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Jours tranquilles à Paris
25 mars 2018

Gérard Garouste à la Galerie Templon

Né en 1946 à Paris, Gérard Garouste vit et travaille entre Paris et la Normandie. Il est l’une des figures majeures de la peinture française. Peintre et sculpteur, il est obsédé par les origines de notre culture, l’héritage des maîtres anciens et les mythes. Son histoire propre est à la base de son travail de “démontage des images et des mots”, de sa préoccupation pour les questions de l’origine, du temps et de la transmission. Ses toiles, faites d’associations d’idées, sont tour à tour inquiétantes et joyeuses, peuplées d’animaux parfois fantastiques et de différents personnages. Ses sources mêlent la Bible, la culture populaire et les grands textes de Cervantès à Rabelais.

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https://www.templon.com/new/artist.php?la=fr&artist_id=70

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25 mars 2018

Heure d'été...

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24 mars 2018

Immeuble original quai d'Austerlitz

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IMG_6043Photos : J.Snap

 

24 mars 2018

Street Art

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24 mars 2018

Laetitia Casta - Presse

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24 mars 2018

Turquie : le gouvernement renforce son contrôle sur les médias

Par Marie Jégo, Istanbul, correspondante - Le Monde

Un milliardaire proche du président Erdogan a mis la main sur Dogan Holding, le plus gros groupe d’information du pays.

Avide de contrôler la totalité du paysage médiatique à dix-huit mois des élections de novembre 2019 – législatives et présidentielle –, le gouvernement turc (islamo-conservateur) vient de jeter son dévolu sur Dogan Holding, le plus gros groupe de médias de Turquie. Ce dernier vient en effet d’être racheté par le milliardaire Erdogan Demirören, un proche du président Recep Tayyip Erdogan.

Désormais, « 90 % des médias [du pays] sont entre les mains de l’exécutif », constate la journaliste Aysenur Arslan, une ancienne collaboratrice de Dogan Holding.

Après des négociations discrètes, le groupe Demirören, présent dans l’énergie, la construction, le tourisme, a acquis pour 1,1 milliard de dollars (890 millions d’euros) les quotidiens Hürriyet, Posta, Fanatik, ainsi que l’agence de presse Dogan et les chaînes de télévision Kanal D et CNN-Türk. Selon le site d’information T24, pour finaliser son acquisition, la holding de M. Demirören a bénéficié d’un crédit venu d’un consortium bancaire, dont l’établissement public Ziraat Bank.

Dans le viseur des autorités

Après avoir dominé la scène médiatique turque pendant quarante ans, le milliardaire Aydin Dogan, fondateur du groupe du même nom, a tiré sa révérence, jeudi 22 mars. « J’ai 81 ans. A ce stade, j’ai décidé, de mon propre chef, de cesser mes activités dans les médias », a-t-il déclaré lors d’un discours d’adieu à ses salariés. En insistant sur le caractère volontaire de la cession, le magnat comptait visiblement faire taire les rumeurs selon lesquelles il aurait finalement cédé ses actifs sous la pression du gouvernement.

« S’il ne vendait pas la branche médias de son groupe, il risquait d’être emprisonné dans le cadre d’une enquête sur les événements du 28 février [le 28 février 1997, les militaires avaient évincé le gouvernement dirigé alors par l’islamiste Necmettin Erbakan]. On lui a montré le bâton, il a compris le message », a assuré un peu plus tôt, jeudi, Aysenur Arslan sur la chaîne de télévision Halk TV.

Longtemps dominant en termes d’influence et de parts de marché, le groupe Dogan s’est retrouvé dans le viseur des autorités en 2009, quand il a dû s’acquitter d’une amende de 3,3 milliards de dollars pour des taxes impayées. Ses ennuis avaient commencé juste après la publication par le quotidien Referans, par la suite fermé, d’une enquête sur le népotisme en vigueur au sein du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur). Endetté, en butte aux pressions, Dogan Holding a dû par la suite céder à Demirören, en 2011, deux de ses quotidiens (Milliyet et Vatan) pour 74 millions de dollars.

La fin du pluralisme d’opinions

Las des prises de bec avec les autorités, Aydin Dogan a fini par jeter l’éponge. Ses relations avec le président turc étaient compliquées. Aux yeux des islamo-conservateurs, lui et son groupe symbolisent « la vieille Turquie », dont l’élite laïque et pro-occidentale fut aux affaires depuis l’avènement de la République, en 1923, jusqu’à l’arrivée au pouvoir de M. Erdogan, en 2003. « La presse soutenue depuis deux siècles par l’Allemagne, c’est fini. Place à la nationalisation », s’est aussitôt félicité Yigit Bulut, l’un des conseillers du Palais, à l’annonce de la cession.

Pour les Turcs libéraux, c’est la fin du pluralisme d’opinions. D’autant que, dans le même temps, un nouveau tour de vis annonce une plus large censure sur Internet. Mercredi, le Parlement a adopté une loi qui oblige les organisations diffusant des contenus audiovisuels en ligne à obtenir une licence auprès du Haut Conseil de la radio et de la télévision (RTÜK), qui pourra dorénavant les interdire.

Depuis le coup d’Etat raté de juillet 2016, une répression drastique s’est abattue sur la société turque. Près de 150 médias ont été fermés, environ 160 000 personnes ont été arrêtées et 152 000 fonctionnaires ont été limogés. Des milliers d’internautes sont par ailleurs actuellement poursuivis pour « insulte au président » tandis que plusieurs journalistes des médias d’opposition – Cumhuriyet, Sozcu, OdaTV, Evrensel, Birgun – ont été emprisonnés ou attendent leurs procès. Lancé depuis Londres à la fin de 2017, le site d’information Ahval n’est pour sa part plus accessible en Turquie depuis le début du mois de mars et voici plus d’un an que la consultation de l’encyclopédie en ligne Wikipédia n’est plus possible dans aucune langue.

Recep Tayyip Erdogan se plaint auprès d’Emmanuel Macron des critiques sur Afrin. Le président turc s’est ouvert auprès de son homologue français de sa « gêne » vis-à-vis des propos tenus par la France sur l’opération militaire turque dans cette région du nord de la Syrie. Lors d’une conversation téléphonique vendredi, l’homme fort d’Ankara à dit au locataire de l’Elysée que ces critiques étaient dénuées de tout fondement. Au cours de leur discussion, M. Erdogan a également insisté sur « l’importance de raviver le processus d’adhésion » de la Turquie à l’UE.

24 mars 2018

Pascal André Heimlicher

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24 mars 2018

Les natures mortes sexuelles d’Allyssa Heuze

Allyssa Heuze est une photographe franco-philippine. Dans OÏ, on découvre la vision dʼune jeune femme photographe qui sʼinterroge sur une autre manière dʼaborder le sexe, en cherchant à le dénuer de toute part pornographique, charnelle et à le rendre ludique, parfois amusant. Ce travail fait ainsi appel à des expressions, des métaphores et des images réalisées avec différents styles photographiques, de la nature morte aux personnages, dans une esthétique entre documentaire et mise-en-scène. Lʼintention première est avant tout dʼouvrir le dialogue avec le spectateur, lʼinvitant à sʼinterroger sur sa propre vision de lʼacte de lʼaccouplement en tant que tel, cela permet dʼéveiller sa et de le faire sʼinterroger sur sa propre manière dʼaborder le sexe. En effet en désacralisant le sujet de cette manière, le but est de le rendre compréhensible et abordable, cherchant ainsi à créer un ensemble dʼimages qui font référence et suggèrent le coït mais sans jamais le mentionner directement. Tout ça grâce à lʼassociation dʼobjets du quotidien et en essayant dʼavoir une vision faussement naïve ou insouciante. Les images prennent alors tout leur sens une fois réunies.

Allyssa Heuze, OÏ

Jusqu'au 3 avril 2018

Galerie Madé

30 rue Mazarine

75006 Paris

France

www.galeriemade.com

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23 mars 2018

Alice Laverty - Concorde Art Gallery

Alice Laverty - Peintre

Née en 1983, Alice Laverty est diplômée d’un Master en dessin à l’Ecole Supérieure de dessin Emile Cohl, Lyon. et d’un Master 2 Recherche en Art de l’Image et du Vivant à la Sorbonne. Elle a travaillé et vécu aux Etats Unis en tant que portraitiste-caricaturiste et artiste peintre, puis, après un passage au squat d’artistes « 59 Rivoli », elle a participé à plusieurs expositions en solo et collectives ( Paris, Milan, Ile de Ré ) , à la Cow Parade Edition 2015, et poursuis sont travail de peintre en atelier privé. Elle expose régulièrement sur des salons, en galerie, entreprises et fondation. Quelque soit la technique, huile, encre ou stylo Bic, Alice Laverty propose une peinture charnelle et spirituelle qui questionne notre corporeîté à l’aune du Transhumanisme. Fascinée par l’individu, et le corps comme véhicule des émotions, elle défend aussi un respect de la « Figure féminine » par ses représentations et mises en scènes mûrement réfléchies. Depuis sa première grande exposition solo A corps et Désaccord  en 2014, qui présentait des créatures en proie à leurs émotions, et l’exposition  Etre(s) Cellulaire(s) en 2015, avec une proposition de mise en « forme  et couleur » de la dualité de l’Homme, Alice poursuit sa quête en mettant le corps et son « émotionnalité » face aux nouvelles technologies.

« Nous sommes en quête de notre individualité mais sommes souvent tous prisonniers des mêmes systèmes que l’on échafaude avec application. Nous sommes tous uniques, et pourtant nous sommes tous faits de la même matière. Quelques soient nos valeurs, nos cultures et nos couleurs. Alors que le formatage des écrans, par « où » être ? Dans notre monde qui se déchire pour des idées et un pouvoir d’achat, c’est une chose à laquelle réfléchir… Un artiste devrait peindre sur son monde et sur son temps, en trouvant l’universalité de toute chose. Ma démarche picturale cherche à dire le paradoxe de l’Homme d’aujourd’hui. De son aspect le plus individuel, son enveloppe corporelle enfermante, limitante, jusqu’à son universalité, cellulaire et émotionnelle. Cet individu Moderne, Connecté, a tout pour communiquer ( devices, télécommunication, Internet, Smartphones ) mais il se heurte toujours à l’Autre, et à la solitude de sa condition.»

En 2016, Alice expose «  Cells & Love #1 », au centre d’affaire Efficie, sur les Champs Elysées. Lors de cette dernière exposition, Alice nous dévoile les fruits de recherche plastique : l’intervention des smartphones dans nos vies. L’artiste s’interroge sur leur impact sur les rapports humains. Recherche qu’elle poursuit à son atelier et à travers son Master Recherche, en s’inspirant des théories philosophiques humanistes qui tentent de définir la créature « Etre Humain ». En 2017, les combats de nos corps s’exposèrent en grand au ministère des Finances de Bercy avec Corps Connectés. L’artiste y approfondit ses interrogations artistiques à l’égard de l’Homme, et son rapport addictif aux nouvelles technologies de la communication. En ce début d ‘année 2018, sa recherche s’aventure sur des chemins plus conceptuels, et le corps se défragmente en centaines de dessins, enfermés dans les formats de nos écrans, avec son exposition Miroir Miroir, à l’Arteppes d’Annecy, lieu d’Art Contemporain. Et elle poursuit en ce moment sa recherche avec des projets avec d’autres jeunes artistes de la scène de la figuration contemporaine.

Exposée en galerie, (Paris, Milan, Londres ), en centre culturel, et divers lieux publics, elle a récemment quitté et a déjà quelques collectionneurs dans le monde, ( Dubai, Liban, Bruxelles, Palm Beach - Sélection du jury du Mola Paris 2016-17) Alice Laverty a quitté Paris depuis peu et vit et travaille en Haute Savoie, entre Annecy et Genève. Jusqu’au 28 avril 2016, la Concorde Art Gallery vous présente des peintures et encres.

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23 mars 2018

Arles

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