Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
10 mars 2015

Le vernissage de l'exposition Terry Richardson à la Galerie Perrotin

perrotin_55_jpg_3872_north_626x_white

Jalil Lespert, Sonia Rolland, Terry Richardson, Læticia Hallyday, Anne-Sophie Mignaux et Emmanuel Perrotin

perrotin_63_jpg_8270_north_626x828_white

Yann Arthus-Bertrand

perrotin_40_jpg_2988_north_626x_white

Terry Richardson et Jared Leto

perrotin_60_jpg_7050_north_626x828_white

 

 

Camille Rowe et Gaspar Noé

perrotin_58_jpg_4741_north_626x_white

 

Læticia Hallyday

perrotin_39_jpg_7459_north_626x_white

Terry Richardson et Xavier Veilhan

perrotin_44_jpg_5335_north_626x_white

Xavier Veilhan, Emmanuel Perrotin et Terry Richardson

perrotin_38_jpg_6229_north_626x828_white

Xavier Veilhan

La galerie Perrotin expose les univers et créations des artistes les plus influents et inspirés du moment. En dignes nouveaux invités, les artistes Xavier Veilhan et Terry Richardson livrent une double exposition-évènement déjà emblématique.

A travers son œuvre « Music », Xavier Veilhan rend un hommage puissant et explicite à la musique et tente de donner forme à cet art impalpable et invisible. L’artiste a choisi plus spécifiquement de mettre en lumière le talent de ses producteurs, ceux qui créent la «bande son de notre époque». L’œuvre est éclectique et mêle portraits sculptés de figures légendaires du milieu de la production musicale (Quincy Jones, Giorgio Moroder, Philippe Zdar, Lee «Scratch» Perry, The Neptunes, ou encore les Daft Punk démasqués Guy Manuel de Homen Christo et Thomas Bangalter) et installations abstraites plus contemplatives, imaginées à partir d’expériences auditives. Guidé par le pouvoir émotionnel de la musique, Xavier Veilhan nous livre ici un ensemble d’oeuvres vibrantes et captivantes.

Parallèlement, le sulfureux Terry Richardson dévoile une série de photos inédites intitulée «The Sacred and the Profaned». En immersion dans le grand Ouest Americain, T. Richardson confronte puritanisme et transgression à travers un travail documentaire teinté d’un voyeurisme qui lui est propre. L’artiste capture les symboles forts et contradictoires d’une culture cernée par le fanatisme, et dresse le portrait d’une société américaine bipolaire, où mysticisme, religion, sexe et pornographie cohabitent dans une tension permanente. Et pour ponctuer le parcours d’une signature très «Richardsonienne», on y retrouve des «passe-têtes» typiques des fêtes foraines, empruntes des images iconiques et de l’humour délicieusement subversif de l’artiste.

Un combo exceptionnel donc, à ne pas manquer !

Jusqu'au 11 Avril 2015 au 76 rue de Turenne – 75003 Paris

Publicité
Commentaires
Publicité