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Jours tranquilles à Paris
25 août 2017

Dinard. Le Festival du film britannique de l'après-Brexit

Le jury du Festival du film britannique a été dévoilé. Mélanie Thierry (à droite), Vincent Elbaz et Clémence Poésy en font partie. Figure majeure du cinéma français, Nicole Garcia présidera la 28e édition du Festival du film britannique de Dinard (35), du 27 septembre au 1er octobre.

« Notre défi n'est pas de faire plus mais de faire mieux », a souligné, hier, Hussam Hindi, directeur artistique du festival. Véritable vitrine d'un cinéma éclectique, vif et actuel, à la fois pointu et populaire, le Festival du film britannique de Dinard, sur fond de l'après Brexit, proposera aux cinéphiles une programmation riche et « So British » ! Pendant cinq jours, à partir du 27 septembre, la cité emblématique de la Côte d'Émeraude présentera au public et aux professionnels, six films en compétition, 11 courts-métrages, de nombreuses avant-premières, des rétrospectives, des séances spéciales, des rencontres et rendra hommage à de grands acteurs du cinéma britannique, tel que Jim Broadbent ou encore Phil Davis.

Côté jury, on attend sur la croisette dinardaise, aux côtés de la présidente Nicole Garcia, les acteurs Mélanie Thierry, Clémence Poésy, Valérie Donzelli, Vincent Elbaz. Il y aura également le scénariste Philippe Besson, la journaliste Annette Lévy-Willard et la monteuse Annette Dutertre. Trois Britanniques accompagneront ces personnalités françaises : l'actrice Alice Lowe, l'acteur Roger Allam et le producteur Michael Ryan.

Le Brexit et les migrants au coeur de la programmation

Cette première édition « post-Brexit » s'annonce très ouverte. Selon Hussam Hindi, « le festival va être le lieu où la résistance au Brexit va s'organiser autour des producteurs et réalisateurs britanniques, qui sont très attachés à l'Europe ». Une image que l'on retrouve aussi dans certains des films sélectionnés. Trois traitent aussi de la question des migrants et des conflits intergénérationnels. Mais le cinéma britannique a toujours cette force d'aborder les films graves avec un certain humour, qui fait son charme.

Les six films inédits en compétition :

Pili, de Leanne Welham

God's Own Country, de Francis Lee

A prayer Before Dawn, de Jean Stéphane Sauvaire

Steven Before Morissey, de Mark Gill

Daphne, de Peter Mackie Burns

Jawbone, de Thomas Napper

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25 août 2017

Armano Scacci

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25 août 2017

Film : 120 battements par minute

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25 août 2017

Emmanuel Macron en quête d’une communication présidentielle

Bucarest. De notre envoyé spécial - Source : Ouest France

La campagne fut rude, l’été ne le fut pas moins. Mais pour d’autres raisons. Après la débauche médiatique de l’élection, Emmanuel Macron avait choisi, sitôt élu, de raréfier la parole présidentielle. Certes, on l’a entendu au Congrès. Et on l’a vu un peu partout depuis mai. Avec Trump, avec Poutine. À Bruxelles, Versailles et Berlin. Mais pas question de commenter son action avec les journalistes, comme le faisait François Hollande. Macron veut rompre avec ses prédécesseurs pour redonner du lustre à la fonction. Raréfier la parole, c’était le mot d’ordre. Du moins, jusqu’à maintenant. Car si la séquence internationale a été réussie, le jeûne médiatique a montré ses limites. L’été a apporté son lot de coups politiques inattendus. Affaire Ferrand, démission de Bayrou, couac des APL, ruades des Insoumis. Les sondages étant en baisse, un besoin d’explication s’impose. De « pédagogie », diton à l’Élysée.

Une causerie au coin du feu ?

D’où le tournant opéré mercredi à Salzbourg par Emmanuel Macron dans sa communication. Il avait promis de ne pas parler de politique intérieure lorsqu’il était en déplacement à l’étranger. Depuis mercredi, il n’a cessé de faire référence aux sujets sensibles de la rentrée française. Il a longuement plaidé pour la cohérence de sa politique sociale à propos des travailleurs détachés. Il l’a expliqué hier à Bucarest.« Cette tournée européenne me permet d’expliquer la cohérence entre l’agenda français et l’agenda européen. » Sa posture réformatrice en politique intérieure et proactive à l’échelon européen offre un terrain propice. Le voyage en Autriche, Roumanie et Bulgarie a lieu, d’ailleurs, dans les trois pays qui assureront successivement, à partir du 1er janvier 2018, la présidence de l’Union européenne. Le Président invite ainsi ses ministres à occuper le terrain. S’adressera-t-il très prochainement plus directement aux Français ? À l’Élysée, après avoir rompu avec la tradition de l’entretien télévisé du 14 juillet, on réfléchit à une nouvelle formule, à échéance régulière. Permettant d’expliquer l’action gouvernementale et de la remettre en perspective. Cela pourrait être une fois par mois. Voire deux. En s’inspirant des causeries radiophoniques au coin du feu que le président Roosevelt avait rendu populaires avant la guerre. Pierre Mendès France en avait repris la formule dans les années 1950. Macron va-t-il la relancer à la radio ? À la télévision ? Sur Internet ? On sera bientôt fixé, tant la nécessité de s’adresser plus souvent à l’opinion est désormais une évidence. En trois mois, Emmanuel Macron a touché du doigt toute l’ambivalence de la fonction présidentielle. Le président est pour la Constitution de 1958 un arbitre, mais l’introduction du suffrage universel direct en 1962 en a aussi fait un acteur. Jouer sur les deux registres est délicat. L’excès de présence médiatique est dangereux pour l’arbitre. Trop d’abstinence peut être létal pour l’acteur. En trois mois, il vient de faire l’expérience de ces deux limites. Cela s’appelle, en démocratie, rendre des comptes. Article de Laurent MARCHAND. Ouest France.

bucarest

25 août 2017

Rassemblement de soutien à Paris pour Loup Bureau

loup

Reporters sans frontières et le comité de soutien à Loup Bureau – dont le porte-parole est le journaliste Pierre Haski – ont déployé, hier, une banderole sur le parvis de la mairie du IVe arrondissement à Paris. Mathias Depardon, qui avait été détenu un mois en Turquie, était présent. Tous réclament la libération du journaliste nantais de 27 ans, écroué à la prison de Sirnak (Turquie) depuis un mois. Une pétition a recueilli plus de 27 000 signatures.« Il s’agit d’une arrestation politique et c’est donc au politique de régler cette situation. » Loïc Bureau, le père de Loup, attend une nouvelle prise de parole du Président Macron, et regrette de ne recevoir« aucune information du Quai d’Orsay ». Christophe Girard, le maire socialiste, l’a assuré du soutien de Marielle de Sarnez, présidente de la Commission des Affaires étrangères à l’Assemblée.

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25 août 2017

Extrait d'un shooting - nu masqué

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25 août 2017

Toiletpaper

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25 août 2017

Quand le bondage devient à la mode

par Manon Baeza 

La mode et le bondage, une nouvelle histoire d’amour.

Le bondage, qui signifie "esclavage" en anglais, est une pratique sexuelle à tendance sadomasochiste qui vise à attacher son partenaire pendant une relation érotique ou sexuelle. Le bondage s’appuie sur de nombreux fantasmes de soumission, et peut se référer à des techniques plus anciennes, comme "l’hojōjutsu", un art martial traditionnel japonais du XVIIe siècle qui consiste à ligoter une personne à l’aide de cordes. Outre le ligotage, le bondage fait aussi appel à toutes sortes de moyens de contrainte de façon plus générale.

Du côté des vêtements, le bondage regroupe principalement tout ce qui est corsets, combinaisons en latex et toutes sortes de créations, telles que les grosses boucles, les chaînes et les pics. Si le bondage commence peu à peu à s’immiscer sur les podiums, notamment à Londres et Berlin, villes prônant l’excentricité, nous pouvons aussi relever qu’il devient un pan de la mode à part entière.

En effet, nous pouvons remarquer l’émergence de plusieurs marques se développant uniquement autour du bondage. À cette occasion, nous vous avons fait une sélection de cinq marques de bondage à l’univers et l’esthétique totalement différents, mais toutes très réussies. Les menottes à froufrous, c’est out, le bondage, c’est in.

Zana Bayne, la marque qui repense le bondage sous toutes ses formes

https://www.facebook.com/zanabayne

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25 août 2017

Pascal André Heimlicher - photographe

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25 août 2017

L’Aérosol, ça décoiffe !

Rue de l’Evangile (XVIIIe). Entre les food trucks et les amateurs en rollers, chacun peut faire des graffitis sur les murs de l’entrepôt.

Ouvert depuis une semaine, c’est le nouveau spot à la mode. Street art, food trucks et cultures urbaines s’y mêlent sur une ancienne friche de la SNCF.

Paris - XVIII e - Par  Valentin Belleville

De grands murs parés de sublimes graffitis, une musique qui invite à la détente, du patinage, des transats, des food trucks, un bar, et bientôt un musée. L’Aérosol, qui a accueilli ses premiers visiteurs le 2 août, est le lieu à ne pas manquer cet été. Installé dans les anciens locaux de la SNCF de la rue de l’Evangile (XVIII e), ce lieu atypique se prête parfaitement à la floraison de l’art de rue, revendiquée par les créateurs du concept, David, Kevin et Aurore.

Issus de la culture urbaine, ils ont abattu un travail considérable pour réaliser ce projet fou. Kevin, 40 ans, ancien directeur artistique du Printemps de Bourges, profite de la fermeture hebdomadaire de L’Aérosol pour vider les poubelles : « On a voulu ouvrir un lieu pour que tout le monde puisse laisser libre cours à son imagination. Chacun peut venir faire des graffitis sur les murs de l’entrepôt, ou danser en rollers. Les seuls mots d’ordre ici sont couleur et mouvement. »

L’Aérosol s’est doté d’un petit magasin de bombes de peinture, disponible sur place (3,50 € l’unité). Le résultat est impressionnant.

Des projets à la pelle

Les gigantesques graffitis sont le fruit d’artistes reconnus comme Madame Moustache, mais chacun est invité à laisser son empreinte.

Jusqu’ici, le concept fonctionne. Kevin a vu des enfants dessiner sur les murs à quelques pas des graffeurs, puis des personnes âgées se promener dans le musée de street art où les œuvres de grands artistes seront bientôt visibles.

Les projets ne manquent pas : mur d’escalade, marché de créateurs, skatepark, BDthèque, graffiti virtuel, partenariat avec Radio France… Il faut se presser à L’Aérosol car le concept est éphémère. Le 28 janvier, il fermera ses portes, mais « pas définitivement » assure Kevin… Affaire à suivre.

L’Aérosol, 54, rue de l’Evangile (XVIII e). M° Marx Dormoy. Entrée libre. Paires de rollers en location : 5 € l’heure.

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