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Dans les salles : Mon roi , Maïwenn revit dix ans d’histoire d’amour
Condamnée à réfléchir. Une rupture des ligaments du genou l’oblige à ranger ses skis. Elle a tout son temps pour revivre sa belle histoire d’amour avec Georgio, le propriétaire d’un resto branché qui se trouve être le père de son fils. Des flash-back répétés remontent la chronologie d’une aventure sentimentale agitée.
Coup de foudre
Ça commence sur un coup de foudre. Elle est avocate. Il n’a pas besoin de plaider sa cause longtemps. Elle se laisse emporter avec bonheur dans une relation passionnée. Elle a tout de suite la conviction qu’avec ce séducteur insaisissable, la vie amoureuse sera trouble et mouvementée. Tant pis. Il a tellement de charme. Elle a envie de tenter le coup. Au point de vouloir un enfant de lui. Et c’est là que les difficultés se succèdent dans la vie du couple. Chacun s’y reconnaîtra, peu ou prou. Il y a comme un sentiment de déjà-vu, une sensation de déjà vécu, dans un scénario qui colle, avec conviction, à la réalité sociale du moment. Maïwenn avait déjà affiché son habile sensibilité à raconter son époque dans Polisse, il y a quatre ans. Elle récidive ici, mais avec moins de force, de richesse, de créativité. Et pourtant, elle prend tout son temps, plus de deux heures, et son scénario s’éparpille dans quelques considérations inutiles ou artificielles. Par bonheur, son sens de la mise en scène est toujours là. Il redonne du rythme au récit quand la mécanique de la construction patine. Surtout il y a ses interprètes, qu’elle a l’art de choisir. Vincent Cassel se laisse aller à tous les artifices de la séduction. Charmeur et malicieux autant qu’insupportable et retors. Tout pour faire chavirer Emmanuelle Bercot. Le prix d’interprétation qu’elle a reçu à Cannes a salué sa composition bouillante et douloureuse. 2 h 10. Article de Pierre FORNEROD.
Nouvel album d'Astérix
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— Europe 1 (@Europe1) 22 Octobre 2015
LA GARDE DU CORPS GRECQUE DE HOLLANDE FAIT JASER SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX
Lors de son prochain déplacement en Grèce, le président français sera protégé par une femme dont le physique a fait des émules sur la toile. Plus de détails.
Evridiki Soulioti. Son nom ne vous dit sans doute rien et pourtant, en Grèce il serait connu comme étant celui d’une policière spécialisée dans la protection de personnalités. Outre ses compétences, cette fonctionnaire aurait également un physique avantageux. C’est en tout cas ce qu’a écrit Le Figaro dans une brève publiée lundi. Alors qu’il évoquait le prochain voyage de François Hollande en Grèce, le 23 octobre, le journal a rapporté que sa sécurité serait assurée par Eriki Soulioti, une femme "plutôt très jolie, grande, blonde". Le quotidien y voyait même un "petit geste" de la part d’Alexis Tsipras pour "remercier François Hollande de son amitié".
Un commentaire qui n’a pas manqué de susciter un tollé sur la toile. D’abord repérée par un journaliste d’Europe 1, cette brève sexiste a ensuite été reprise par plusieurs autres internautes, dont l’ex-ministre Cécile Duflot.
Si bien que quelques heures plus tard, Le Figaro a fini par s’excuser sur Twitter pour cette brève qu’il qualifie de "maladroite". Le lendemain, l’édition papier du journal a également évoqué un texte "maladroit et inapproprié".
François Hollande en Grèce
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Fondation Cartier
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