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Jours tranquilles à Paris
20 avril 2016

Noémie Lenoir

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Noémie Lenoir a dansé au Crazy Horse en juin 2013

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20 avril 2016

Simulation d'attaque terroriste à la Gare Montparnasse


Menace terroriste : simulation d'attaque à la gare Montparnasse

20 avril 2016

Attentats. Cazeneuve met les unités d'élite en ordre de bataille

Le ministre de l'Intérieur a annoncé que les traditionnelles frontières géographiques entre police et gendarmerie seront suspendues en cas d'attentats de masse. Sept nouvelles antennes pour les unités d'élite, des effectifs renforcés, la fin des frontières entre police et gendarmerie : le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, a dévoilé, hier, le « schéma d'intervention » censé mettre les unités d'élite en ordre de bataille en cas d'attentat de masse. « L'heure n'est pas à la concurrence des forces, mais à l'unité », a martelé le « premier flic de France », devant un parterre de troupes issues du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), de l'unité Recherche, assistance, intervention et dissuasion (Raid) de la police nationale et de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI), « l'antigang » de la préfecture de police de Paris. Il a rappelé les principes : l'intervention « élémentaire » sur un attentat de masse ou une crise grave relève des premiers policiers et gendarmes sur les lieux. Pour cela, un plan a déjà été engagé, permettant désormais à 750 brigades anticriminalité (Bac) de la police et pelotons de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (Psig) de « quadriller le territoire », dotés d'armes lourdes. « En cas de tuerie de masse, c'est durant les premières minutes que les terroristes font le plus grand nombre de victimes », a souligné Bernard Cazeneuve. L'intervention « spécialisée », consistant, par exemple, à interpeller les assaillants ou libérer des otages, est le pré carré des unités d'élite. Le GIGN et le Raid doivent donc pouvoir « intervenir sans délai », a-t-il ajouté, en faisant abstraction de l'habituel partage du territoire entre policiers et gendarmes, les premiers en ville, les seconds en milieu rural et périurbain. Le ministre a déclaré que ces « frontières » seront suspendues, le temps de la crise. Moyens renforcés Bernard Cazeneuve a aussi annoncé un renforcement des moyens. Quatre nouvelles antennes régionales du GIGN verront le jour à Nantes, Tours, Reims et Mayotte, s'ajoutant à celles qui existent à Dijon, Orange et Toulouse. Ainsi que trois nouvelles antennes du Raid, à Montpellier, Nancy et Toulouse (en plus du GIGN), qui s'ajoutent à celles de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. La BRI, composée actuellement de plus de cent hommes, verra, pour sa part, ses effectifs doubler. 

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Face au terrorisme, des forces de l’ordre « unies » ?

Unités d’élite renforcées, spécialisations mises en commun, commandement unique en cas d’attaque ou de crise grave : le ministre de l’Intérieur espère mettre fin à « la guerre des polices ».

Cazeneuve veut faire travailler ensemble les « grands fauves ». Entre policiers et gendarmes, et dans cette baronnie que constitue la Préfecture de Paris, les chefs, davantage que la base, se livrent une guerre – très testostéronée – depuis des lustres. Le principe : se garder des infos pour espérer ensuite récolter les lauriers. En mars 2015, la Cour des comptes constatait des dégâts : « Le partage des informations reste rare et alimente les rivalités. Les effectifs ne tiennent pas suffisamment compte de l’importance de la délinquance locale. » Un mois plus tard, Alliance, syndicat des gardiens de la paix, marqué à droite, déplorait que la communication soit « extrêmement tendue et difficile ». Ces antagonismes se sont manifestés la nuit des attentats en novembre à Paris (les gendarmes du GIGN sont restés « en réserve »), puis lors de l’assaut (surdimensionné ?) mené par les policiers du Raid dans l’appartement à Saint-Denis.

Le GIGN à Nantes

En période de menaces terroristes, le ministre de l’Intérieur veut calmer ce désordre. « L’heure n’est pas à la concurrence des forces, mais à l’unité », a-t-il déclaré hier. Bernard Cazeneuve exige « une action rapide, efficace et coordonnée ». Sur le papier, cela semble simple. En cas « d’urgence absolue », doivent intervenir les premiers arrivés sur les lieux, qu’ils soient policiers ou gendarmes. Puis, aussi vite que possible et sans tenir compte du partage traditionnel ville-campagne, les unités d’élite formées à l’arrestation d’assaillants et à la libération d’otages. Ces troupes de choc vont être renforcées et implantées au plus près des populations. Le Raid compte près de 400 policiers et sept antennes, dont Rennes ; le GIGN, 400 gendarmes dans trois sites en métropole, et la BRI (Brigade de recherche et d’Intervention, « l’antigang » de la Préfecture de Paris), plus de cent personnes. Le plan prévoit la création de trois antennes du Raid à Toulouse, Montpellier et Nancy ; et de quatre antennes du GIGN à Nantes, Reims, Tours et Mayotte. L’effectif de la BRI sera doublé. Autre nouveauté : le savoir-faire d’une unité – en explosifs, en informatique, en parachutisme… – sera exploité si la situation le requiert. Les forces d’élite ont recensé « 130 capacités » qui seront évaluées, puis mises à disposition. Le ministre veut vraiment innover en instaurant « un commandement unique pour gérer la crise ». Cela paraît évident. Cela déclenchera parfois des batailles d’ego, d’expériences revendiquées et de territoire à défendre…

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Plan Vigipirate. Photo prise au Louvre

20 avril 2016

Miranda Kerr photographiée par Terry Richardson

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20 avril 2016

Vu sur instagram

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20 avril 2016

Jeux d'ombres - Recherche personnelle

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20 avril 2016

Alyssa Arce

alyssa

20 avril 2016

EXERCICE simulation d'attentat à Cannes demain 21 avril - N'ayez pas peur !

20 avril 2016

"Les malheurs de Sophie"

Les Malheurs pas tristes de Sophie

Cinéma. Entre film d’époque et conte intemporel, cette adaptation de la comtesse de Ségur a le goût des bonbons de l’enfance et la fraîcheur du printemps.

Rééditions, films, BD… Depuis que la comtesse de Ségur a écrit, au milieu du XIXe siècle, Les Malheurs de Sophie suivi des Petites filles modèles, ses romans pour enfants restent des classiques régulièrement revisités. Sans doute parce que l’histoire de cette petite Sophie a la dimension intemporelle des contes initiatiques. Grâce à la trame principale de l’histoire qui associe rêve et drame : une jeune fille de bonne famille vivant dans le château de ses parents, avec bonne et personnel, voit son bonheur brisé par la mort de ses parents.

Un ton moderne

Mais surtout grâce au caractère de Sophie. Cette enfant semble incapable d’apprendre de ses bêtises, qu’elle réinvente sans cesse. Comme si son amour de la liberté et sa soif d’expérimenter étaient plus forts que tout. Encore fallait-il réussir à remettre l’histoire au goût du jour. Christophe Honoré y arrive avec beaucoup de fraîcheur, voire une certaine grâce. On le doit à la qualité de ses images et à la fluidité de sa caméra. Il faut y ajouter un casting d’enfants épatants, encadrés par des adultes où brillent tout particulièrement la fragilité de la mère de Sophie (Golshifteh Farahani) et l’extravagance de la marâtre, interprétée par Muriel Robin. Dans le chaudron de la réussite, n’oublions les entêtantes mélodies d’Alex Beaupain et quelques trouvailles cinématographiques : un tableau de maître qui s’anime ou des animaux virtuels qui viennent se mêler aux images réelles (elles sont signées de Benjamin Renner, un des créateurs de l’adaptation cinématographique d’ Ernest et Célestine ). Au final, ces Malheurs sont vraiment réjouissants. 1 h 46. Article de Gilles KERDREUX.

20 avril 2016

Free the nipple

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