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Jours tranquilles à Paris
26 janvier 2015

Demis Roussos est décédé

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26 janvier 2015

Humour

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26 janvier 2015

Extrait d'un shooting - topless

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26 janvier 2015

Qui a profité des largesses de Liliane Bettencourt ?

Dix personnes, dont le photographe François-Marie Banier et l’ex-ministre Éric Woerth, sont jugées à partir de ce matin, à Bordeaux. Elles sont poursuivies pour abus de faiblesse ou recel.

Dix prévenus, une cinquantaine de journalistes accrédités, quelques ténors du barreau, cinq semaines de procès… Après moult rebondissements judiciaires, politiques et médiatiques, l’affaire Bettencourt démarre, ce matin, au tribunal correctionnel de Bordeaux. Du moins dans son volet abus de faiblesse, car trois autres dossiers seront jugés ultérieurement : trafic d’influence, violation du secret professionnel et atteinte à la vie privée. Une vieille dame très riche, 30 milliards d’euros selon le magazine américain Forbes, un homme d’affaires, un artiste, un avocat, un ancien ministre et des sommes colossales en jeu… Voilà les bases d’une série à succès. La première saison a débuté en 2007. Françoise Bettencourt-Meyers, fille de Liliane et en conflit avec elle, dépose plainte à l’encontre de l’artiste François-Marie Banier, 67 ans. Ce dernier et son compagnon, Martin Le Barrois d’Orgeval, 41 ans, sont poursuivis pour abus de faiblesse.

Bataille d’avocats

Ils sont soupçonnés d’avoir profité des largesses de la milliardaire sous forme de dons d’argent et d’œuvres d’art se chiffrant en centaines de millions d’euros. Selon une expertise psychiatrique, dont les résultats seront débattus à l’audience, Liliane Bettencourt souffrait, dès 2006, de sénilité. Elle est actuellement placée sous la tutelle de son petit-fils. À l’appui de la plainte de Françoise Bettencourt-Meyers, des conversations, enregistrées à l’insu de sa mère, par son majordome. Ces écoutes pirates, largement diffusées dans la presse, révélèrent d’autres faits… Après six ans de procédure démarrée à Nanterre puis dépaysée à Bordeaux, douze personnes ont été mises en examen, deux ont bénéficié d’un non-lieu, dont l’ancien président Nicolas Sarkozy. En revanche, son ancien ministre du Budget et du Travail et ex-trésorier de sa campagne présidentielle de 2007, Éric Woerth, est poursuivi pour recel. Patrice de Maistre, l’ex-gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, qui comparaît pour abus de faiblesse, lui aurait remis 50 000 €. Sont également appelés à la barre pour le même motif, l’avocat Pascal Wilhem, le successeur de Patrice de Maistre, et l’un de ses clients, l’entrepreneur audiovisuel Stéphane Courbit. Ils auraient poussé la milliardaire à investir 143 millions d’euros dans l’entreprise de ce dernier. Deux notaires, Jean-Michel Normand et Patrice Bonduelle, sont renvoyés pour complicité d’abus de faiblesse. Son dernier infirmier, Alain Thurin (abus de faiblesse), et l’homme qui gérait son ancienne île aux Seychelles, Carlos Cassina Vejarano (abus de faiblesse et abus de confiance), seront également à la barre. Dernier coup de théâtre en date dans cette sinueuse affaire, la mise en examen, fin 2014, pour faux témoignage de Claire Thibout. Une partie de la procédure est pourtant liée aux révélations de cette ancienne comptable de Liliane Bettencourt. Ce matin, plusieurs avocats de la défense vont donc demander le renvoi du procès. La bataille s’annonce rugueuse. Article de Philippe LEMOINE.

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26 janvier 2015

Extrait d'un shooting - charme

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26 janvier 2015

La Grèce confie son sort à la gauche radicale

Syriza, le parti d’Alexis Tsipras, distance très largement la droite conservatrice sortante. Assuré de gouverner, il pourrait être contraint de chercher un allié pour appliquer son programme. C’est un message qui résonne dans toute l Europe et apporte un soulagement

Explosion de joie, hier à 19 h pétantes (heure locale), dans la tente montée par le parti Syriza, place Klavthmonos, dans le centre d’Athènes. Une femme laisse couler une larme tandis que des militants agitent frénétiquement des drapeaux en chantant. Sur un écran géant, les résultats provisoires des élections législatives viennent de s’afficher. Le parti de la gauche radicale obtiendrait entre 35 % et 40 % des voix. Largement devant Nouvelle démocratie, d’Antonis Samaras, le Premier ministre sortant. Avec 23 % à 27 % des suffrages, il est très loin du score annoncé par les sondages. La claque est énorme.

« Donner de l’espoir »

À l’extérieur, Stefanos Proyas, militant de Syriza, promène sur la liesse environnante un regard exténué.« Cela fait deux jours que je n’ai pas dormi, confie cet enseignant de 52 ans.Évidemment, je suis heureux, nous avons gagné. Mais ce n’est que le début de la fin du néolibéralisme, en Grèce et en Europe. On espère que la victoire de Syriza va apporter le changement. Et, surtout, donner de l’espoir aux gens. » Des délégations de toute l’Europe sont venues participer à l’événement. Des Italiens, comme Asunta, qui a fait le voyage de Trieste :« C’est un jour important, l’Europe peut changer » .Des Portugais, des Espagnols, des Allemands, des Irlandais, des Néerlandais. Et un groupe de Français, dont de jeunes militants socialistes qui se présentent sous la casquette d’un collectif, car le PS ne leur a pas donné mandat pour le représenter.« C’est un message qui n ’affecte pas seulement les Grecs mais qui résonne dans toute l ’Europe et apporte un soulagement », confirme Panos Skourletis, porte-parole de Syriza. Pour forger leur succès, les « anti-austérité » d’Alexis Tsipras ont largement débordé leur socle électoral. Adonis, 61 ans, a toujours donné sa voix à la droite. Mais aujourd’hui, il a voté Syriza.« Nouvelle démocratie ment, le Pasok ment. Syriza ? Je ne sais pas. Ils sont différents, on va les essayer. »

« Des mesures d’urgence »

Le succès de la gauche radicale était annoncé. Mais obtiendra-t-elle la majorité absolue lui permettant de gouverner seule ? Hier soir, les résultats non définitifs lui donnaient entre 146 et 158 sièges, alors que la barre est à 151. En outre, un parti ayant besoin de 3 % des voix pour entrer au Parlement grec, c’est des résultats engrangés par les petites formations que pourrait dépendre une victoire complète de Syriza. Le parti de Centre gauche Potami, tout nouvellement créé, réussit sa percée, avec entre 6 et 7 sièges. Les néo-nazis d’Aube dorée semblent reculer, avec le même nombre d’élus, alors qu’ils en comptaient 18. Le Parti communiste se maintient avec 5 à 6 députés. Et le vieux Pasok continue de s’enfoncer : seulement 4 à 5 sièges. Pour Syriza, la majorité absolue permettrait au futur Premier ministre Alexis Tsipras de gouverner sans alliance. Il aurait les mains libres pour appliquer son programme : renégociation de la dette publique et mesures d’urgence afin de faire face à la« crise humanitaire » après six ans de récession. Le programme prévoit de porter le salaire minimum de 580 à 751 €, et d’assurer l’accès gratuit aux soins.« Le peuple grec a écrit l’Histoire » et« laisse l’austérité derrière lui » , a déclaré Alexis Tsipras devant des milliers de personnes rassemblées à Athènes. Article de Marc MAHUZIER.

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Premières réactions, en France

Jean-Luc Mélenchon parle de« C’est un grand soir démocratique » et Jean-Marie Le Pen d’un «désaveu de l’Union européenne ». Pour Nicolas Dupont-Aignan,« la victoire de Syriza signe un coup d’arrêt aux politiques d’austérité inefficaces imposées aux peuples européens ». Quant au socialiste Benoît Hamon, il estime que« la Grèce éclaire l’Europe ».

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26 janvier 2015

Cara Delevingne s’allonge pour John Hardy

Cara Delevingne, la top-model passée par Burberry et Victoria’s Secret, pose dans son lit sous l’objectif de Sebastian Faena pour la nouvelle campagne du bijoutier John Hardy. Et la bombe britannique s’y révèle dans toute sa splendeur.

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26 janvier 2015

Extrait d'un shooting - bellissima !

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26 janvier 2015

Paris Magnum – 80 ans d’histoire de Paris

Paris Magnum – 80 ans d’histoire de Paris

Jusqu’au 28 mars 2015 - Hôtel de ville//

Tout le monde ne connaît pas l’agence Magnum… Et pourtant ! Les plus grands photographes y sont passés, comme Cartier-Bresson, Capa, Riboud, Parr, ou Depardon… L’exposition déroule ainsi 80 ans de l’histoire de Paris, révélant les métamorphoses de la ville et de ses habitants. Un témoignage sensible et exigeant, présenté au fil de 150 clichés dévoilant les révolutions comme les petits conflits, les moments de grâce comme les instants tragiques, les célébrités et les grands hommes comme les anonymes. La liesse et le poing dressé du Front populaire font écho au dur monde du travail des années trente. Les lendemains de la guerre sont encore marqués par l’inquiétude et la misère. Puis, viennent les années pop et Mai 68 qui enflamment les rues et les esprits.

Plus tard, « Libé » s’impose dans le paysage journalistique et Nuit Blanche fait de la capitale un musée à ciel ouvert.

Personnage à part entière de l’exposition, Paris s’y dévoile en perpétuelle transformation. Les grands ensembles modifient en profondeur la silhouette de la ville. Les institutions culturelles font aussi le pari de la modernité. Le Louvre affiche sa pyramide et le Centre Pompidou, son architecture novatrice. La Défense impose sa Grande Arche dans le paysage et annonce le Grand Paris, preuve de la soif de vivre toujours renouvelée de la capitale.

Hôtel de Ville

Place de l’Hôtel de Ville, 75004 –

M° Hôtel de Ville (1)

Tous les jours sauf dimanche de 10h à 18h30

Entrée libre

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26 janvier 2015

Vu sur internet - black and white - j'aime beaucoup !

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