Il le reconnaît. Il mène une « vie sexuelle libre ». Dans une autobiographie parue aujourd’hui, Affaires DSK, la contre-enquête, Dominique Strauss- Kahn reconnaît une relation « consentie, mais stupide » avec la femme de chambre Nafissatou Diallo, au Sofitel de New York. Le 14 mai, dans la suite 2806, la jeune femme se serait dirigée doucement vers la sortie, puis aurait fixer DSK dans les yeux, écrit son biographe attitré, Michel Taubmann. DSK y aurait alors vu une invitation, ajoutet- il. Et n’aurait pas résister à la tentation... L’ancien favori de la présidentielle ne nie pas non plus avoir participé à des soirées galantes, dont l’existence a été révélée avec l’affaire du Carlton de Lille. DSK explique à son biographe : « Les participantes à ces soirées n’[étaient] pas des prostituées. » Il ajoute qu’il a d’ailleurs « la prostitution et le proxénétisme en horreur ». Un comportement qui, selon lui, n’a rien de rare dans la politique ou les affaires. Source : 20 Mn.

Didier Gicquel

Photo Saint-Germain-des-Prés
4 novembre > 3 décembre 2011

Dans le cadre de la première édition de Photo Saint-Germain-des-Prés, la galerie Lélia Mordoch présente une sélection de l’impressionnante collection de photographies de Didier Gicquel : portraits d’artistes (Cattelan, Garcia Rossi, Le Parc, Morellet, Murakami, Pei Ming, Rauschenberg, Turrell, Zao Wou-Ki…) ou encore d’acteurs et de cinéastes (Francis Ford Coppola, Johnny Depp, David Lynch…). A cette galerie de portraits en noir et blanc, répondront les Muses et Hommes de Miss.Tic et les visages kaléidoscopiques de Keren.

Lady Gaga prend une nouvelle fois la pose pour le numéro de janvier 2012 du magazine Vanity Fair. C’est sous l’œil de la photographe, Annie Leibovitz, que la Mama Monster se joue du temps !

« Un projet capable de représenter la réconciliation de l’homme et la nature dans la ville. » Le groupe d’ingénierie Ginger a annoncé hier qu’il projetait de recouvrir intégralement la tour Eiffel de végétation. Dès juin 2012, 600 000 plantes viendraient habiller le monument parisien de vert pour une durée de quatre ans. Les plantes seraient disposées dans des poches pendues à la structure métallique de la tour. Un réseau de tuyaux en caoutchouc assurerait leur irrigation. Une réalisation décorative et écologique : d’après Ginger, son bilan carbone serait négatif, c’est-à-dire que la tour absorberait plus de CO2 qu’elle n’en produirait. Le coût prévisionnel de cette métamorphose temporaire s’établit à 72 millions d’euros. La Société d’exploitation de la tour Eiffel a démenti hier avoir eu connaissance du projet. « Ces informations n’ont aucune réalité », a-t-elle fait savoir dans un communiqué, précisant que « ni elle, ni la Mairie de Paris ne sont associées sous quelque forme que ce soit à un tel projet ». (Source : 20 Mn)