Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
23 novembre 2016

In memorem : André Malraux

Publicité
23 novembre 2016

Affiches de prévention du sida : le gouvernement saisit la justice à la suite de la « censure » de maires

Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, veut défendre sa campagne mettant en avant des couples homosexuels.

Quelques heures avant de disparaître des emplacements publicitaires du réseau JC Decaux, la campagne gouvernementale de prévention du VIH (sida) à destination des homosexuels, visible depuis près d’une semaine sur 8 000 affiches dans 130 villes en France, a suscité une flambée de passions.

Dénonçant l’« homophobie » des maires Les Républicains (LR) qui avaient demandé le retrait de ces affiches dans leur commune, la ministre de la santé, Marisol Touraine, a annoncé, mardi 22 novembre sur Twitter, avoir saisi la justice administrative pour contester cette « censure ».

Dans le collimateur de la ministre : l’arrêté municipal pris la veille par le maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) Bruno Beschizza, pour interdire ces affiches au motif qu’elles « portent atteinte à la dignité au risque de heurter la sensibilité de l’enfance et de la jeunesse ».

Le même jour, Christophe Béchu, maire (LR) d’Angers, avait demandé – et obtenu – le retrait des affiches « situées aux abords des écoles » afin de « ne pas exposer un jeune public à un message qu’il ne peut pas comprendre ».

« Crispation »

Au final, les affiches ont été retirées par JC Decaux dans une dizaine de villes, « peut-être une quinzaine », annonce Lucile Bluzat, la coordinatrice du projet à Santé publique France. Sur les affiches, dont le ministère de la santé rappelle qu’elles ont été conçues en partenariat avec les associations de lutte contre le sida, la photo de deux hommes qui s’enlacent, et des messages tels que « Coup de foudre, coup d’essai, coup d’un soir » ou « Avec un amant, avec un ami, avec un inconnu », « Les situations varient, les modes de protection aussi ».

« Cette population des hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes est la plus exposée, avec près de la moitié des nouveaux cas d’infection », explique Lucile Bluzat. Les précédentes campagnes de ce type n’avaient été menées qu’au sein des espaces « communautaires », comme les bars LGBT ou les médias spécialisés, ce qui n’a cette fois constitué que la première phase de l’opération lancée le 1er novembre.

En octobre, dans une lettre à la ministre de la santé dévoilée par Libération, plusieurs associations, dont Aides, avaient fait part de leur crainte de voir le gouvernement ne pas oser « assumer d’afficher des couples homosexuels dans des abribus un lendemain de manif pour tous ». Elles disaient craindre que des « considérations électoralistes »passent avant des « impératifs de santé publique, donnant des gages à la frange la plus réactionnaire de la population ». Mme Touraine avait finalement tranché en faveur du lancement de la campagne.

« Message électoral en direction d’une communauté »

« Les deux hommes ne sont pas nus ou en train de faire l’amour, souligne Aurélien Beaucamp, le président de Aides. Si on avait vu un couple hétérosexuel, cela n’aurait pas posé de problème. » « Il y a des campagnes de publicité, pour des voitures par exemple, dont les messages sont beaucoup plus violents que cette campagne », ajoute-t-il, dénonçant une « crispation depuis quelques mois sur des questions d’homophobie ».

A cinq jours du deuxième tour de la primaire de la droite, ni Alain Juppé, ni François Fillon – les deux finalistes – ne se sont exprimés, mardi, sur le sujet. Isabelle Le Callennec, députée (LR) d’Ille-et-Vilaine et soutien de M. Fillon, a toutefois jugé cette campagne « très suggestive », y voyant un « message électoral en direction d’une communauté », assurant à l’Agence-France-presse avoir reçu « des appels de parents, de familles, qui sont choqués ».

Conformément à ce qui était prévu initialement, après l’arrêt de sa diffusion, mercredi 23 novembre, sur le réseau JC Decaux, la campagne devait se poursuivre de façon beaucoup plus modeste sur d’autres supports. Article de François Béguin


La campagne de prévention du VIH qui créé la discorde

23 novembre 2016

Politique

snip_20161122222650

23 novembre 2016

Rancinan à Bordeaux

rancinan bordeaux

snip_20161123072302

g8

23 novembre 2016

David Hamilton

Il y a un mois, Flavie Flament révélait avoir été violée à l'âge de 13 ans. Aujourd'hui, la présentatrice de 42 ans vient d'accepter une mission de la ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, dans le cadre du nouveau plan d'action gouvernemental contre les violences faites aux femmes. « Elle sera accompagnée par un pénaliste [...] pour comprendre et faire avancer un consensus sur l'allongement ou pas de la durée de prescription », a déclaré mardi, la ministre sur RTL.

 Dans son livre, l'animatrice avait préféré taire le nom de son agresseur à cause de la prescription des faits avant de dévoiler publiquement qu'il s'agissait du photographe David Hamilton. Flavie Flament parle d'une double peine pour les victimes, risquant une plainte pour diffamation. Hier, le célèbre photographe a d'ailleurs annoncé qu'il allait poursuivre l'animatrice en justice. Mais ce nouveau plan d'action, le 5e en quinze ans, ne se réduit pas à la question du viol. Il présente 122 actions. Objectif principal : proposer aux médecins, policiers ou avocats une formation sur ces violences faites aux femmes. 200 000 femmes subissent chaque année des coups, 84 000 sont victimes de viol ou de tentative de viol.

Publicité
23 novembre 2016

Extrait d'un shooting - nu animé

DSC_6084-ANIMATION

23 novembre 2016

Sous la canopée c'est déjà Noël - Les Halles

DSCN3881

DSCN3882

DSCN3883

23 novembre 2016

Primaire de la droite : Touche pas à mon pape !

Les deux finalistes de la primaire de la droite ont tous deux invoqué leur proximité avec les enseignements du souverain pontife. A Rome, on préfère ignorer cette querelle.

Tenant chacun un pan de sa chasuble, Alain Juppé et François Fillon ont fait entrer le pape François (et son 1,2 milliard de fidèles parmi lesquels, pensent-ils, il doit bien se trouver quelques électeurs encore indécis) dans le débat de deuxième tour de la primaire de la droite et du centre pour laquelle l’électorat catholique se serait mobilisé en masse. Sans lui avoir rien demandé, bien sûr. C’est à qui des deux se revendiquera le plus fidèle à l’enseignement et à la morale du souverain pontife.
C’est moi !, se rengorge le maire de Bordeaux qui dénonce la vision « extrêmement traditionaliste » de son adversaire qu’il accuse d’être « ambigu » sur le droit à l’avortement en se disant plus « proche de la parole du pape François » que de « la Manif pour tous ».
Bref, le député de Paris ne serait que la grenouille de bénitier d’une Eglise réactionnaire tendance Benoît XVI, serre-têtes et jupes plissées bleu-marine. Qu’Alain Juppé, enfant de chœur, ait rêvé d’être vicaire de Rome, l’autorise sans doute à cette analyse…
« Le pape n’aime pas être tiré par la manche »
Pas du tout, c’est moi !, conteste François Fillon parce que « sur la plupart des sujets sur lesquels Alain Juppé semble vouloir me contester, le pape François dit la même chose que moi ». Toute modestie mise à part, le favori du second tour en veut pour preuve la faculté accordée par François « d’absoudre le péché d’avortement » sans pour autant l’accepter.
Nul doute que l’ancien premier ministre de Nicolas Sarkozy pense aussi au fameux « Qui suis-je pour juger ? », lancé par le pape à propos des gays et des lesbiennes, lui qui, jeune député de la Sarthe, avait voté contre la dépénalisation de l’homosexualité en 1982. Ce qu’il regrette du bout des lèvres.
Pour départager les candidats, nous avons appelé Gian Maria Vian, le directeur du très sérieux Osservatore Romano, qui passe pour être l’organe officiel de la Curie. Pas de chance, ce quotidien du soir n’a pas fait mention de la polémique entre les finalistes de la primaire de la droite et il n’entend pas y consacrer la moindre ligne dans les jours à venir.
« Le pape n’aime pas être tiré par la manche, explique M. Vian. Sur un tel sujet, on ne peut rien écrire. Ce serait entrer dans le jeu de l’un ou de l’autre des candidats. Nous avons une autre idée de la politique. »
Imprévisibles « francesi »
Ce faisant, François (Bergoglio) est un homme sage. On a dû lui raconter qu’il y a environ dix ans, un autre candidat de la droite avait tenté de rallier les catholiques à sa cause en faisant l’éloge de la France éternelle et de « son manteau d’églises », en exaltant la « laïcité positive » et en soutenant que « l’instituteur ne pourra jamais remplacer le prêtre ou le pasteur » dans la formation des âmes.
Nous parlons de Nicolas Sarkozy bien sûr. Belles et fortes paroles après lesquelles l’ancien président de la république s’était présenté aux portes du Vatican en compagnie du comique Jean-Marie Bigard et de l’idéologue d’extrême droite Patrick Buisson. Depuis, le Saint-Siège se méfie un peu de ces imprévisibles « francesi »…
Dans son livre Faire (Albin Michel, 2015), François Fillon consacre un chapitre à sa foi catholique qui lui vaut le soutien entier de Sens commun, émanation politique de la Manif pour tous. Il explique qu’il va chaque année se ressourcer à l’abbaye bénédictine Saint-Pierre de Solesmes (Sarthe). Dans le documentaire que Franz-Olivier Giesbert a consacré à Alain Juppé (France 3) ce dernier explique qu’il aime aller à la messe car « c’est le seul endroit où on lui fiche la paix ». Le pape n’en pense pas moins… Article de Philippe Ridet

h208

pape fillon

23 novembre 2016

Des racines et des ailes - ce soir à la télévision

23 novembre 2016

« 3 jours à Quiberon » en tournage au Sofitel

romy

Ce film, réalisé par Emily Atef, retrace une période de la vie de Romy Schneider, ayant séjourné à Quiberon en 1981. Plusieurs séquences seront tournées du 25 novembre au 2 décembre.

L’événement

Tita B Productions sera en tournage du 25 novembre au 2 décembre pour le long-métrage « 3 jours à Quiberon », un film d’Emily Atef. Plusieurs séquences seront tournées en extérieur et à l’hôtel Sofitel à Quiberon. Marie Baümer y incarne Romy Schneider.

Recherche véhicules anciens

Cette fiction s’inspire d’une période de la vie de Romy Schneider ayant séjourné à Quiberon en 1981. La production recherche toujours des véhicules de figuration significatifs de la fin des années 70 et début 80 (Peugeot J7, Renault 4L, etc.). Contact : régie générale, tél. 06 21 46 87 34.

Au cinéma fin 2017, Arte fin 2018

Le film, tourné en noir et blanc, est destiné aux salles de cinéma fin 2017. C’est une coproduction francoallemande composée de Rohfilm Factory, Karsten Stöter, Sophie Dulac Productions, Michel Zana, Tita B Productions, Frédéric Prémel, Dor Filmù, Danny Krausz. Le film sera également visible sur la chaîne Arte, fin 2018.« Cette fiction n’est pas un film biopic sur Romy Schneider , précise Frédéric Le Gall, directeur de production,mais la mise en lumière d’un moment singulier dans la vie d’une star populaire, qui doit concilier sa carrière d’actrice et sa vie de mère. »

L’histoire

Hiver 1981, Romy Schneider est en cure au Sofitel de Quiberon, où elle se prépare pour son prochain film. Exceptionnellement, elle accepte de recevoir deux reporters du magazine allemand Stern, Robert Lebeck, photographe talentueux, avec qui elle a eu une brève liaison quelques années auparavant, et Michael Jürgs, un jeune journaliste ambitieux. Pour l’accompagner dans ce moment, elle fait aussi venir son amie d’enfance, Hilde. Pendant trois jours, tous les quatre naviguent entre le port de Quiberon, la suite luxueuse de l’hôtel, où a lieu l’interview, et la plage rocheuse qui lui fait face. Source Ouest France. Article issu de l'édition de Auray du mercredi 23 novembre 2016

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>
Publicité