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Jours tranquilles à Paris
28 décembre 2016

AURAY - Port de St Goustan

Auray St Goustan (1)

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Auray St Goustan (7)

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28 décembre 2016

Extrait d'un shooting - portrait

m1

28 décembre 2016

Et Dieu créa Vadim

Olivier Nicklaus trace avec rigueur et délicatesse le portrait du réalisateur qui a su capter l’air du temps et magnifier ses actrices.

ARTE – MERCREDI 28 DÉCEMBRE – 22 H 25

Cet homme a réalisé des films plus ou moins réussis, vécu avec des femmes sublimes et fut entouré d’amis fidèles. Roger Vladimir Plémiannikov, dit Roger Vadim, né à Paris en 1928, décédé en 2000, s’est offert une belle vie. Préférant parfois se laisser flotter plutôt que de se tuer à la tâche.

Vadim ? L’incarnation du cool à la mode de l’époque, avec une incroyable aptitude à capter l’air du temps, à magnifier ses actrices, à séduire mais aussi à se faire larguer par les femmes de sa vie, de Brigitte Bardot à Jane Fonda en passant par Annette Stroyberg, Catherine Deneuve ou Marie-Christine Barrault. Vadim donne le pouvoir à ses actrices, qui sont souvent ses compagnes. On quitte Vadim, mais sans drame, sans cri, sans ressentiment. Et lui continue à sourire, à parler de ceux qui lui sont proches avec une tendresse infinie. Il aura quatre enfants de quatre mères différentes. C’est sa vie.

Auteur de ce documentaire aussi émouvant qu’instructif, Olivier Nicklaus trace son portrait avec rigueur et délicatesse. Et à travers la vie de cet hédoniste un brin dilettante, au sourire radieux et à la mélancolie élégante, c’est aussi une histoire de la France qui défile à travers les multiples documents d’archives, souvent inédits. Des extraits épatants de Page Cinéma(1961), Panorama (1967), Entrée des artistes (1952) ou Reflets de Cannes(1966), pour ne citer qu’eux, donnent une idée de ce que représentait Vadim et à travers lui le cinéma dans la vie des Français de l’époque.

La vie plutôt que le cinéma

Vadim ? La célébration du plaisir. Avec, évidemment, l’image des fesses de la jeune et sublime Bardot dans Et Dieu créa la femme (1956), son coup de maître qui résonne comme un coup de tonnerre dans la société de l’époque. A moins de 30 ans, le succès inouï de son premier film fait entrer Vadim dans une autre dimension. Il incarne l’hédonisme qui va, dans les années à venir, bercer un pays qui ne demande qu’à oublier les années grises. Vadim aussi veut profiter de la vie, oublier les années de guerre. Oublier le décès sous ses yeux, à l’âge de 9 ans, de son père, issu de la noblesse russe, devenu diplomate au service de la France.

A 17 ans, le bac en poche, il veut profiter de la liberté : « J’étais paresseux, je me promenais », avoue-t-il. Il s’imagine écrivain, consul comme son père. Mais il attrapera le virus de la scène en suivant les cours de théâtre de Charles Dullin. Tout en faisant la bringue jusqu’au bout de la nuit dans les caves de Saint-Germain-des-Prés. On parle déjà de « la bande à Vadim ». Ce type au charme fou est au bon endroit, au bon moment.

Le film revient sur tous les aspects d’une vie mouvementée : tournages, procès, fâcheries, amours. Entre 1958 et 1968, Vadim connaît sa décennie magique, tournant jusqu’à deux films par an. On veut voir le dernier Vadim comme on désire lire le dernier Sagan. Tout le monde veut en être, de Gérard Philipe à Annie Girardot, de Jeanne Moreau à Jean-Louis Trintignant, de Michel Piccoli à Samy Frey. Sans oublier les copains fidèles que Vadim fait tourner : Boris Vian, Robert Hossein, les frères Marquand. Les lieux de plaisir de Vadim deviennent les décors de ses films ; Saint-Tropez, Megève, Castel à Paris… Mais peu à peu, celui qui était en phase avec l’air du temps perd de son charme. On louait sa légèreté ? On va critiquer sa désinvolture. L’intéressé trace sa route : il écrit, peint, s’occupe de ses enfants. Bref, il choisit la vie plutôt que le cinéma. Typiquement Vadim.

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28 décembre 2016

Vu sur internet - j'aime bien

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28 décembre 2016

Eva et Adèle

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28 décembre 2016

Kehinde Wiley au Petit Palais - vu hier

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http://kehindewiley.com/

http://www.petitpalais.paris.fr/expositions/kehinde-wiley

https://fr.wikipedia.org/wiki/Kehinde_Wiley

Né en 1977 à Los Angeles, Kehinde Wiley vit et travaille à New York. Réflexion sur l’identité raciale et sexuelle, sa peinture crée des collisions entre histoire de l’art et culture de la rue. L’artiste héroïse, et érotise, les « invisibles » traditionnellement exclus des représentations du pouvoir. Son œuvre réinterprète le vocabulaire de la puissance et du prestige, oscillant entre critique politique et aveu de fascination face au luxe et à la grandiloquence des symboles de la domination masculine occidentale.

27 décembre 2016

Mario Testino (photographe)

TOWEL SERIES 125, CAROLYN MURPHY. #MarioTestino #TowelSeries @CarolynMurphy

Une photo publiée par MARIO TESTINO (@mariotestino) le 27 Déc. 2016 à 10h49 PST

27 décembre 2016

Marché de Noël sur les Champs Elysées

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27 décembre 2016

Rancinan

27 décembre 2016

Leonardo Di Caprio (jeune) photographié par David Lachapelle

Nobody's baby.. 💔💔💔 Leonardo Decaprio by David LaChapelle #anotherfilthymagazineinspo

Une photo publiée par Another Filthy Magazine (@anotherfilthymagazine) le 26 Déc. 2016 à 20h46 PST

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