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Jours tranquilles à Paris
6 mai 2020

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5 mai 2020

Arles... en MAI 2019 (souvenir)

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Photos : Jacques Snap - Arles en mai 2019

5 mai 2020

Pérou - Coronavirus

La cheffe de l’opposition péruvienne Keiko Fujimori libérée. Après trois mois de détention provisoire dans le cadre du scandale de corruption Odebrecht, la fille aînée de l’ex-président Alberto Fujimori est sortie lundi de prison, rapporte La República. Une cour d’appel péruvienne a ordonné le 1er mai sa remise en liberté contre une caution de 70 000 soles (environ 19 000 euros) et à la condition de ne pas cohabiter avec son mari, l’Américain Mark Vito Villanella, mis en cause dans la même enquête pour corruption. Keiko Fujimori avait récemment demandé une suspension de sa détention provisoire en raison des risques liés à l’épidémie de coronavirus en prison. Mais la justice a finalement répondu à une demande antérieure de libération présentée par sa défense.

5 mai 2020

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5 mai 2020

Vu de l’étranger - Paris veut voir “​la vie en vert” après le confinement

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COURRIER INTERNATIONAL (PARIS)

La maire de la capitale, Anne Hidalgo, compte profiter des bienfaits écologiques du confinement pour poursuivre sa politique en faveur de l’environnement. Son principal objectif, selon la presse étrangère ? Favoriser au maximum les déplacements à vélo.

“Une fois le confinement terminé, il sera ‘hors de question’ de revenir à un Paris dominé par les voitures”, a déjà prévenu Anne Hidalgo, citée par CityLab. Alors que les premières restrictions doivent être levées à partir du 11 mai, la maire de Paris “voit la vie en vert”, indique ainsi El Periódico.

Il faut dire que “le confinement a eu au moins ceci de positif : il a fait baisser les taux de pollution, y compris sonore, à tel point qu’on entend les chants des oiseaux comme jamais auparavant et que l’eau de la Seine est plus transparente”, explique le journal espagnol.

De fait, l’édile de la capitale compte bien “maintenir des mesures antipollution et anticongestion” au-delà du confinement, indique CityLab. D’autant que la pollution, elle en est convaincue, “va aggraver la crise sanitaire”. “En soi, juge-t-elle, la pollution constitue déjà une crise sanitaire et un danger. Et, associée au coronavirus, elle compose un cocktail particulièrement dangereux”.

Ce constat n’est pas sans fondement, assure encore le site américain. En effet, “des chercheurs de Harvard ont découvert qu’une augmentation des particules polluantes en suspension dans l’air, de seulement un microgramme par mètre cube, pouvait accroître de 15 % les risques mortels pour un malade”. Et “on sait en outre que la pollution de l’air exacerbe des maladies comme l’asthme, qui peut entraîner une hausse de la morbidité du Covid-19”.

Le “casse-tête” des transports publics

L’un des plus gros défis sera donc de réorganiser les transports, prévient The Daily Telegraph. Les transports publics incarnant un vrai “casse-tête pour les experts du monde entier, chargés de trouver les moyens de les maintenir en service tout en respectant la distance sociale”, la difficulté pour Anne Hidalgo sera d’éviter que “la capitale française ne se transforme en un énorme embouteillage​”, si les Parisiens reprennent en nombre leur voiture.

Pour cela, comme “d’autres dirigeants de villes européennes” (Berlin, Milan, Barcelone, Bruxelles), la maire entend miser sur le vélo. Une façon de suivre les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui encourage les personnes à privilégier la marche ou le vélo dès que cela est possible, indique Forbes.

À Paris, “la mesure la plus étonnante avancée par la maire est la création de nouvelles pistes cyclables complètement protégées, et reliant le centre de la capitale aux banlieues éloignées”, détaille CityLab. “De nouvelles pistes seront aménagées pour suivre le trafic de trois lignes de métro” et “les voitures seront interdites dans la rue de Rivoli”, ajoute El Periódico.

Le gouvernement a également annoncé “injecter 20 millions d’euros pour inciter les citoyens à enfourcher leur vélo”, note The Daily Telegraph. Ainsi, “dans le cadre de ce programme, tout le monde pourra faire réparer son vélo pour un montant allant jusqu’à 50 euros chez un garagiste homologué”.

Un thème de campagne

Mais, “au-delà des aménagements destinés à la lutte contre la pandémie”, pour Jean-Louis Missika, adjoint à la mairie de Paris interrogé par El Periódico, “il va falloir ‘repenser l’urbanisme afin de rapprocher les lieux de travail des lieux de résidence, et ainsi éviter les déplacements pendulaires liés à une conception dépassée de la ville’”.

Des propos qui rappellent le programme d’Anne Hidalgo dans sa course à sa réélection. En effet, comme l’évoque le journal espagnol, “en plus de paralyser la vie sociale économique, le coronavirus a également interrompu le processus électoral”. Le second tour des municipales a en effet été repoussé sine die. Pas plus tard que ce lundi 4 mai, Édouard Philippe a rappelé, devant le Sénat, qu’une décision serait prise fin mai pour définir la date du vote.

Mais déjà “avant la crise du coronavirus, la maire de Paris avait promis que toutes les rues de la ville seraient praticables à vélo d’ici 2024”, rappelle Forbes. De fait, “la peur de l’augmentation du trafic, une fois les mesures du confinement levées, a [finalement] permis aux autorités d’accélérer le ‘Plan Vélo’ de Hidalgo en matière de transport”. Comme quoi les “préoccupations environnementales, thème phare de la campagne [municipale] à Paris, n’ont pas – comme le second tour – été reportées, et n’ont pas tardé à réapparaître”, souligne El Periódico.

Ailleurs en France, informe finalement Forbes, “116 villes – dont Lille, Dijon, Rouen, Le Mans ou Saint-Étienne – prévoient également de construire des pistes cyclables temporaires”.

Audrey Fisné

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5 mai 2020

Au Trocadéro...

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5 mai 2020

Fanny Müller

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5 mai 2020

Barbie

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5 mai 2020

Kourtney Roy

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5 mai 2020

Ossuaire de Douaumont

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« Par téléphone, des familles nous demandent d'allumer des cierges ou de prendre en photo des tombes » : Olivier Gérard, le directeur de l'ossuaire de Douaumont (Meuse) continue à faire vivre ce monument à la mémoire des soldats morts pendant la bataille de Verdun de 1916, actuellement déserté. A Pâques, il a même improvisé une petite messe dans la chapelle, retransmise sur les réseaux sociaux car « c'est important d'entretenir ce devoir de mémoire malgré la crise du coronavirus ».

A cette période, ce lieu de recueillement n'a jamais été aussi paisible, le flot de voitures et de cars y est d'ordinaire incessant. « A partir de mars, nous avons environ 1500 personnes par jour. Les semaines sont rythmées par les cérémonies. En juin, nous aurions dû commémorer la bataille de Verdun », souligne Olivier Gérard qui se retrouve seul sur ce site abritant les ossements de 130 000 soldats. Sa dizaine d'employés est au chômage partiel.

Le directeur se charge ainsi de la tonte des 8 ha de pelouse et de l'entretien courant du cloître à la couleur rouge sang, de la chapelle et de la tour. Sa femme et ses deux enfants – la famille habitant à 400 m des lieux – sont également mis à contribution. « Juste avant le confinement, on a reçu le stock de souvenirs destinés à la boutique pour environ 150 000 euros et maintenant les factures arrivent. Nous n'avons aucune aide, déplore Olivier Gérard. On vit sur les réserves de la fondation qui est reconnue d'utilité publique. Mais des particuliers se sont manifestés pour faire des dons, nous lancerons donc bientôt une cagnotte. »

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