Autoportrait 2004
Clin d'œil à l'actualité de l'époque. Saddam Hussein (hirsute) venait d'être capturé par les américains.
Annie Leibovitz (photographe)
Sean "Diddy" Combs and Natalia Vodianova star in the editorial ‘Brief Encounter’ by Annie Leibovitz in the February 2010 issue of American Vogue.
Retraites : une loi dès le mois de juillet ?
En se
déclarant, dans un premier temps, favorable à un report de l'âge légal de la
retraite à 62 ans, Martine Aubry, première secrétaire du PS a ouvert le débat beaucoup plus
tôt que prévu, et elle a crédibilisé la position gouvernementale. Sondages à
l'appui, l'Élysée est désormais convaincu que les Français sont mûrs.
Le film de Joann Sfar relance Gainsbourg
Adulé ou détesté, le personnage de Serge Gainsbourg ne laisse personne indifférent. Quinze jours après sa sortie au cinéma, le conte Gainsbourg (vie héroïque), imaginé et mis en scène par le dessinateur Joann Sfar, a réalisé 800 000 entrées. C'est moins que pour Édith Piaf dans La Môme mais mieux que Coluche d'Antoine de Caunes et que Coco avant Chanel avec Audrey Tautou. "Pour un film atypique qui attire les adultes aisés qui mettent plus de temps que les jeunes pour aller au cinéma et qui sont plus sensibles au bouche-à-oreille, c'est un bon score, estime Stéphane Rethore, directeur marketing des studios Universal France. Avec - 45 %, la fréquentation a baissé plus que prévu en seconde semaine d'exploitation mais grâce aux vacances de février qui démarrent aujourd'hui pour la zone 1 (Aix, Reims…), nous allons facilement dépasser le million d'entrées."
Pour la Fnac, pour Universal Music, qui exploite les chansons de Serge Gainsbourg, et pour Dargaud, l'éditeur de Joann Sfar, la sortie de ce «biopic» a fait de Gainsbourg, un des événements culturels de la rentrée 2010.
Selon site Le Figaro - Léna Lutaud
Exposition : Serge Gainsbourg photographié par Pierre Terrasson (vu ce soir)
La galerie Hautefeuille est une jeune Galerie (un an environ) qui se spécialise dans les expositions de photographies. C'était la première fois que j'entrais dans cette galerie nichée au coeur du quartier latin, à deux pas de la Place St Michel.
Voir le site de la galerie (en construction) en cliquant ICI
Les photos sont de Pierre Terrasson
Galerie Hautefeuille
3, rue Hautefeuille
75006 - Paris
OUvert du mardi au samedi de 14h à 20h
Luc Choquer (photographe) à la M.E.P.
À quoi ressemblent les Français ? À ce garagiste en bleu de travail ? À ce boxeur en chambre ? Depuis huit ans, Luc Choquer a réalisé des centaines de portraits. Il a frappé aux portes, pénétré les intérieurs, laissé ses modèles décider de leur pose. Il a recueilli des paroles et légendé ses images, faisant croire à une entreprise de recensement sociologique, sur le modèle des portraits pris par le photographe August Sander dans l'Allemagne des années 1930. Mais on pressent chez Luc Choquer autre chose que le seul souci documentaire, un désir de passer le seuil de la chambre ou du salon, une pulsion de romancier. Il y a du Balzac et du Perec dans sa quête d'indices. Du Jean-Philippe Toussaint ou du Thomas Lélu dans sa capacité à laisser chacun se réinventer en basketteur d'opérette ou en Olympia de canapé.
Rappel : l'entrée de la MEP est gratuite chaque mercredi à partir de 17h00
Biographie
Luc Choquer est né en 1952 en région parisienne. Après des études de psychologie, il devient photographe à partir de 1980 et collabore à des magazines nationaux et internationaux. Il reçoit le prix Kodak de la critique en 1985 et présente ses images au " Mois de la photo " à Paris. En 1986, il obtient la bourse de la fondation Angénieux pour son travail sur la banlieue parisienne. Son premier livre, Planète France (Contrejour), dont les photos seront montrées à Paris ainsi qu'à Tokyo, paraît en 1989. En 1990, il reçoit le prix de la Villa Médicis hors les murs pour son projet sur les femmes de la perestroïka récompensé par le prix Niépce (1992) et publié sous le titre Ruskaïa (Marval), qui donnera lieu à des expositions en France, à Moscou, à San Francisco, etc. En 1995, il expose " Regard social-Regard d'artiste " aux Rencontres d'Arles avant de se consacrer à son projet Portraits de Français. En 2005, il entame un travail sur le thème du Paris sensible.