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Jours tranquilles à Paris
15 août 2007

La Comtesse de Ségur repose à Pluneret (le saviez-vous ?)


Comtesse de Segur
envoyé par Snap

Sophie Rostopchine, Comtesse de Ségur, femme de lettres française (Saint Pétersbourg 1799 – Paris 1874). Elle écrivit des ouvrages pour la jeunesse : « Les Petites Filles modèles » en 1858, « Les Malheurs de Sophie » en 1864, « Le Général Dourakine » en 1866.

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15 août 2007

« Fais pas ci, fais pas ça, sois poli, serre la main du monsieur! »

Mais, au fait, pourquoi se serre-t-on la main?

Les gestes de politesse ont parfois une raison précise. Ainsi, lorsqu'un homme et une femme montent un escalier, la politesse veut que l'homme passe le premier. Pourquoi? Pour qu'il n'en profite pas pour regarder les fesses de la dame! Et lorsqu'ils redescendent, l'homme passe encore le premier, mais pour une autre raison: si la dame venait à tomber, il pourrait la rattraper au passage. Le fait de se serrer la main a aussi une raison cachée. Pour la comprendre, il faut remonter au temps des châteaux forts. À l'époque, la confiance ne régnait pas vraiment: lorsque vous croisiez quelqu'un, vous risquiez de vous retrouver avec un couteau dans le ventre. Ainsi, quand deux personnes se rencontraient, chacune tendait sa main droite vers l'autre, pour lui prouver qu'elle n'était pas armée. Pourquoi la main droite et pas la gauche? Parce que la majorité des humains sont droitiers. C'est avec cette main qu'on maniait les armes.

mains

Pourquoi cogne-t-on les verres pour trinquer?

Au Moyen Âge, lorsqu'on vous offrait à boire, il fallait vous méfier: le verre contenait peut-être du poison. Avant de boire, les deux buveurs cognaient leurs verres de manière à ce qu'un peu de boisson de chaque verre se retrouve dans le verre de l'autre. Ainsi, chacun montrait à l'autre qu'il n'avait pas de mauvaises intentions.

14 août 2007

Alan Greenspan va conseiller la Deutsche Bank

Alan Greenspan (81 ans), ancien Président de la Réserve fédérale américaine de 1987 à 2006 va conseiller la Deutsche Bank et ses clients en matière d’investissements.

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14 août 2007

En mémoire des victimes d'Oradour sur Glane

Mort de « l’assassin d’Oradour sur Glane »

Heinz Barth, criminel nazi impliqué dans le massacre d’Oradour sur Glane est mort à 86 ans, le 6 août, à Gransee, prés de Berlin. Arrêté en RDA (République Démocratique Allemande – avant la chute du Mur de Berlin) il avait été condamné à la prison à vie en 1983, et libéré en raison de son âge en 1997.

642 civils dont 247 enfants, ont péri le 10 juin 1944 à Oradour sur Glane (Haute Vienne), fusillés, noyés ou brûlés vifs par des SS de la division « Das Reich », dont Heinz Barth était l’un des officiers. Sa participation aux massacres lui avait valu le surnom d’ « assassin d’Oradour sur Glane ». Voir mon billet en date du 10 juin 2007 à propos d’Oradour sur Glane.

14 août 2007

La tournée des cirques en été, sur la côte bretonne.

J’ai un souvenir très présent à chaque fois que je reviens en Bretagne en juillet ou en août. Ce souvenir d’enfance est la présence des cirques dans toute la région. Pour leur tournée d’été chaque cirque rivalisait d’ingéniosité pour placer aux points stratégiques affichettes et autocollants mentionnant bientôt leur présence dans telle ou telle cité balnéaire bretonne. Qui donc ne se souvient pas des cirques PINDER, avec son jeu des mille francs animé par Roger Lanzac auquel succéda Lucien Jeunesse, AMAR et ses fauves, BOUGLIONE et ses chevaux. Outre ces trois grands cirques de l’époque, de nombreux petits cirques s’installaient pour une soirée ici ou là. La venue du cirque était un évènement et j’aimais aller voir le montage du chapiteau. Je me souviens particulièrement des manœuvres qui en cadence enfonçaient de grands pieux dans le sol pour y arrimer la toile de tente. La voiture publicitaire passait régulièrement dans le centre ville, annonçant aux badauds le prochain spectacle et invitant les enfants à venir voir la ménagerie. Pour les petits cirques, l’ambiance était plus conviviale. Pour obtenir une entrée gratuite il suffisait de passer une matinée à nettoyer les cages et nous repartions avec notre précieux sésame. Bien souvent l’écuyère était à la fois la contorsionniste et l’ouvreuse. Tout se passait en famille et chaque membre de la famille avait plusieurs rôles.

Aujourd’hui les grands cirques ont perdu de leur panache. Les « grandes enseignes » ont laissé la place à une multitude de cirques de moyenne importance ayant pour seul point commun le nom propre de la famille. Aujourd’hui c’est le cirque « JOSEPH BOUGLIONE » qui est à Auray. Voici une courte vidéo du montage du chapiteau. Maintenant ce montage est simplifié par des mécanismes sophistiqués et le côté « fort des halles »  n’est plus nécessaire. Une tente de cirque se monte en peu de temps maintenant, j’en veux pour preuve celle du « CIRQUE DU SOLEIL » que j’ai eu l’occasion de voir de la fenêtre de mon bureau. Et pourtant, Dieu sait si elle était immense… (Voir mes précédents billets dans la rubrique « terrain vague à St Denis »).

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14 août 2007

La maison de vacances de SARKOZY (aux Etats Unis)

14 août 2007

« Carnet de voyages en Morbihan » à Ste Anne d’Auray

« Carnet de voyages en Morbihan » Yvonne Jean-Haffen et Mathurin Méheut à la Galerie

supérieure du cloître de Saint Anne d’Auray, du mardi au samedi (entrée libre) jusqu’au 11 novembre 2007.

En 1925, Yvonne Jea-Haffen fait une rencontre décisive : »Ouvrez vos fenêtres, vous verrez combien la nature est quelque chose de merveilleux… «  lui dit Mathurin Méheut, dont l’influence et la passion vont guider toute sa carrière.

Installée en 1937 à La Grande Vigne, propriété des bords de Rance à Dinan, Yonne Jean-Haffen va sillonner

la Bretagne aux côtés de Mathurin Méheut pendant de nombreuses années. Elle rapporte de leurs escapades un grand nombre de dessins et aquarelles. Son intérêt pour les fontaines et lieux de pèlerinage la mèneront dans le Morbihan. Nombreux sont les croquis et études qui témoignent de sa volonté de reproduire fidèlement petits métiers, patrimoine local (fontaines, chapelles) et  costumes morbihannais. L’exposition présente quatre vingt dix études et croquis réalisés sur le vif par ces deux artistes dans le Morbihan.

(Vu dimanche dernier)

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Photos : JS

14 août 2007

Ellen von Unwerth (Photographe)

14 août 2007

Joyeux Anniversaire Emmanelle Béart

Actrice et comédienne française
Née à Gassin le 14 août 1965
Née près de Saint Tropez, Emmanuelle Béart est la fille du musicien et
chanteur Guy Béart et d'une ex-mannequin. 'Manon des sources' en 1986 est
son premier vrai rôle au cinéma, récompensé par le César du meilleur second
rôle féminin. Mais cette image de jolie bergère la dérange. Elle enchaîne
délibérément sur des rôles difficiles. Elle sera junkie dans 'Les enfants
du désordre' (son film préféré) ou prostituée dans 'J'embrasse pas' d'André
Téchiné. La rencontre de sa vie sera Claude Sautet. Depuis Romy Schneider,
le réalisateur n'avait pas trouvé de visage féminin. Emmanuelle Béart y
ajoutera une certaine froideur. 'Un cÏur en hiver' (1992) et 'Nelly et
Monsieur Arnaud'(1995) révèlent une actrice qui parvient parfaitement à
exprimer la profondeur psychologique de ses personnages. Dans le film d'
Olivier d'Assayas en 2000 'Destinée sentimentales', l'actrice apparaît
semblable à cette porcelaine de Limoges : cassable, unique, sereine, belle,
qui brûle avec quelques degrés de trop. Dans 'Les égarés' d'André Téchiné
en 2003, c'est encore et toujours le feu sous la glace qui fascine.
Emmanuelle Béart semble utiliser le cinéma pour ses vertus thérapeutiques.
Elle y cherche l'expression de ses contradictions et de ses zones d'ombre

Pour 'Manon des sources', Yves Montand ne veut pas d'elle. Le metteur en
scène Claude Berri refuse même qu'elle participe au casting. Elle parvient
néanmoins à s'imposer en jouant sur ses origines provençales.

Christian Dior a résilié le contrat qui le liait à Emmanuelle Béart
lorsque l'actrice a fait connaître son engagement auprès des sans-papiers.

Claude Chabrol dit d'Emmanuelle Béart :

"Vous avez un corps de pute avec une tête d'ange".

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13 août 2007

13 août 1961 Le "Mur de la honte"

Depuis la capitulation, la ville de Berlin est coupée en deux zones d'occupation. A l'ouest les Américains, à l'est les Soviétiques. La lutte entre les deux blocs connaît dans cette ville son paroxysme symbolique. Pour mettre fin à la migration à l'ouest des Allemands résidant dans sa zone de contrôle, l'URSS installe un réseau de barbelé qu'elle remplace dès le 15 du mois par un mur en béton. Les candidats à l'exode ne se découragent pas pour autant. Nombreux sont ceux qui trouvent la mort en tentant de franchir le mur. Berlin Ouest devient une enclave en territoire communiste, reliée à l'Occident par les airs.

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