On est rassuré. Les touristes aiment la Bretagne !

Sinon, ils n'y reviendraient pas en vacances aussi souvent. Les livres d'or des offices de tourisme sont éloquents : beauté des paysages, accueil chaleureux et tranquillité sont les principaux points plébiscités par les visiteurs de la région.

1. La Bretagne est belle.

Splendides, magnifiques, sublimes, majestueux... Les touristes ne sont pas avares en louanges quand ils évoquent les paysages bretons. Assurément son atout numéro 1. « Les gens nous disent souvent que c'est plus beau et plus préservé qu'ils ne pensaient. Les loi Littoral ou Natura 2000 sont contraignantes mais on a des retours positifs », souligne le président de l'office de tourisme de Belle-Ile-en-Mer (56). « Les paysages de l'intérieur sont moins cotés. Mais les touristes qui viennent nous voir succombent tout autant à leur charme », assure l'office de Pontivy (56).

2. Un riche patrimoine.

Le patrimoine est un autre point fort de la Bretagne, qu'il soit historique, architectural, gastronomique ou culturel. Les ports, Petites Cités de caractère, maisons, chapelles, enclos paroissiaux, phares, manoirs, châteaux sont très goûtés des vacanciers qui s'adonnent aussi aux plaisirs du palais (les fruits de mer et le kouign amann les font craquer et les crêpes sont incontournables) et apprécient danses et musique bretonnes. Avec de plus en plus l'envie d'expérimenter et de ne pas se contenter de regarder : « Les démonstrations de danses sur le port de Morgat fonctionnent très bien », constate Christelle le Bris, directrice de l'office de Crozon (29).

3. Le paradis des randonneurs.

Marche, vélo, VTT, cheval... Beaucoup de visiteurs confient qu'ils viennent dans la région pour randonner ou marcher en famille au coeur de la nature. Densité et qualité de chemins, bien entretenus et balisés, deux canaux avec chemin de halage et une offre importante d'hébergement à proximité expliquent cet engouement.

4. Sympas, les Bretons.

Les touristes se sentent bien accueillis par les Bretons ? « Souriants, serviables et aimant parler de leur pays et de leur culture », y compris dans les commerces et par les hébergeurs. Ce qui n'était pas toujours le cas il y a quelques années.

5. Une oasis de tranquillité.

« Les gens ne viennent pas ici pour chercher la foule », confie l'office de tourisme de Saint-Quay-Portrieux (22) : « Beaucoup de gens du Sud apprécient aussi qu'ils ne fassent pas trop chaud. Ils peuvent enfin dormir ». « La Bretagne est la première région en ce qui concerne le sentiment de sécurité », affirme, par ailleurs, Nicolas Dayot, président régional de l'hôtellerie de plein air.

6. Accessible financièrement.

Restauration, hébergement... Les vacanciers ne trouvent pas la Bretagne trop chère. « Les prix n'ont pas augmenté depuis dix ans alors que nous avons fait de gros efforts sur la qualité », explique Gilbert Lintanff, des Gîtes de France des Côtes-d'Armor. Les visiteurs apprécient également la gratuité de très nombreuses animations organisées par les communes ou encore le fait de pouvoir emprunter les cars pour des trajets à 2 €. Beaucoup estiment aussi que l'absence de péage sur les quatre voies bretonnes est un argument déterminant pour leur venue.

7. Beaucoup de choses à voir et à faire.

Visites de villages, villes, ports, musées, châteaux phares, sorties pêche, concerts, parcs d'attraction, zoos, activités nautiques, animations... Les touristes trouvent leur bonheur sans avoir à trop se déplacer. 6. La fête. Les vacanciers se disent « comblés » par les innombrables festivals, fêtes, animations de rue et concerts qui jalonnent l'été breton.

8. Ce qu'ils n'aiment pas.

Peu de choses en vérité : l'eau « un peu trop froide » ; « l'insuffisance de pistes cyclables sur le bord de mer » ou qui ne le sont pas vraiment (voies partagées avec les voitures) ; une vie nocturne pas assez intense pour les jeunes. Plus de cars sont également demandés. À Crozon, par exemple, pour aller visiter Brest ou Quimper dans la journée. Source : Le Télégramme

Un coin de paradis...

Une photo publiée par Quiberon (@quiberonplage) le 27 Août 2016 à 10h52 PDT

On September 10th, the exhibition 'A Different Vision on Fashion Photography’ will open at #KunsthalRotterdam @kunsthal Presented as a visual journey about my passions and obsessions, the exhibition features nine galleries, the first being about the birth of the Supermodels. On the 1988 ‘White Shirts’ images, curator @thierrymaximeloriot explains: Back in 1988, ten years after moving from Düsseldorf to Paris to pursue his photographic career, Peter Lindbergh garnered international acclaim and launched the careers of a new generation of models because of one particular image he had recently taken of them. The photograph showed the models, barely known back then, unpretentious, giggling together on the beach, all dressed in white shirts and hardly any makeup, with no retouching in post-production. It was first turned down by American Vogue, as the magazine thought it did not reflect the magazine’s vision at the time. Lindbergh preferred to show strong and independent women, because he could not relate to the images of overly styled women the magazine featured. In January 1988, Lindbergh had gone to the beach in Santa Monica with #LindaEvangelista, #KarenAlexander, #ChristyTurlington, #EstelleLefebure, #TatjanaPatitz and #RachelWilliams. He asked Carlyne Cerf de Dudzeele, the fashion editor, to bring only white shirts, no recognizable fashion. The result was a shock and a revelation in contrast to what had previously been done in fashion photography. As Lindbergh remembers: Back with the images, they just looked at them and put them in a drawer after asking me: ‘What are we supposed to do with THIS?’ When Anna Wintour took over editorship of Vogue USA in July 1988, she discovered the images rejected by her predecessors. Lindbergh had given the photographs to Liz Tilberis, then editor-in-chief at British Vogue, who decided to publish them in the October issue. Years later, in the book 100 Years of Vogue, the white shirt image was named the most important image of the 1980s. @carlynecerfdedudzeele @juliendys @karenalexanderofficial @lindaevangelista @tatjanapatitz @estellelefebure66 @rachel_williams1 @cturlington #PeterLindbergh @gagosiangallery @2bmanagement

Une vidéo publiée par Peter Lindbergh (@therealpeterlindbergh) le 27 Août 2016 à 8h27 PDT

Linda Evangelista, 1988. #aDifferentVisionOnFashionPhotography @kunsthal "The Canadian-born Linda Evangelista, shocked the fashion planet in 1988 by following Lindbergh’s advice to have her hair cut short by French hairstylist Julien d’Ys. Reluctant at first, she agreed as the photographer felt he had shot her in every possible way since she had started modeling in the mid-’80s. Evangelista’s new gamine pixie look, already popular in the fashion industry, made her lose a dozen contracts, but she gained many more. Later that year, she was featured on three simultaneous covers of Italian, French and American Vogue, which made her one of the most iconic models of her times." @lindaevangelista @juliendys #LindaEvangelista #JuliendYs Excerpt of introductory essay by exhibition curator @thierrymaximeloriot published by @taschen designed by @paprika_design #KunsthalRotterdam #PeterLindbergh @gagosiangallery @2bmanagement

Une photo publiée par Peter Lindbergh (@therealpeterlindbergh) le 27 Août 2016 à 13h01 PDT

C'était il y a 10 mois et demie ma participation à Miss Bretagne pour Miss France. #souvenirs #miss #missbretagne #missbretagne2015 #missfrance #eugeniejournee

Une photo publiée par Eugénie Journée (@eugenie.journee) le 27 Août 2016 à 7h34 PDT

Musique en fête. Strass et punch à Kerhillio

Pari gagné pour la municipalité d’Erdeven : la soirée Musique en fête, vendredi 26 août, a tenu ses promesses avec une programmation variée et punchy. Mené par l'ancien leader des Clam's, Pascal Rault, le groupe Pat, Paul & Mic a ouvert la soirée avec ses chansons décapantes, avant de laisser place à Zap Song, un orchestre débordant d'une énergie communicative, accompagné de trois danseuses de music-hall des Magic folies, pour une ambiance strass, paillettes et rock'n'roll. Source : Le Télégramme