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Jours tranquilles à Paris
13 mai 2018

13 mai 1968....

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13 mai 2018

La Samaritaine (toujours en travaux)

samaritaine

13 mai 2018

Extrait d'un shooting - "J'peux pas, j'ai shooting..."

sexy

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13 mai 2018

1968-2018 : espérance de vie, mariage, enfants… ce qui a changé dans la population française

Par Anne-Aël Durand - Le Monde

Zoom sur cinquante ans d’évolution des mœurs et des schémas familiaux.

La France célèbre le cinquantième anniversaire de Mai 68. Les Décodeurs ont cherché à comprendre comment la société a évolué en cinquante ans.

Des Français plus nombreux, qui vivent plus longtemps

+ 16,4 MILLIONS

La population française n’a cessé de croître en cinquante ans.

+ 11 ANS D’ESPÉRANCE DE VIE

En 1968, un enfant qui naissait pouvait espérer vivre jusqu’à 71,5 ans en moyenne, avec un décalage important selon son sexe : 67,8 ans pour un homme et 75,2 ans pour une femme.

Aujourd’hui, l’espérance de vie à la naissance s’établit à 82,5 ans (en 2017), avec un écart réduit entre les hommes (79,5 ans) et les femmes (85,3 ans). Cette longévité s’explique par les progrès de la médecine, qui a réduit la mortalité des adultes et des personnes âgées, comme l’explique Gilles Pison dans Populations et sociétés n° 553, de l’Institut national d’études démographiques (INED).

Résultat, la population a nettement vieilli. Les moins de 20 ans représentaient un tiers des Français en 1968, contre moins d’un quart en 2018.

Moins d’enfants, plus tardivement

+ 4,5 ANS POUR LES FEMMES À LA NAISSANCE DE LEUR PREMIER ENFANT

En 1968 (ou plus précisément en 1967, selon des données de l’Insee), les femmes accouchaient de leur premier enfant à 24,2 ans en moyenne, et l’indice de fécondité, c’est-à-dire le nombre d’enfants par femme en âge de procréer, était de 2,5.

Aujourd’hui, l’âge des mères à la naissance de leur premier bébé se situe à 28,7 ans en moyenne (en 2017), avec un indice de fécondité en baisse, à moins de 1,9 enfant par femme.

L’entrée dans la maternité est plus étalée : il y a cinquante ans, près d’un tiers des femmes accouchaient pour la première fois entre 21 et 23 ans, et moins de 10 % devenaient mères après 30 ans, alors que c’est désormais le cas d’un tiers d’entre elles.

Des naissances plus maîtrisées

En 1968, il n’était pas évident pour les femmes d’avoir des relations sexuelles sans risquer de tomber enceinte : 25 % des femmes n’utilisaient aucun moyen de contraception, 32 % pratiquaient le retrait et 16 % d’autres méthodes comme l’abstinence périodique. La loi Neuwirth venait d’être votée, à la toute fin de l’année 1967, et la pilule, encore confidentielle, n’était pas remboursée.

Aujourd’hui, la contraception s’est généralisée, avec une hégémonie de la pilule (utilisée par 56 % des femmes en 2000), partiellement remise en cause après les années 2010, ainsi que le développement du stérilet et du préservatif.

Le mariage en déclin… et en recomposition

9 FOIS PLUS D’ENFANTS DE COUPLES NON MARIÉS

En 1968, le mariage était la norme et le préalable à la constitution d’une famille. Les enfants « naturels » ou « illégitimes » étaient minoritaires (6,2 %) et souvent non reconnus par leur père.

Cinquante ans plus tard, les enfants nés hors mariage représentent la majorité des naissances (58,6 % en 2016). Toutefois, la quasi-totalité des pères reconnaissent leur enfant dans l’année qui suit la naissance. Seuls 4 % des enfants nés en 2016 n’ont pas bénéficié de la reconnaissance paternelle.

3,5 FOIS PLUS DE DIVORCES

En 1968, plus de 350 000 couples se mariaient chaque année, dont la grande majorité pour la première fois. Le divorce était rare, et ne concernait qu’un couple sur dix en moyenne. Actuellement, le nombre d’unions a baissé, et plus d’un quart (28 %) sont des remariages. En revanche, le divorce a explosé et touche plus de 123 000 couples par an.

DES UNIONS PLUS DIVERSES

Depuis vingt ans, le mariage traditionnel a été complété par d’autres formes d’union, qui incluent les couples homosexuels : le pacte civil de solidarité, instauré en 1999, puis le mariage pour tous à partir de 2013. Il y a désormais davantage d’unions enregistrées chaque année devant les autorités qu’en 1968.

13 mai 2018

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13 mai 2018

Cinéma : 82 femmes appellent à la parité et à l’égalité salariale sur les marches du Festival de Cannes

82 femmes

De nombreuses stars et femmes du 7e art, dont la présidente du jury Cate Blanchett, ont pris part samedi à une montée des marches 100 % féminine en faveur de l’égalité.

Quatre-vingt-deux femmes ont lancé, samedi 12 mai, un appel à « l’égalité salariale » dans le cinéma, lors d’une montée des marches inédite et 100 % féminine au Festival de Cannes. Parmi elles, les membres féminins du jury, dont sa présidente Cate Blanchett, des réalisatrices, des actrices, mais aussi des monteuses, des productrices et des décoratrices, toutes femmes du 7e art.

Cette première dans l’histoire du Festival vient marquer cette 71e édition, la première depuis l’éclatement du scandale Weinstein. Le producteur hollywoodien a été accusé ces derniers mois de harcèlement sexuel et de viols par plus d’une centaine de femmes à travers le monde, stars comme actrices débutantes.

« Nous demandons l’équité et la réelle diversité »

« Nous mettons au défi nos gouvernements et nos pouvoirs publics pour appliquer les lois sur l’égalité salariale », a déclaré la réalisatrice française Agnès Varda, qui a pris la parole aux côtés de la star australienne Cate Blanchett, toute de noire vêtue.

« Nous mettons au défi nos institutions pour organiser activement la parité et la transparence dans les instances de décision. (…) Nous demandons l’équité et la réelle diversité dans nos environnements professionnels », ont-elles lu sur le tapis rouge, l’une en anglais, l’autre en français.

Elles ont toutes les deux rappelé que 82 est le nombre de femmes retenues en compétition pour la Palme d’or par le Festival depuis sa première édition en 1946, contre 1 688 hommes.

Elles ont également souligné que depuis sa création, 71 réalisateurs avaient reçu une Palme d’or, contre seulement deux femmes : Jane Campion, en 1993, pour La leçon de piano, ex aequo avec le Chinois Chen Kaige, et Agnès Varda elle-même, pour une Palme d’honneur en 2015.

Trois femmes en lice pour la Palme d’or

« Les femmes ne sont pas minoritaires dans le monde et pourtant notre industrie dit le contraire », ont encore souligné Cate Blanchett et Agnès Varda. Autour d’elles sur le tapis rouge, figuraient Salma Hayek, Marion Cotillard, Jane Fonda, Claudia Cardinale, Julie Gayet et les membres féminins du jury.

Le Festival avait envoyé un premier signal fort en direction des femmes, en choisissant un jury majoritairement féminin.

Cette marche symbolique a été organisée avant la projection des Filles du soleil, le film de la première des trois femmes en lice cette année pour la Palme d’or, la Française Eva Husson. Son film suit un bataillon de combattantes kurdes commandé par la sergente Bahar, jouée par l’Iranienne Golshifteh Farahani.

13 mai 2018

Milo Moiré

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13 mai 2018

Aujourd'hui à 15h00...

13 mai 2018

Avec une chanson inspirée par l’esprit #MeToo, Israël remporte l'Eurovision

Avec "Toy", un titre inspiré par la vague féministe #MeToo, la chanteuse israélienne Netta Barzilai a remporté samedi la 63e édition de l'Eurovision. Le duo français "Madame Monsieur" a finalement terminé 13e avec "Mercy".

Israël a remporté pour la quatrième fois de son histoire le concours de l'Eurovision grâce à une chanson inspirée par l'esprit #MeToo, plébiscitée par des millions de téléspectateurs à l'issue d'une finale disputée samedi 12 mai à Lisbonne. La chanson "Toy", un appel à l'émancipation féminine et contre toute forme de harcèlement, était interprétée par la chanteuse israélienne de 25 ans Netta Barzilai, située aux antipodes d'une typique diva télégénique en raison de son surpoids.

"Merci d'avoir accepté la différence et célébré la diversité", a réagi la chanteuse en pleurs, sur la scène de l'Altice Arena, la plus grande salle de spectacle du Portugal. "J'adore mon pays", a-t-elle encore lancé devant 11 000 enthousiastes arborant drapeaux ou vêtements aux couleurs de leurs nations respectives.

Avec sa voix puissante, ses grimaces et ses mouvements imitant une poule sur fond de musique de danse emballante, Netta a remporté le duel annoncé par les bookmakers qui l'opposait à la représentante de Chypre, la chanteuse grecque d'origine albanaise Eleni Foureira. Cette dernière défendait la chanson intitulée "Fuego", un morceau de pop sensuel au refrain accrocheur chanté en anglais qui lui a valu d'être comparée à Shakira ou Beyoncé.

Vague d'enthousiasme en Israël

La victoire de Netta a provoqué un immense vague d'enthousiasme en Israël, qui avait déjà remporté l'Eurovision à trois reprises, en 1978, 1979 et 1998. Des centaines de fans ont exprimé leur bonheur en dansant devant la mairie de Tel Aviv, certains se jetant même tout habillés dans le plan d'eau situé sur cette esplanade. Netta a été félicitée par téléphone par le Premier ministre Benjamin Netanyahou, qui lui a dit : "Tu es la meilleure ambassadrice d'Israël, nous t'aimons."

Elle succède ainsi au chanteur portugais Salvador Sobral, sacré l'an dernier à Kiev avec une ballade jazzy, qui lui a remis le trophée du vainqueur après avoir déclaré cette semaine que sa chanson était "horrible".

Favorite des bookmakers pendant des semaines, l'Israélienne qui assume ses rondeurs avec fierté était tombée en deuxième position, mais la victoire ne lui a pas échappée. Elle s'est imposée grâce aux points attribués par les téléspectateurs des 43 pays participants, car le candidat autrichien Cesar Sampson avait créé la surprise en prenant l'avantage à l'issue du vote des jurys professionnels nationaux.

La France 13e

Pourtant bien placé dans les classements des preneurs de paris, le duo français "Madame Monsieur" a finalement terminé 13e avec "Mercy", une composition de pop mélodieuse qui raconte le périple d'une enfant née sur un bateau de migrants. La dernière victoire française remonte à 1977, avec "L'Oiseau et l'Enfant" interprété par Marie Myriam.

Suivi par des dizaines de millions de téléspectateurs, le marathon audiovisuel disputé depuis 1956 a encore une fois offert un pot-pourri de genres musicaux assortis de costumes extravagants et de mises en scène provocantes. Il y aura eu la robe géante de la soprano estonienne et le piano en flammes du rockeur ukrainien, mais aussi un viking pacifiste venu du Danemark.

Dans un registre plus intimiste, mais également osé, la ballade de l'Irlandais Ryan O'Shaughnessy était accompagnée d'une danse romantique entre deux hommes, qui lui avait valu d'être censurée en Chine au cours de la retransmission de la première demi-finale.

Micro volé

Seul imprévu, la prestation de la candidate britannique SuRie a été interrompue par un spectateur qui est monté sur scène et s'est brièvement emparé de son micro, avant d'être interpelé par les autorités.

Mais l'Eurovision, qui attire chaque année une audience de près de 200 millions de téléspectateurs, a souvent alimenté la polémique à travers son histoire, comme lors du sacre de la drag queen à barbe Conchita Wurst, représentante de l'Autriche en 2014.

Avec un budget de 20 millions d'euros, le plus bas de ces dix dernières années, la télévision publique portugaise RTP avait conçu un spectacle plus "théâtral", limitant le recours aux projections vidéo et aux nouvelles technologies. Les organisateurs voulaient ainsi répondre à l'appel à la sobriété lancé par Salvador Sobral - "La musique, ce n'est pas des feux d'artifice, mais des sentiments", disait-il à Kiev - mais c'est finalement la fantasque Netta Barzilai a convaincu le public, aidée par quelques effets pyrotechniques. Avec AFP

13 mai 2018

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jaime71

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