François Bayrou, président du Modem, a déclaré aujourd'hui, après la réunion sur la crise financière internationale à l'Elysée, que "tant que l'on fera croire que c'est à Paris que (...) pourraient se trouver les réponses à cette crise, on raconte des histoires, ce sont des balivernes".

"Tant que nous ne chercherons qu'une réponse nationale à la crise, nous serons à côté de la plaque. Tant que l'on fera croire que c'est à Paris que (...) pourraient se trouver les réponses à cette crise, on raconte des histoires, ce sont des balivernes", a dit M. Bayrou sur France 2. Un peu plus tôt, le président Nicolas Sarkozy avait tenu à l'Elysée une réunion de crise avec les principaux banquiers et assureurs français. Pour M. Bayrou, "il ne peut y avoir de réponse solide et structurée qu'au moins dans le cadre européen des pays qui partagent entre eux la même monnaie. Tant qu'on ne fait pas ça, on est dans l'apparence". "C'est une crise internationale à laquelle il faut une réponse internationale et l'instrument de la France pour accéder à l'international, c'est l'Europe", a-t-il martelé. Pour lui, Nicolas Sarkozy, président en exercice de l'Union européenne depuis juillet, "était en situation et en légitimité de convoquer d'urgence une réunion qui aurait eu un objet du même ordre que ce que les Etats-Unis sont en train de vivre et de faire". Source AFP

Ses premiers romans l'ont rendue riche et célèbre. En 1954, la France et le monde faisaient un succès et un scandale de «Bonjour Tristesse», de ces plaisirs sans péchés. Depuis, Françoise Sagan mène une vie légère et tapageuse, entourée de sa bande d'amis, «la bande à Sagan», de Deauville à Saint-Tropez. A Deauville, ce 8 août 1958 à 8h du matin, Françoise, qui n'a pas encore 30 ans, mise ses derniers jetons sur le 8 et rafle 8 millions de francs, somme avec laquelle, quelques heures plus tard, elle achète une propriété de 8 hectares qu'elle louait l'été près d'Honfleur, en Normandie. Elle jure alors que personne ne viendra la déloger de cet endroit...

Ce film est sorti récemment en salles, voir mon précédent billet en cliquant ICI.

Nues dans le métro
Voir l'article d'Agnès Giard sur son blog les 400 culs

Le modèle ci-dessus (photographié par Jam Abelanet) a également posé pour moi. Voir également ICI et Là. Voir également mes précédents billets sur Jam Abelanet en cliquant ICI et Là.

Photo prise par Mimie avec son téléphone mobile

* à ne pas confondre avec le Champ de Mars ;-)

"La vie des autres"

Un agent de la Stasi se prend de sympathie pour un couple qu'il espionne. Pour inaugurer son cycle sur le nouveau cinéma allemand, ARTE programme ce film événement, qui fit ressurgir les heures sombres de la RDA. Officier modèle, le capitaine Wiesler a toujours servi la Stasi sans se poser de questions, jusqu'au jour où il doit surveiller l'appartement d'artistes en vue : le dramaturge Georg Dreyman et sa compagne, l'actrice Christa-Maria Sieland. L'écrivain a été mis sur écoute, car il est soupçonné de comploter contre le régime. Il s'agit en fait d'une machination ourdie par le ministre est-allemand de la Culture qui en pince pour la belle comédienne. À mesure que Wiesler plonge dans l'intimité du couple, il se prend d'affection pour les deux protagonistes et finit par falsifier les rapports qu'il rend à ses supérieurs.

(Allemagne, 2006, 129mn, VM)

Réalisateur: Florian Henckel von Donnersmarck

Acteur: Hans-Uwe Bauer, Martina Gedeck, Sebastian Koch, Volkmar Kleinert, Thomas Thieme (Ministre Bruno Hempf), Ulrich Mühe (Capitaine Gerd Wiesler), Ulrich Tukur (Lieutenant-colonel Anton Grubitz)

Auteur: Florian Henckel von Donnersmarck

Mon avis : superbe film. A voir ou à revoir sans modération.

Aux Etats-Unis, la Chambre des représentants a rejeté lundi 29 septembre le plan de sauvetage des banques de 700 milliards de dollars, par 228 voix contre et 205 voix pour. (AFP)

A Paris, le CAC 40 a dégringolé, lundi 29 septembre, de 5,04 % pour terminer à 3 953,48 points, son plus bas niveau depuis mai 2005. A Londres, l'indice Footsie-100 a cédé 5,30 %, à 4 818,77 points. En Allemagne, l'indice vedette Dax de la Bourse de Francfort a lâché 4,23 % à 5 807,08 points. (AFP) 

Monsieur le Président
envoyé par La_Scam

Les grilles du jardin du Luxembourg sont désormais l’une des galeries de photos les plus renommées de Paris. Pour sa dix-neuvième exposition, le Sénat présente « Terre des pôles », des photos de Nicolas Mingasson, photographe passionné de l’Arctique auquel se sont joints sept autres photographes qui travaillent, eux, sur l’Antarctique. Ces photos sont autant de témoignages de la splendeur et de la fragilité de ces deux terres blanches.

Jusqu’au 4 janvier 2009. De la rue de Vaugirard à la rue de Médicis. RER Luxembourg- Sénat. A découvrir jour et nuit.

Le Sénat présente sur les grilles du Jardin du Luxembourg une exposition de photographies

« Terre des Pôles »

du 24 septembre 2008 au 4 janvier 2009

Pour sa 19e exposition de photographies sur les grilles du Jardin du Luxembourg, le Sénat accueille « Terre des Pôles » de Nicolas Mingasson, photographe passionné de l’Arctique, auquel se sont joints sept autres photographes, qui travaillent dans l’Antarctique.

Nicolas Mingasson, qui parcourt le pôle Nord depuis une dizaine d’années, a conçu son exposition en accompagnement des préoccupations exprimées à l’occasion de la 4e année Polaire Internationale, qui avait été ouverte au Sénat le 1er mars 2007.

L’exposition témoigne des splendeurs de ces deux « Terres » blanches que sont l’Arctique et l’Antarctique, sans rien cacher des indices alarmants de leur dégradation en cours.

Elle s’inscrit dans le cadre de la politique culturelle du Sénat qui s’adresse aux citoyens et plus largement au grand public, à ces « passants » amateurs d’art de la rue de Médicis.

Le Sénat décline ainsi sa mission de réflexion et d’information sur les grandes interrogations suscitées par les menaces pesant aujourd’hui sur les espaces glacés des pôles : la fonte des glaces, le réchauffement climatique, le manque d’eau potable, la survie des espèces et le risque de disparition des populations de ces régions extrêmes.