Grande manifestation contre le CPE
Photo JS
DERNIÈRE MINUTE 19h15 : Plus d'un million de personnes ont manifesté en France contre le CPE, selon la police La direction générale de la police nationale fait état de 1 055 000 manifestants, dont 92 000 à Paris, pour la journée de mobilisation du 28 mars. Selon les syndicats, les manifestants étaient au moins 2 680 000 (avec AFP). | ||
PARIS, propre ensemble
La seconde vague de campagne de sensibilisation à la propreté démarre le 22 mars. Le slogan: "Pas de ça chez vous ? Paris c’est chez vous !". Parallèlement, la Ville met en place de nombreux moyens pour améliorer la propreté de notre Ville.
Photo prise ce jour à la station de métro Pasteur avec mon téléphone Nokia
Et pourtant !
Ci-dessous : photo prise sur le trottoir à côté de l'institut pasteur, en partant au bureau ce 31 mars vers 08h50
Photo prise avec mon téléphone Nokia. A noter que tout ce bazar est resté plusieurs jours...
Photo prise le dimanche 02 avril prés de l'Ecole Militaire.
Photo prise le samedi 08 avril - rue Dutot - dans le 15ème arrondissement.
Heure d'été
Dimanche 26 mars 2006, passage à l'heure d'été
L'heure d'été a été instituée en France en 1975 suite au choc pétrolier de 1974 avec l' objectif d'effectuer des économies d'énergie en réduisant les besoins d'éclairage notamment en soirée. On estime aujourd'hui à 250 000 tonnes d'équivalent pétrole (tep) les économies d'énergie annuelles résultant de la mise en œuvre du régime de l'heure d'été dans notre pays.
Appliqué au Royaume-Uni et en Irlande depuis la première guerre mondiale et en Italie depuis 1966, le régime de l'heure d'été a été introduit dans l'ensemble des pays de l'Union Européenne au début des années 1980. Pour faciliter les transports, les communications et les échanges au sein de l'Union Européenne, il a été décidé d'harmoniser par directive du Parlement Européen et du Conseil, les dates de changement d'heure. Ainsi, depuis 1998 pour l'ensemble des pays de l'Union Européenne, le passage à l'heure d'été intervient le dernier dimanche de mars à 2 heures du matin et le passage à l'heure d'hiver intervient le dernier dimanche d'octobre à 3 heures du matin. Le régime de l'heure d'été consiste à ajouter 60 minutes à l'heure légale au cours de la période estivale (de fin mars à fin octobre).
Bettina Rheims
Bettina Rheims
Héroïnes
17 mars - 11 mai 2006
Bettina Rheims
Née en 1952 à Paris, où elle vit et travaille.
Ce que je cherche, au-delà du travail sur la peau, c’est cette lumière qui vient de l’intérieur. C’est précisément cette recherche que poursuit Bettina Rheims dans toutes ses séries de portraits et qui s’exprime plus que jamais dans ce nouveau travail. Les 23 portraits réalisés en 2005 et exposés à la galerie du 17 mars au 11 mai, sont ceux de 23 femmes à la beauté décalée, photographiées dans un décor très sobre, avec pour seul relief un caillou sur lequel les modèles ont dû composer à la demande de l’artiste : c’est votre caillou, c’est tout ce qu’il vous reste au monde…
Cette nouvelle série marque l’aboutissement d’un désir profond de l’artiste, celui d’établir un rapport à la sculpture dans sa création photographique, comme si tout à coup les modèles pouvaient se visualiser en 3D. Bettina Rheims a voulu transcrire dans cette nouvelle série le jaillissement des marbres antiques ou des bronzes de Rodin, où les corps semblent jaillir de la pierre. Un décor avait été installé au studio avec, comme point de départ, une photo de l’atelier de Giacometti, mur et sol gris, des coulées de plâtre, couleur de craie. Et puis on a construit un gros caillou. Une sorte de socle qui tournerait à volonté pour que ces femmes-là ne touchent pas le sol, qu’elles jaillissent de la pierre ou qu’elles se fondent dedans. L’artiste offre à ses modèles un caillou, comme si elle voulait offrir un piédestal à leur charisme.
Si le rapport à la sculpture s’affirme ainsi de manière évidente dans la présence du caillou, il se trouve aussi dans la manière dont les femmes photographiées sont enveloppées dans le vêtement, moulées dedans. Bettina Rheims a souhaité faire habiller ces femmes par un créateur, son ami Jean Colonna. Ils utilisèrent des robes de haute couture, prêtées à cette occasion par une grande maison et choisies spécifiquement pour chacune de ces femmes. Ces modèles, malmenés par le temps, ont été ré-assemblés par Jean Colonna, leur redonnant ainsi une nouvelle vie. Il ne s’agit pas ici de montrer une sexualité crue, comme dans la photographie de nu où sexe et seins sont montrés ostensiblement pour leur valeur érotique, mais d’une sexualité qui, à travers le tissu, dévoile la nudité de l’âme.
Bettina Rheims nous renvoie ici à la symbolique de la peau dans l’histoire de l’art : une évocation tout à la fois de l’origine des gens, de leur âge, de leur condition et de leur statut. C’est en pensant aux corps peints, salis et torturés, d’Egon Schiele, de Lucian Freud et des expressionnistes allemands qu’elle a demandé aux maquilleuses ce rendu particulier des peaux saturées du bleu des veines et des rougeurs du froid, et les yeux souvent charbonneux et plâtrés de couleurs vives.
La photographe choisit en effet de nous offrir des portraits « décalés » de ces femmes habituellement représentées comme les plus belles femmes du monde, qu’elles se nomment Milla Jovovitch, Asia Argento, Laetizia Venezia…Les « héroïnes » de Bettina Rheims sont à l’opposé des clichés des magazines de mode ; elles nous offrent une beauté venue de l’intérieur, née de leur charisme, qui se dévoile dans leur abandon sur le caillou. En tant qu’artiste, Bettina Rheims porte au travers de cette série un regard d’analyste sur le milieu de la photographie de mode, révélatrice d’une personnalité, initiatrice d’un « au-delà » de la mode.
Pour cette série, Bettina Rheims a utilisé une chambre photographique où la prise de vue se déclenche avec une poire, où donc le « moment décisif » se fait les yeux dans les yeux. L’artiste a pu ainsi accéder à une intimité plus grande que jamais dans sa relation avec le modèle, à un rapport d’une intensité, d’une émotion jamais égalées auparavant.
Héroïnes est sans aucun doute la création la plus complexe que Bettina Rheims ait réalisée, tant elle englobe dans chacun de ces 23 portraits une multitude de regards croisés, de réflexions sur le positionnement de la femme dans notre monde d’aujourd’hui, sur lequel elle pose une nouvelle fois son regard révélateur.
CATALOGUE édité par la galerie à l’occasion de cette exposition, avec un texte bilingue français/anglais de Catherine Millet. Toutes oeuvres reproduites en pleine page couleur. Edition limitée à 1000 exemplaires.
CONTACT PRESSE : Emmanuelle de Noirmont
Tél : +33 (0)1.42.89.89.00 / Fax : +33 (0)1.42.89.89.03 / E-mail : info@denoirmont.com
VISUELS : 300 dpi disponibles. Codes d’accès sur demande.
http://www.paris-art.com/event_detail-6242.html
http://www.bookstorming.com/fiche.asp?idlivre=2147473612&page=liste.asp&np=1&nbr=1&ttcl=
Shootings : deux prises de vues dans la soirée
Photo JS
Ci-dessus : premier shooting avec un modèle féminin.
Photo JS
Ci-dessus : deuxième shooting de la soirée - Cathy avec un fétichiste
Estime de soi
Dove fait de la séduction.
La précédente campagne de publicité de Dove présentait des femmes déshabillées. En 2006, Dove fait mieux avec une célébration de la beauté : des modèles arborent des tee-shirts avec des messages clairs à télécharger : "45 ans ! L'âge limite de la séduction ?, Faut-il être une allumette pour mettre le feu ?, Faut-il un sourire Cling pour faire tilt ? , Trop minis pour être sexy ?"
Message implicite : Dove aide à se décomplexer. Effet psychologique pour plus de sensualité dans ce monde de brutes ?