civils" vendredi, jour du deuxième anniversaire du déclenchement de la révolution syrienne.

"Selon les Nations Unies, plus de 70.000 personnes ont été tuées, des dizaines de milliers d’autres ont été blessées, sont disparues ou emprisonnées, des milliers ont été victimes d’actes de torture, de mauvais traitements, de violences sexuelles, des millions ont été déplacées à l'intérieur et des centaines de milliers sont réfugiées à l’extérieur du pays", rappelle la FIDH, dénonçant "deux ans de crimes contre les civils".

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La une de Libération, ce matin

Vague blanche pour la Syrie

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12 mars 2013

Syrie : la guerre toujours la guerre. Un document ce soir sur ARTE

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11 mars 2013

Syrie....la guerre toujours la guerre...

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7 janvier 2013

Syrie. Bachar Al-Assad a parlé hier dimanche

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6 janvier 2013

Syrie. Bachar Al-Assad a parlé ce dimanche

Dans un discours fleuve qui vient de se terminer à Damas, Bachar Al-Assad a proposé une "initiative" de sortie du conflit, tout en posant ses conditions et en regrettant de ne pas avoir trouvé de "partenaire" pour mettre en place une solution politique à la crise.

5 janvier 2013

Syrie. Bachar Al-Assad doit parler ce dimanche

Selon le quotidien libanais pro-syrien Al-Akhbar, le chef de l'Etat syrien dont la dernière intervention remontait au 3 juin 2012, devant le Parlement, s'apprête à faire ce qu'il a appelé «le discours de la solution». Citant des sources anonymes, le journal précise que le chef d'Etat pourrait présenter un plan, dont la condition sine qua non est qu'il ne doit pas lui être interdit de se présenter à la présidentielle à l'issue de son mandat en 2014. Ce plan en cinq points prévoirait un cessez-le-feu, la présence d'observateurs internationaux pour surveiller son application, une Constituante pour rédiger une nouvelle loi fondamentale, la formation d'un gouvernement d'unité nationale et des élections libres pour former un nouveau Parlement. Lors de sa visite fin décembre 2012 à Damas, l'émissaire international Lakhdar Brahimi avait évoqué un plan «basé sur la déclaration de Genève», prévoyant un cessez-le-feu, la formation d'un gouvernement et l'organisation d'élections présidentielle ou parlementaires. La déclaration de Genève prévoyait un gouvernement de transition mais n'évoquait pas le départ d'al-Assad. Une condition pourtant posée par l'opposition pour tout règlement politique. M. Brahimi avait jugé ce plan susceptible d'être accepté par la communauté internationale. Les autorités syriennes ont réagi en disant être favorables à «toute initiative» passant «par le dialogue». source : LeParisien.fr

3 janvier 2013

Syrie : 60 000 morts depuis le début du conflit

60 000 morts en 21 mois. C'est l'effroyable bilan humain du conflit syrien, débuté à la mi-mars 2011. Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, qui a dévoilé ce bilan mercredi, souligne qu'il est «bien plus élevé qu'attendu et réellement choquant», alors que les Nations unies n'avaient pas publié de statistiques sur le nombre de personnes tuées en Syrie depuis de nombreux mois.

Plus précisément, l'organisation a recensé 59.648 personnes tuées en Syrie entre les premières manifestations lancées dans le sillage du Printemps arabe le 15 mars 2011 et la fin novembre 2012. «Etant donné que le conflit s’est poursuivi sans relâche depuis fin novembre, nous pouvons supposer que plus de 60.000 personnes ont été tuées jusqu'au début 2013», a expliqué la Haut-Commissaire Navi Pillay dans un communiqué.

Un conflit de plus en plus meurtrier. Ce sont donc plus de 2727 personnes en moyenne qui ont péri chaque mois depuis le début des combats, soit 90 par jour. Les analyses sont d'autant plus inquiétantes qu'elles révèlent une augmentation de ce nombre moyen depuis le début du conflit. Au début de l'été 2011, il atteignait déjà 1000 morts par mois pour dépasser, un an plus tard, la barre des 5 000.

L'ouest particulièrement endeuillé. Le plus grand nombre de meurtres signalés a eu lieu dans les grandes villes à l'ouest du pays. Epicentre de la révolution syrienne, Homs a connu plusieurs mois particulièrement sanglants, puisque 12 560 personnes y ont perdu la vie, notamment lors des violents affrontements entre les rebelles et l'armée en février 2012. Viennent ensuite les villes de Damas (10 862) suivie d'Idlib (7 686) et d'Alep (6 188) dans le nord du pays, de Deraa (6 034) à la frontière jordanienne et de Hama (5 080).

7,5% de femmes. Plus de 76% de cas documentés sont des hommes et 7,5% des femmes, selon les Nations unies. Dans 16,4% des cas, le sexe de la victime n'a pas été clairement établi. L'analyse n'a pas permis d'établir une distinction claire entre combattants et non combattants parmi les victimes.

Des crimes de plus en plus violents. Pour Navy Pillay, Haut-Commissaire du Conseil de sécurité, «on assiste à une prolifération de crimes graves par les deux parties, y compris des crimes de guerre et, très probablement, des crimes contre l'humanité».

Un bilan supérieur à celui de l'OSDH. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une organisation qui s'appuie sur un large réseau de militants et de médecins à travers le pays, chiffre le nombre des morts à plus de 46.000 morts en 21 mois. Mais ce bilan ne tient pas compte des milliers de personnes disparues ou en détention ni de la plupart des morts parmi les «chabbihas», les miliciens du régime de Bachar al-Assad, ni des combattants étrangers. De plus «les rebelles et l'armée ne révèlent pas le nombre de morts dans leurs rangs pour ne pas porter un coup au moral des troupes», explique le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane, qui estime qu'en totalisant toutes ces catégories, le nombre de morts pourrait dépasser les 100.000. source : Le Parisien

29 décembre 2012

Syrie: choix entre l'enfer et une solution politique pour Brahimi

28 décembre 2012

Syrie

Trois journalistes de Radio Damas, la radio d'Etat syrienne, qui ont fui leur pays sont arrivés à Paris il y a quelques jours. Ils doivent rendre publique aujourd'hui leur défection. Le Nouvel Observateur les a rencontrés. Ils racontent notamment que "l'Office de la radio et télévision syrienne est une prison, avec ses portiques de sécurité, ses fouilles poussées, ses cameras, ses snippers postés tout autour..."

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