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Jours tranquilles à Paris
22 juillet 2008

Au théâtre des Nouveautés

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22 juillet 2008

Suivez le guide !

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21 juillet 2008

Intervilles : Vannes GAGNE contre Saint Quentin

Article de presse

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Julien Lepers et François Goulard (Député maire de Vannes)

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Captures d'écran

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21 juillet 2008

Le Parlement adopte la réforme des institutions à une voix près ! Celle de Jack Lang ?...

Le Parlement, réuni en Congrès à Versailles, a adopté, lundi 21 juillet, la réforme des institutions avec 539 voix, soit une seule voix de plus que la majorité requise des 3/5 des suffrages exprimés. 357 parlementaires ont voté contre. (AFP)

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Le socialiste Jack Lang votera la révision constitutionnelle au Congrès de Versailles

PARIS - Le socialiste Jack Lang, qui a participé au comité Balladur sur la réforme des institutions, confirme qu'il votera ce lundi en faveur du projet de loi sur la révision de la Constitution, soumis aux députés et sénateurs réunis en Congrès à Versailles.

"Je voterai le texte", confirme Jack Lang dans un entretien accordé à "Libération". "En mon âme et conscience, je ne peux m'opposer à des mesures dont je suis l'un des coauteurs".

 L'ancien ministre de la culture et de l'Education cite plusieurs points qui, selon lui, auraient dû susciter les faveurs de la gauche, comme "la saisine du Conseil constitutionnel par les citoyens", "la création d'un défenseur des droits du citoyen", "le renforcement des droits de l'opposition", "l'égalité du temps de parole entre opposition et majorité", etc.SANY1621web

Le député du Pas-de-Calais, vice-président du comité Balladur, reconnaît que le texte comporte plusieurs "lacunes", comme "l'absence du droit de vote des étrangers aux élections locales", le "refus de changer le mode de scrutin du Sénat", le "cumul des mandats" ou "l'irresponsabilité illimitée du chef de l'Etat".

M. Lang, qui s'était souvent prononcé en faveur du texte tout en demandant au président Nicolas Sarkozy de donner des concessions supplémentaires à la gauche, souligne lundi qu'il est toujours "un opposant déterminé".

"Ne mélangeons pas le circonstanciel et le durable", avertit-il cependant: "Nicolas Sarkozy aura depuis longtemps quitté l'Elysée que cette Constitution continuera à s'appliquer. Léguons à nos successeurs des institutions un peu plus démocratiques". AP

Photo J.S. - Jack Lang le 13 octobre 2007.

21 juillet 2008

Constitution : les points clés de la réforme

Droit d'expression du président de la République. Le chef de l'État pourra s'exprimer devant les deux chambres réunies en Congrès : le projet de loi prévoyait que le président pourrait également prendre la parole devant l'Assemblée ou le Sénat, mais les députés ont supprimé cette possibilité.

Les pouvoirs du président mieux encadrés. Il ne pourra pas exercer plus de deux mandats consécutifs. Les nominations les plus importantes seront soumises à l'avis des commissions compétentes des deux chambres. Les députés ont adopté un amendement UMP accordant à ces commissions un pouvoir de veto sur les nominations si une majorité des trois cinquièmes est réunie. Le droit de grâce collective du président sera supprimé.

Un «droit au retour» au Parlement pour les ministres. Les ministres qui quittent le gouvernement et qui étaient parlementaires au moment de leur nomination retrouveront automatiquement leur siège sans avoir à affronter une élection législative partielle.

De nouvelles obligations pour le gouvernement. Le premier ministre ne pourra recourir au 49-3, qui permet l'adoption d'un texte sans vote, que deux fois lors d'une session de neuf mois. Le gouvernement sera tenu d'informer le Parlement des interventions des forces armées à l'étranger «dans les trois jours», et non «dans les plus brefs délais» comme le prévoyait le projet de loi. Les députés ont souhaité que l'Assemblée se prononce par un vote sur la prolongation de cette intervention après quatre mois, alors que le projet de loi prévoyait un vote après six mois.

Des pouvoirs supplémentaires pour le Parlement. L'Assemblée nationale et le Sénat auront la maîtrise d'une partie de leur ordre du jour. La discussion en séance s'engagera sur le texte adopté en commission et non sur le texte du gouvernement , ce qui modifiera le rapport de forces entre les députés et les ministres. Le Parlement se verra reconnu un rôle d'évaluation des politiques publiques. L'Assemblée a adopté un amendement prévoyant que les députés ne pourront pas être plus de 577. Les Français vivant à l'étranger seront représentés au Palais Bourbon. À l'initiative des députés, un référendum d'initiative mi-parlementaire mi-populaire sera institué.

Des droits et libertés renforcés. Les justiciables auront le droit de demander aux tribunaux de saisir le Conseil constitutionnel pour statuer sur la conformité à la Constitution d'une loi qu'on prétend leur opposer. Les justiciables pourront saisir le Conseil supérieur de la magistrature, dont les membres seront désormais, en majorité, des non-magistrats. Un «défenseur des citoyens» sera institué et pourra être saisi par «toute personne s'estimant lésée par le fonctionnement d'un service public».

Un référendum obligatoire maintenu sur la Turquie. Les députés ont adopté un amendement UMP prévoyant qu'un référendum restera automatique sur l'adhésion d'un pays «lorsque la population de cet État représente plus de cinq pour cent de la population de l'Union européenne».

Source : Internet le Figaro

La Constitution de 1958

Ce qui changera si....

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Assemblée Nationale (exposition juillet 2003). Photo J.S.

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Le Sénat (septembre 2006). Photo J.S.

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21 juillet 2008

Paris Plage

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Photos prises dans le quartier du Centre Pompidou avec mon téléphone mobile

21 juillet 2008

21 juillet 1969 - Premier pas sur la Lune

  A 3H56 (heure française), l'astronaute Neil Armstrong qui participe à la mission spatiale Apollo 11 sort du module lunaire "Eagle" et pose pour la première fois le pied sur la lune. Il prononce alors une phrase qui restera gravée dans l'histoire: "Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité." L'événement est retransmis dans le monde entier. Des millions de téléspectateurs écoutent ébahis les premières impressions d'Armstrong. Un quart d'heure plus tard, il sera rejoint par son camarade Edwin "Buzz" Aldrin. Pour les Etats-Unis, c'est une victoire décisive dans la course à l'espace engagée avec l'Union soviétique.


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Je m'en souviens comme si c'était hier. J'étais chez un camarade de classe à St Nazaire. Nous avions tous attendus (les parents de mon camarade, mon camarade et moi) longtemps devant la télévision. Vers minuit la mère de mon camarade nous a dit d'aller nous coucher. Elle nous réveillerait le moment venu. C'est peu avant l'alunissage que j'ai été réveillé. Les yeux encore endormis nous avons vu, comme des millions de personnes à cet instant précis, pour la première fois, un homme fouler le sol de la lune. C'est un des moments qui est gravé pour toujours dans ma mémoire. J'avais seize ans.

20 juillet 2008

Concert pour la LIBERTE - Ingrid Betancourt au Trocadéro (Paris)

Merci à Faustine pour son reportage photographique. J.S.


Concert liberté Betancourt
envoyé par faust7556

20 juillet 2008

Découvrir : Marc Wolff (photographe)

Voir le site de ce photographe en cliquant ICI.

A noter que Marc Wolff participait à la Première nuit de la photographie contemporaine (place St Sulpice) le 23 juin mais je n'ai pas eu l'occasion de le rencontrer puisqu'il était momentanément absent de son stand lorsque je suis passé (voir la vidéo réalisée à cette occasion)

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Marc Wolff expose jusqu'au 30 août à "Fil O Fromage" 12, rue Neuve Tolbiac - Paris 13ème. Métro : Bibliothèque François Mitterrand.

20 juillet 2008

Modernisation des institutions : une réforme nécessaire pour la démocratie ?

Debré: "se déterminer en son âme"

Le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, a refusé d'exprimer directement son opinion sur la réforme des institutions tout en soulignant que les parlementaires devaient "se déterminer en leur âme et conscience", sur RTL.

"Je souhaite que les parlementaires, qui doivent se déterminer en leur âme et conscience, n'oublient jamais l'histoire politique et parlementaire de la France", a averti l'ancien président UMP de l'Assemblée nationale, proche de Jacques Chirac.

"Comme citoyen, j'ai mon opinion" sur cette réforme qui sera soumise au vote du Congrès (députés et sénateurs) lundi à Versailles "mais, comme président du Conseil constitutionnel, je la garderai pour moi", a-t-il souligné.

"Je n'ai ni à me prononcer sur le fond de la réforme, ni à me prononcer naturellement sur ce qui passe autour de cette réforme et dans la préparation du Congrès", a-t-il ajouté en allusion aux tractations et pressions de l'exécutif en direction des députés de la majorité récalcitrants.


Siège UMP Rue de la Boétie Paris
envoyé par Snap

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