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Jours tranquilles à Paris
12 juin 2007

A la Galerie Seine 51 (jusqu'au 16 juin) : "My Favorites"

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE :

11 MAI au 16 JUIN 2007

La galerie présente l’exposition « My Favorites » réunissant les photographes Bruno Bisang, Jeff Cowen, Louis Jammes, Isabel Muñoz, Ivan Pinkava, Nicolas Ruel, Antoine Schneck et Christine Spengler autour d’une sélection d’œuvres consacrant leurs icones.

Odalisques, portraits, prise de vue en studio ou à l’extérieur, petits et grands formats se succèdent sur le parcours de ces artistes aux vécus, aux techniques et aux sujets abordés si éclectiques.

Bruno Bisang, avec ses photographies de femmes célèbres ou anonymes, révèle la sensualité en lui permettant « de la montrer comme si elle ne s’est jamais vue ».

Jeff Cowen capte avec simplement quelques instantanés, l’esprit d’une Havane romantique où, au milieu de la misère, s’élève la femme cubaine idolâtrée.

Louis Jammes laisse à voir l’âme de ceux qui passent devant son objectif et croise ses œuvres d’un nu masculin inédit de son ami Jean Michel Basquiat et toute la pudeur d’Andy Warhol, avec les photos de ses anges de Sarajevo, gamins orphelins et témoins d’une guerre qui dévore leur innocence.

Isabel Muñoz imagine par le thème de la danse, un univers de contact, de pureté et de beauté du geste frisant la perfection où le modèle irradie de sa présence la pellicule.

Ivan Pinkava fait souffrir le spectateur par la froideur et le recul qu’il impose à ses personnages tout droit sortis de l’univers sombre d’un drame qui s’est joué en notre absence.

Nicolas Ruel isole son modèle silencieux et méditatif au milieu du bruit et du passage du métro de Moscou. Monde de contrastes où la douceur de ses personnages s’oppose à la froideur du support métallique qu’il a choisit pour laisser l’empreinte d’un récit.

Antoine Schneck révèle traits et rides des visages des populations du Burkina Faso où, installés sur un fond noir mat, ils s’extraient de leur cadre pour se matérialiser comme des masques de cire.

Christine Spengler, "l'espoir au millieu du chaos", une des rares femmes correspondantes de guerre, témoigne en noir et blanc du deuil du monde à travers tous les conflits armés.

Ses icones, photographies spectaculaires et empruntes d'émotion, ont fait la Une des plus grands magazines.

 

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Galerie SEINE 51

51, rue de seine

75006 Paris

 

Du mardi au samedi 11/13h -14h30/19h30

Parking :

> Mazarine (rue Mazarine)

> Marché Saint-Germain (rue Lobineau)

> Saint-Sulpice (place Saint-Sulpice)

Métro :

> Saint germain des prés

> Odéon

> Mabillon

Bus :

24 | 27 | 39 | 48 | 58 | 63 | 70 | 86 | 87 | 95 | 96

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11 juin 2007

Sujets de Philosophie au BAC (ce matin)

Série L (littéraire), coefficient 7 :

- Toute prise de conscience est-elle libératrice ?

- Les œuvres d'art sont-elles des réalités comme les autres ?

- Expliquer un extrait de Ethique à Nicomaque d'Aristote sur le thème de la responsabilité.

Série S (scientifique) coefficient 3 :

- Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? 

- Que vaut l'opposition du travail manuel et du travail intellectuel ?

- Expliquer un texte de Hume extrait d'Enquête sur les principes de la morale sur le thème de la justice.

Série ES (économique et social) coefficient 4 :

- Peut-on en finir avec les préjugés ? 

- Que gagnons-nous à travailler ?

- Expliquer un texte de Nietzsche extrait de Humain, trop humain sur la morale.

Série Technologique, série TMD (technique et musique de la danse), coefficient 3 :

- L'art nous éloigne-t-il de la réalité ? 

- Peut-on se passer de l'Etat ?

- Trois questions issues d'un texte d'Epictère sur la liberté.

11 juin 2007

Le 11 juin 1144 Basilique Saint-Denis

L'abbatiale de Saint-Denis commencée en 1136 est consacrée par les évêques et les archevêques. Le maître d'oeuvre Suger en a été élu abbé en 1122. La basilique englobe l'église carolingienne primitive et illustre le style gothique naissant dans sa forme la plus parfaite. Symbole dès l'origine d'une monarchie que Suger place au sommet de la pyramide féodale, elle va devenir la nécropole des rois de France et le réceptacle de l'étendard royal. La guerre du monarque est donc placée sous sa bienveillance.

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Photo JS

11 juin 2007

Votez pour les 7 nouvelles merveilles !

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11 juin 2007

Aujourd'hui début du BAC

Le Baccalauréat

Que de stress pour obtenir cela...

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Le saviez-vous ? le bac est né par un décret du 17 mars 1808

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10 juin 2007

Résultats dans la deuxième circonscription du Morbihan

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10 juin 2007

Vague bleue mais l'horizon sera t'il aussi bleu ?

Bayrou: une "vague qui crée un déséquilibre dans les institutions"

Le président du MoDem, François Bayrou, a jugé, dimanche, que la "vague" UMP au premier tour des élections législatives créait un "déséquilibre dans les institutions".

"Nationalement, nous avons assisté à une vague dont tout le monde connaît l'ampleur. Cette vague est le prolongement et l'amplification du résultat du 2e tour de l'élection présidentielle", a déclaré M. Bayrou sur France 2.

Pour le président du Mouvement des Démocrates, la "vague" UMP "crée un déséquilibre marqué dans la représentation à l'Assemblée nationale.

"Ce déséquilibre, un jour ou l'autre la France le regrettera. Il n'est pas sain d'avoir des institutions qui portent les uns à un nombre de sièges jamais atteint, et offrent aux autres une représentation minorée", a affirmé M. Bayrou.

10 juin 2007

La vague bleue....

vague

10 juin 2007

In memorem : Oradour sur Glane (1944)

Oradour sur Glane a été détruit pendant la seconde guerre mondiale, le 10 juin 1944. Ce village du Limousin a été le théâtre d'une exécution systématique de la part des Waffen S.S., faisant officiellement 642 victimes. Oradour-sur-Glane a été rayé de la carte, un après-midi de juin, quatre jours après le débarquement en Normandie. Conservé en état de ruine, ce village fantôme reste le témoin d'un crime odieux...

Situé à une vingtaine de kilomètres au nord ouest de Limoges, le lieu est saisissant. Le village entier a été conservé, les rails du tramway sont encore en place. De nombreuses carcasses de voitures résistent encore à la rouille, tout comme quelques objets domestiques restés dans les maisons.

Plusieurs sensations s'affrontent lors de la visite. On parcourt un lieu témoin, une preuve matérielle d'un massacre. Pourtant les ruines d'Oradour dégagent encore, le charme d'un village des années 1940, un village de la campagne limousine. La disposition des bâtiments, les façades encore debouts, nous rappellent ce qu'était ce village, et on peut alors s'imaginer l'ambiance qu'il pouvait y avoir.

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10 juin 2007

Croix-Rouge

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