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Jours tranquilles à Paris
23 juin 2012

Kate Upton (à découvrir)

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C‘est LA fille la plus hot du moment. Depuis sa charmante petite danse pour le photographe Terry Richardson et sa pose pour le Sports Illustrated 2012. Kate Upton est devenue un véritable phénomène, et le magazine masculin GQ a sauté sur l’occasion.

Absolument époustouflante de beauté, Miss Upton a tout de la playmate sacrée : grosse poitrine, cheveux blonds et un air malin, elle va se frayer un joli chemin. Maillot de bain O’Neill, glace colorée, très cliché mais ça marche : le mag fait un tabac ! La Pamela Anderson 2012, c’est elle. En plus, elle retrouve derrière la caméra son copain Terry, qui a l’air de l’adorer aussi, pourquoi changer une équipe qui gagne ? Kate porte bien les couleurs des USA, c’est sûr.

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Photos : Terry Richardson

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23 juin 2012

Au Cœur du génocide, les Enfants dans la Shoah, au Mémorial

Un petit film en entrée, Le Monde d’avant, d’Éric Michel, sur une proposition de Sophie Nagiscarde, met bout à bout quelques images de communautés juives ou de bonheur tranquille en Europe avant la déflagration génocidaire... Un million et demi d’enfants juifs de moins de 15 ans allaient y être assassinés de 1933 à 1945 durant la Shoah.

Mis à mort pour être nés différents, selon les critères du régime et de l’idéologie nazis.

Dans un discours prononcé devant des généraux allemands, le 21 juin 1944, à Posen (Poznan, en polonais), Heinrich Himmler déclarait : « Je ne me sentais en effet pas le droit d’exterminer les hommes [...] et de laisser grandir les enfants qui se vengeraient sur nos enfants et nos descendants. Il a fallu prendre la grave décision de faire disparaître ce peuple de la Terre [...] Cela aurait été lâche, et c’est pourquoi nous avons préféré une solution claire, aussi dure qu’elle soit. » Une volonté d’extermination qui fut systématiquement appliquée jusqu’aux derniers moments de la Seconde Guerre mondiale... Dès le début des persécutions mises en place par les nazis et leurs collaborateurs, la plupart des enfants basculaient d’un monde protégé, celui de leur famille, à un monde inconnu auquel, malgré leurs souffrances, ils devaient faire face : exil, exclusion, enfermement, peur, faim, isolement, assassinat. Leur sort, quel que soit le pays d’Europe dans lequel ils se trouvaient, relevait de situations particulièrement dramatiques. Pourtant, très tôt, des réseaux et des individus se mobiliseront pour tenter de les sauver, en les cachant par exemple, ou lorsque les sauver était devenu impossible, en leur procurant un entourage affectif, pédagogique ou moral. Ce fut par exemple l’OSE (Œuvre de secours aux enfants), placée sous la présidence d’Albert Einstein, en France à Vichy puis à Montpellier, ou la propriété des Rothschild, au château de la Guette, qui abrita jusqu’à 130 enfants de 8 à 14 ans à Villeneuve en 39-40. De ces enfants, disparus ou "sauvés", nous sont parvenus des lettres, des récits, des journaux intimes, des dessins. Des témoignages poignants et spontanés, d’une incroyable maturité, ont été rassemblés. En privilégiant ceux établis immédiatement, dans ces situations effroyables, de 1945 à 1947, ceux qui n’auront pas subi les filtres de la mémoire, de l’oubli, de l’auto-censure, des multiples raisons possibles de travestissement. Ils rendent compte des surprises, des incompréhensions, des désespoirs, des pertes de repères, des immenses misères, mais aussi des espoirs de ces enfants, de leurs luttes, de leurs sentiments, laissés longtemps au silence. Les témoignages d’enfants, distingués, sont en couleur. Au bout du compte, qui mieux que ces enfants pouvaient ressentir, constater, témoigner qu’ils devenaient exclus des sociétés où ils avaient grandi ? Que rapidement la haine d’eux avait été enseignée à ceux qui étaient auparavant leurs amis, aux autres élèves qui soudain les pourchassaient et les frappaient. Et les privations, les familles entassées à 6 personnes par pièce, dans les quelque 400 ghettos nazis, des Pays baltes, de Pologne, d’Allemagne, d’Autriche ou de Biélorussie (450 000 habitants dans celui de Varsovie, 200 000 à Lodz, 40 000 à Lublin, 18 000 à Cracovie). Et les enfants, petits contrebandiers, souvent utilisés dans de dangereuses missions d’approvisionnement, pour tenter de briser les blocus des ghettos... Enfants aussi trop longtemps cachés dans des placards, sous des lits, abandonnés, se débrouillant de petits métiers, se pliant pour manger à l’esclavage meurtrier des ateliers des ghettos, gamins des rues affamés, décharnés, hagards sur les trottoirs, rendus fous, traqués, abattus, déportés bien sûr, abusés pour certains, gazés, dont les corps étaient jetés pour crémation sur ceux des adultes pour ne pas risquer de bloquer les machines surexploitées de la solution finale, ou utilisés, vivants cobayes, pour des expérimentations médicales sur la tuberculose... et les autres, tous les autres. Sans oublier non plus ceux qui luttèrent dans les mouvements de résistance et durent commettre des actions bien éloignées de leur jeune âge... Jusqu’où fallait-il raconter l’atroce ? Comment peut-on vouloir de telles choses ? Sans parvenir ni à comprendre ni à expliquer, voir cette exposition-témoignage, entendre simplement ou lire ces témoignages venus de cet enfer. Savoir, apprendre et ressentir. Dans la dernière salle, de part et d’autre d’une longue table, 24 petits livrets nous confient certains de ces récits. Ils sont la base, parmi d’autres écrits, photographies et films d’époque, de l’exposition proposée par le Mémorial de la Shoah, pour évoquer le sort et les actes des enfants qui ne sont plus, mais aussi de ceux qui ont survécu. Autour de l’exposition, et sur cette thématique, se tiendra un cycle de projections, de rencontres et de lectures, avec des interventions de rescapés, de comédiens, de chercheurs en sciences humaines et sociales, et d’intellectuels, et le colloque « Qui sont les enfants cachés ? Génocide et reconstruction » coorganisé par le Mémorial de la Shoah et par le Centre Georges-Devereux - Université Paris 8 Saint-Denis, le 1er juillet 2012. Sophie Nagiscarde est la commissaire de l’exposition organisée par le Mémorial de la Shoah.

Mémorial de la Shoah. Au cœur du génocide, les enfants dans la Shoah (1933-1945), du 19 juin au 30 décembre 2012. 17 rue Geoffroy–l’Asnier, 75004 Paris, 01 42 77 44 72, www.memorialdelashoah.org, métro Saint-Paul ou Hôtel-de-Ville (1), Pont-Marie (7), bus 96, 69, 76, 67, et Balabus. Ouvert tous les jours sauf le samedi, de 10 à 18h, et le jeudi jusqu’à 22h. Entrée libre.

Presque dans le même temps, du 26 juin au 27 octobre 2012. C’étaient des enfants. Déportation et sauvetage des enfants juifs à Paris (1940-1945), à l’Hôtel-de-Ville. Exposition gratuite et hommage aux enfants juifs de Paris et de banlieue qui subirent cette époque...

23 juin 2012

Kate Upton photographiée par Terry Richardson

23 juin 2012

Journaliste ou pseudo journaliste ?

Le débat est le suivant : L’émission à succès de Canal +; « Le Petit journal », est-elle un programme de divertissement ou d’information ? Apparemment, pour la Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels (CCIJP) la réponse serait : Divertissement. En effet, six journalistes de l’émission se sont vus refuser leur carte de presse. Dans Le Figaro, le président de la CCIJP lâche : « À titre personnel, j’ai fait part, depuis plusieurs mois, de mes réticences à reconnaître la qualité de journaliste à des personnes participant à des émissions de divertissement. Cela vaut pour « Le Petit Journal » comme pour de très nombreuses émissions de télévision. Comme je l’ai déjà souligné en janvier dernier, je relève que « Le Petit Journal » est classé, sur le site de Canal +, dans la rubrique divertissement. ». Souci : Sans le fameux sésame, impossible de se rendre dans la cour de l’Élysée, l’Assemblée nationale voire les meetings ; et pour une émission faisant pas mal de terrain cela devient (très) embêtant…

23 juin 2012

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23 juin 2012

Roméo et Juliette : vu hier place St Sulpice

Vendredi 22 juin : Le collectif ExEchos interprétera la très excellente et très pitoyable tragédie de Roméo et Juliette de William Shakespeare. 6 acteurs et un musicien investissent le plateau pour ne jamais le quitter. Passeurs, ils racontent l'histoire autant qu'ils la jouent : naissance d'un amour passionné entre deux très jeunes amants, Roméo et Juliette, contrarié par la lutte de deux familles nourries d'une haine insatiable. Ils sont le jouet incontestable de la fortune.

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23 juin 2012

Moi dans une rue de Paris

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22 juin 2012

Gerhard Richter au Centre Pompidou - jusqu'au 26 septembre 2012

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Voir mon précédent billet

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22 juin 2012

Dalaï Lama

Qu’il était content, le dalaï-lama, de retrouver son vieil ami le Prince Charles. Un plaisir partagé par le fils d’Elizabeth II, dont il n’a pas presque pas lâché la main durant toute sa visite. A Clarence House, dans la résidence du Prince de Galles et de la duchesse de Cornouailles – où habite encore le prince Harry-, le dalaï-lama a fait preuve d’un naturel déconcertant. «Je l’ai toujours considéré comme un ami proche, le meilleur d’entre eux, a confié Tenzin Gyatso. Depuis le début j’ai senti que c’était une personne très gentille, profondément humaine.»

Et cette complicité était palpable: le Prince de Galles et le chef du gouvernement tibétain sont restés proches durant toute la durée de leur rencontre. Camilla, 64 ans, s’est fait discrète bien malgré elle, invitant les deux compères à une escapade dans le jardin de la résidence pour découvrir l’arbre planté par le chef spirituel lors de sa précédente visite en 2008. Moment de recueillement, d’émotion pour les deux amis, toujours main dans la main. Pendant dix jours, le dalaï-lama parcourt l’Angleterre pour dispenser ses enseignements bouddhistes aux plus jeunes. Bien que cette visite soit effectuée à titre personnel, le chef tibétain en exil a dû partager ses craintes sur l’avenir de son pays avec l’héritier de la couronne.

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A propos du Dalaï Lama (photos)

22 juin 2012

Et Dior créa la femme... Addict !

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