Kate Moss en couverture de LUI
Kate Moss est nue pour Lui Magazine, en kiosques dès demain. Le 5 ème numéro de la revue de charme réveillée par Frédéric Beigbeder s'offre une cover de choix avec Kate Moss. Alors que Léa Seydoux posait nue pour le premier numéro, c'est vers le top international, nouvellement quadragénaire, que le magazine s'est tourné aujourd'hui. Rappelons que pour fêter ses 40 ans, Kate Moss posait en sexy lapine pour Playboy et se dénudait dans les pages du magazine. Pour Lui, la brindille invite Terry Richardson chez elle pour la séance photo. Célèbre photographe connu pour ses liens avec le showbiz et ses photos trash, Terry Richardson photographiait Lea Michele, la star hot de Glee, il y a quelques jours pour V Magazine. Sur la cover de Lui, on retrouve Kate Moss nue, de dos et assise sur une chaise de cinéma. La peau halée, la chevelure peroxydée et le tatouage au creux des reins, tout est mis en place pour déglacer la couverture. Quand on sait que le magazine affectionne les photos de nu, on peut s'attendre à en voir un peu plus à l'intérieur de Lui.
#KateMossNue dans le n°5 de @lui dispo aujourd'hui en kiosque ! RT si vous aimez :-) http://t.co/ZxO0mG7wvh pic.twitter.com/t1kJtUsCys
— Lui Magazine (@lui) 27 Février 2014
Paris Fashion Week
On se lève pour laisser passer la tablette !
Plusieurs études ont démontré qu’aux États-Unis, seuls 20 % des utilisateurs sortent leurs tablettes tactiles de la maison. Mais à Hong Kong, elles encombrent le métro. À un point tel que l’Agence publique du transport préconise de supprimer des places assises dans les rames aux périodes de pointe. Ainsi, les voyageurs auraient plus de place pour sortir leurs appareils mobiles de leur sac, afin de lire les nouvelles.
Les 18-34 ans : frustrés, révoltés et… optimistes
Ces jeunes piaffent d’être insérés et reconnus à la mesure de leurs compétences. 61 % sont prêts à lutter ensemble pour faire, enfin, entendre leurs voix. Portrait fouillé d’une génération tout en contrastes.
Quelque 210 000 jeunes ont répondu à 143 questions proposées par France Télévisions, Le Monde et Europe 1. Cette matière très riche a été exploitée par deux sociologues. Les 18-34 ans portent un double regard : sur euxmêmes et sur leur génération.
Ça vire au noir
D’abord, la face positive des choses. Les deux tiers déclarent être« plutôt ou très optimistes » sur leur devenir personnel. 62 % des 18-25 ans sont« épanouis » dans leur travail (mais 43 % chez les intérimaires). 53 % entretiennent« des relations cools » avec leurs parents, et sont aidés par eux, même s’ils ont un emploi. Leurs discours virent au noir dès qu’on les interroge sur leur génération. Des mots pour la qualifier ?« Perdue », « désabusée », « galère ». Seul un quart croit qu’il vivra mieux que ses parents. Sur le plan professionnel, les réponses sont ravageuses. 70 % jugent que la société ne leur donne pas les moyens de montrer ce dont ils sont capables. 60 % s’estiment sous-payés.« Ils sont éduqués, diplômés, frustrés de ne pas pouvoir faire leurs preuves. Ils sont individualistes et libéraux, par dépit », analyse la sociologue Cécile Van de Velde. Ils ne rejettent pas le travail : ils courent après un poste intéressant, correspondant à leurs qualifications, et justement rémunéré. 50 % font porter la responsabilité de leurs problèmes sur les générations précédentes.« Marre de payer pour les baby boomers », mais pas question que la retraite de « mes » parents soit diminuée… Les jeunes croient en eux. En revanche, 60 % se méfient des institutions religieuses, et 46 %, des politiques. La droite, la gauche ? Pas de différences, jugent nombre d’entre eux.« L’offre politique ne répond pas à leurs attentes », souligne Camille Peugny. Ils sont prêts à adhérer à une association, à s’engager ponctuellement. Et 61 % descendraient dans la rue pour participer à un mouvement de type Mai 68. Les deux sociologues ont repéré« une bombe à retardement ». Celle incarnée par« les perdants de la mondialisation » : des jeunes de banlieues et des ruraux, en grandes difficultés, déclassés, au chômage, sans espoirs,« souvent tentés par le Front national ».