Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
17 mai 2016

De retour à Paris...

cab74667-601a-4de6-8c3b-c75337bd8f0e

Publicité
17 mai 2016

Bruno Barbey (photographe) en Mai 68

c47ae7f4-d725-48d3-a85f-22bdb8602ec4

c0b68c1f-10d8-458e-8671-b2269f432195

6e932494-b8af-4cd2-a0a4-1c94b5d8e689

17 mai 2016

Chômage

17 mai 2016

Extraits de plusieurs shootings - nus allongés

17209638_m-ANIMATION

17 mai 2016

J'ai toujours aimé les installations de lutte contre l'incendie

13166910_1601222596860946_18813187_n

Publicité
17 mai 2016

« Mademoiselle » : les rapports Japon-Corée dépeints à la façon d’une estampe érotique

SÉLECTION OFFICIELLE – EN COMPÉTITION

Champion du box-office coréen avec Old Boy (2003) ou Lady Vengeance (2005), spécialiste des anamorphoses et autres outrances numériques, grand maître de la revisitation sado-doloriste des genres cinématographiques les plus violents, Park Chan-wook n’a pas pour habitude de faire dans la subtilité, ou la délicatesse. Avouons-le, ce n’est pas le cœur léger que nous nous dirigions, samedi 14 mai à 8 heures du matin, vers l’amphithéâtre Lumière pour passer 2 h 25 devant son nouveau film, Mademoiselle. Mais cette épopée érotico-féministe en trois actes, située entre la Corée et le Japon pendant la seconde guerre mondiale, aura vite fait de balayer nos préventions, et ces 2 h 25 furent de fait assez savoureuses.

Inspiré du roman Fingersmith (Du bout des doigts, publié chez 10-18) de l’écrivaine britannique Sarah Waters, Mademoiselle est une histoire de manipulation et de vengeance sur fond de guerre des sexes et de lutte des classes. Un jeu de massacre ludique centré sur quatre personnages enfermés dans une gigantesque demeure japonaise, construite dans un style victorien : une belle héritière, une orpheline coréenne qui lui sert de bonne, un bibliophile érotomane qui la maintient en captivité, et un escroc qui veut mettre la main sur sa fortune.

Deux sublimes actrices

Nous ne nous appesantirons pas sur l’histoire, dont chaque nouvelle partie révèle une nouvelle dimension, remettant radicalement en cause ce qui avait été montré dans la précédente. Dans cette manière un peu ricanante qu’il a de se jouer de son public, qui fait écho au comportement de ses personnages, le film trouve sa limite.

Mais celle-ci ne gâche pas le plaisir purement esthétique qu’il procure. Flirtant avec le cartoon et la bande dessinée, fétichisant les accessoires, les décors, les visages et les corps de ses deux sublimes actrices, la mise en scène culmine dans deux scènes d’amour lesbiennes aussi intenses que graphiques, qui évoquent les estampes érotiques dont regorge la bibliothèque de l’épouvantable geôlier. On en redemanderait volontiers.

17 mai 2016

A Cannes...

031b70b6-9439-4c80-a6bf-797849140d18

17 mai 2016

WTF

12931203_202037003520031_2004411752335030813_n

16 mai 2016

Monica Bellucci photographiée par Helmut Newton

68f0d14b7a414cf15bd28b2c258c2b92

16 mai 2016

Révolution Culturelle

16 MAI 1966 Révolution culturelle en Chine Le 16 mai 1966, sur ordre de Mao, le Parti communiste chinois lance la "grande révolution culturelle prolétarienne", destinée à "éliminer" les éléments de la bourgeoisie "infiltrés". Des centaines de milliers - voire des millions - de personnes mourront dans ce déchaînement de violences qui tournera à la guerre civile.

Publicité
<< < 10 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 40 > >>
Publicité