Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
1 novembre 2017

Auray - Pavillon d'en-bas. Un lieu d'exposition

IMG_1067

En le restaurant dans les années 1970, les époux Lemonnier avaient donné au Pavillon d'en-bas, ancien relais de poste, une nouvelle mission : permettre aux artistes et aux créateurs d'y exposer et de faire ainsi connaître leurs oeuvres. Après une pause au décès de son mari, Michèle Lemonnier a continué ce projet. Ce superbe bâtiment à colombages du XVIesiècle est aujourd'hui divisé en trois parties.

Le premier espace, côté rue du Château, est loué par la dentellière Sylvie Le Coz, qui fabrique notamment de petits rideaux bretons. Chez elle, on trouve aussi toute l'année les marines de Michel Alips et les céramiques de Christine Millard. « L'hiver, c'est très calme. J'en profite pour refaire mes stocks et participer aux marchés du terroir ».

Le second est occupé par un atelier-boutique « Ta vie en couleurs ». « La tortue papivore », Sylvie Serrain, innove autour du papier mâché et roulé tandis que Geneviève Rio, surnommée Melle Gigi, fabrique des doudous. « En projet pour cet hiver, des ateliers pour apprendre nos techniques aux adultes comme aux enfants ».

Cinq artistes l'été

Enfin, le dernier est loué pendant les six mois d'été à cinq artistes. Pendant encore quelques jours, jusqu'au 31 octobre, il est encore possible d'aller voir, au 26, rue Philippe-Vannier, le travail de la photographe Laurette Delplanque, des peintres Pascal Kestler, Isabelle Perronneau et Marie-Catherine Puget, et les empreintes de poissons réalisées sur soie avec des encres à huile par Marc Porrini.

« C'était la première fois que j'exposais à Auray, dans ce local parrainé par l'association Auray Pays d'Artiste (Apa). Il y a eu moins de ventes qu'espérées, mais pas mal de visites, surtout le week-end, et aucune remarque désagréable. Mais pas facile d'assurer une permanence. L'expérience a été positive, ça a été l'occasion de prendre des contacts avec les futurs clients, histoire de constituer un réseau », estime Pascal Kestler, dit Kelt.

« Nous avions déjà loué ce local à Michèle Lemonnier en 2013 et 2014. Ses fils nous ont proposé cet été une location saisonnière. Cela permet aux artistes de partager les frais », conclut Lucie Claire, présidente de l'Apa.

Publicité
1 novembre 2017

Je suis en Bretagne

bretagne

1 novembre 2017

Toussaint

IMG_3215

1 novembre 2017

Vive le bon vieux radio-réveil !

Par Luc Vinogradoff - Le Monde

Dans sa chronique, Luc Vinogradoff, journaliste au « Monde », rappelle que pour réduire notre technodépendance, exclure le téléphone de notre chambre est déjà un bon début.

Dans une époque de plus en plus ­centrée sur l’économie de l’attention, votre téléphone mobile est constamment avec vous. Dans la poche arrière de votre ­pantalon, près de l’ordinateur ou des plaques de cuisson, sur la table du restaurant…

C’est l’outil indispensable de communication écrite, visuelle, orale, pour l’accès à l’infor­mation et à la distraction ; c’est aussi un agenda, une boussole, un moyen de paiement, un ­ appareil photo. Corollaire de cette connexion permanente, l’émergence du concept de « désintoxication technologique » se développe. Ce qui se ­traduit, en bonne logique, dans notre société mercantile, par des services payants « digital detox » vous proposant de vous débarrasser de cette béquille numérique.

Tour ce qu’on a pu rater

De tous les objets rendus quasi obso­lètes par le téléphone portable, il en est un, pourtant, dont la résurrection pourrait être fort utile pour réduire notre technodépendance : le bon vieux radio-réveil du XXe siècle.

L’idée est d’exclure son téléphone de la chambre à coucher et de remplacer la fonction qu’on attend de lui aux heures les plus matinales – le bruit strident qui nous réveille – par une machine dont c’est le seul but : donner l’heure et sonner.

En se penchant pour ­éteindre le beep-beep-beep de son téléphone, le réflexe, en effet, est souvent ­d’effleurer les applis, puis de lire les mails, notifications, SMS, Facebook, WhatsApp, Instagram, Snapchat… Tout ce qu’on a pu rater pendant notre sommeil.

Couper le cordon

Mettre son portable à charger loin de son lit peut ainsi revêtir un caractère presque militant : c’est un acte de volonté pour reprendre le contrôle de ­notre temps et de notre attention.

Dans une « TED Talk » qui a fait le tour du Web, Simon Sinek, un écrivain se présentant comme « conférencier motivateur », défend ce geste en apparence anodin avec véhémence. « Aucun de nous ne devrait charger son téléphone près de son lit, argue-t-il. Nous devrions le charger dans le salon. Il faut éliminer la tentation. » L’objectif est de grappiller quelques minutes en coupant le cordon avec la connexion permanente.

Simon Sinek rappelle que des pontes de la Silicon Valley (Californie), ceux-là mêmes qui nous vendent ces technologies devenues indispensables à nos vies, limitent l’exposition de leurs enfants à leurs gadgets ; c’était le cas du cofondateur d’Apple, Steve Jobs. Si c’est une préoccupation pour eux, ça devrait également l’être pour nous.

1 novembre 2017

Morbihan : Sinagots

pliqqon sinagots

Photo : Philippe Plisson

Publicité
1 novembre 2017

La croix de Ploermel

1 novembre 2017

Le vieux pont du Bono

le bono

Publicité
<< < 10 20 30 31 32 33
Publicité