Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
7 mars 2019

Publicité. Quel changement depuis Myriam !

Publicité
4 mars 2019

Dans le milieu de la pub, le règne du sexisme

Par Yann Bouchez, François Bougon

Deux anciennes employées de l’agence de publicité Herezie accusent leur ex-directeur de création de harcèlement moral et sexuel. Plusieurs dizaines de personnes contactées par « Le Monde » exerçant dans le milieu de la publicité l’assurent : le sexisme règne.

Sur la place de Paris, dans le monde de la publicité, l’agence Herezie professe sa « coolitude ». Elle s’engage aussi pour les causes les plus nobles en produisant des spots pour lutter contre les inégalités ou promouvoir Handicap International. En juin 2018, son directeur de la création, Baptiste Clinet, 34 ans, l’une des « stars » de la profession, est interrogé lors du grand raout annuel des publicitaires, le Cannes Lions. La petite vidéo est diffusée sur YouTube. L’ambiance est à la rigolade et à l’optimisme : l’agence indépendante créée en 2010 vient de gagner un gros contrat avec Coca-Cola dans un univers concurrentiel, où dominent les deux géants Publicis et Havas. « C’est un gros pitch pour nous, ça montre surtout le changement de l’agence qui manquait un peu de cool et devient très très cool », lance-t-il. Mais les nombreux témoignages et pièces recueillis par Le Monde dépeignent une tout autre ambiance.

Deux anciennes employées de l’agence, des « créatives » qui travaillaient en binôme, Marie et Lilia – leurs prénoms ont été changés –, âgées d’une vingtaine d’années, sont en conflit avec le directeur de création, qu’elles accusent de harcèlement moral et sexuel et de comportements déplacés. Elles sont soutenues par Christelle Delarue, fondatrice d’une agence féministe, Mad & Women, qui les a récemment recrutées, après leur licenciement. Dans une tribune publiée par Le Monde le 15 février, quelques jours après l’affaire de la Ligue du LOL – des faits de cyberharcèlement ayant impliqué des journalistes et au moins trois publicitaires –, cette dernière mettait en garde : « Comprenez ceci, messieurs les grands publicitaires, il n’y aura pas d’absolution cette fois. »

Plusieurs dizaines de personnes contactées par Le Monde, exerçant dans le milieu de la publicité, l’assurent : le sexisme règne dans ce milieu bousculé par la concurrence exacerbée des GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) et des boîtes de consultants, où les femmes, nombreuses, occupent rarement les postes de pouvoir. Les anecdotes ne manquent pas, et dépassent le cadre des bureaux d’Herezie et de sa grosse centaine de salariés. Telle employée d’une grande agence se souvient que l’un des dirigeants lui déposait des macarons ou le livre Cinquante nuances de Grey, un best-seller érotique, sur son bureau. Telle autre a conservé des messages de son patron lui envoyant des photos de son pénis et multipliant les propositions sexuelles alors qu’elle n’avait rien demandé. Les entretiens d’embauche nocturnes avec des jeunes femmes tout juste sorties d’écoles, fixées dans des bars ou des restaurants, ne sont pas rares.

« Misogynie ambiante »

Parfois, entre collègues, on préfère tourner ces sujets en dérision. « Il y en a beaucoup des agences comme ça, on finissait par en rire, mais c’est triste », confie une ex-salariée d’Herezie. Une autre ajoute : « Le sexisme, on s’habitue, on laisse passer. Le harcèlement aussi. On en parle entre copines, même avec les copains, on sait que ça existe, mais on a toujours une bonne explication, de dire qu’elle l’a cherché en étant un peu allumeuse à un moment donné. » Celles qui dénoncent ces comportements sont rares, de peur de voir leur horizon professionnel se boucher. « C’est un milieu très petit. Il y a quelques dizaines d’agences, les gens se connaissent tous et on passe d’une boîte à une autre », explique un planneur stratégique. « Les boîtes malsaines sont identifiées, mais ça ne les empêche pas de remporter des marchés », regrette pour sa part une communicante, qui a constaté « énormément de misogynie ambiante, acceptée par tout le monde ».

Chez Herezie, Marie a été poussée au départ en mai 2018, un an et demi après son arrivée, pour faute grave, peu de temps après s’être plainte des agissements de M. Clinet auprès d’un des cofondateurs de l’agence. Son employeur lui avait proposé un « accord transactionnel », que Le Monde a consulté. Ce protocole, qui évoque un manque d’implication de la jeune femme, prévoyait, outre les indemnités de licenciement, de préavis et de congés payés, plus de 10 000 euros au titre du préjudice moral ou professionnel qu’elle aurait pu subir. Le document interdisait par ailleurs à la jeune femme toute démarche administrative ou judiciaire pouvant concerner la société Herezie, ou un salarié de cette dernière. Elle a refusé de le signer.

Cette dernière dépeint une situation devenue impossible à vivre, où la frontière entre monde professionnel et vie privée a été balayée. « Un jour sur deux, il était exécrable, et le lendemain, il était adorable », se remémore-t-elle. Elle assure que dès son entrée chez Herezie, Baptiste Clinet « avait dit à des gens que j’étais sa copine », ce qu’elle nie farouchement. « Il fallait faire continuellement la bonne pote pour qu’il corrige mes travaux », raconte pour sa part Lilia. Peu adepte des soirées entre collègues, elle décrit au travail une ambiance de « drague malaisante », des remarques blessantes sur son physique et a finalement refusé un autre poste chez Herezie pour « éviter de côtoyer » M. Clinet.

Dossier contre dossier

Marie affirme également qu’en juin 2017, alors qu’ils partageaient un appartement, avec chambres séparées, à Cannes lors du festival, M. Clinet lui a demandé de manière très insistante d’avoir des relations sexuelles avec lui. Le directeur de création, lui, se dit victime d’une jeune femme séductrice et manipulatrice. Pour étayer ses propos, il montre des vidéos et des photos tendant à démontrer sa proximité avec Marie, avant même de l’engager, en novembre 2016. Ils s’étaient rencontrés quelques semaines plus tôt. « C’est ma plus grosse erreur, affirme-t-il, je n’aurais jamais dû embaucher Marie, estime-t-il. C’était pour flatter mon ego parce que je savais qu’elle m’aimait bien et que c’était agréable d’être entouré de quelqu’un qui me trouvait super talentueux, fort. » Dans un long mail envoyé en avril 2017, il avait déclaré ses sentiments à la jeune salariée, se décrivant comme ayant été un « coureur de jupons » qui a laissé « les caprices (…) derrière [lui] ». « Je suis désolé si tu aurais préféré que je t’envoie jamais ce message, j’espère que ce n’est pas trop égoïste », concluait-il.

Contrairement à ce qu’il affirme, Marie dément tout rapport sexuel ou relation amoureuse avec Baptiste Clinet à la fin de l’année 2016, même si elle reconnaît avoir été « proche » de lui lors de soirées arrosées, avant son embauche. Parole contre parole. Dossier contre dossier aussi, où des dizaines de collègues et d’anciens employés, souvent des amis, témoignent pour chaque camp, alors que l’affaire a été portée aux prud’hommes.

Les pièces qui y ont été versées dévoilent la vie interne de l’agence, entre 99 Francs de Frédéric Beigbeder (Grasset, 2000) et la série Mad Men : des journées de travail à rallonge, des fêtes entre collègues, à l’agence ou dehors, l’alcool consommé abondamment tout comme la drogue. Un groupe Facebook privé réunissant les employés est baptisé « The Day after » : y sont diffusées les photos de ceux qui dorment au bureau après des soirées d’excès. Dans une vidéo, que Le Monde a visionnée, un des salariés est filmé dans l’agence, hilare, à côté de lignes de cocaïne en forme de croix gammée…

« Relation amicale »

Marie et Lilia ne sont pas les seules à s’être plaintes du comportement de M. Clinet. Une autre jeune femme, entendue dans le cadre de l’enquête interne lancée par les dirigeants d’Herezie à la suite des accusations de Marie, a fait part de son mal-être vis-à-vis du directeur de création. Ce dernier évoque une simple « relation amicale ». Les détails de ce troisième témoignage n’ont pas été versés au dossier prud’homal. L’entreprise soutient son directeur de création.

Mais les accusations ne se limitent pas aux bureaux d’Herezie. Une femme, qui travaille dans une autre agence, a raconté au Monde avoir également subi des comportements totalement déplacés de la part de Baptiste Clinet. En septembre 2016, à l’issue d’une soirée très arrosée, elle a été raccompagnée en scooter par le publicitaire, et dit s’être « fait peloter, en étant terrorisée, sans oser rien dire. Parce que j’avais peur. » Elle affirme qu’il a insisté pour avoir un rapport sexuel et, devant son refus, est parti en l’insultant. Dans l’après-midi du 22 septembre, Baptiste Clinet lui envoie plusieurs messages d’excuses. « Bon alors… Désolé… Gt bourré. Ct nul. C la honte. Pardon. » En tout, une dizaine de messages dans lesquels il confie sa « gêne énorme », et assure : « Je suis désolé. » « Vrm » (vraiment), insiste-t-il à cinq reprises. De cet épisode, Baptiste Clinet dit aujourd’hui ne garder « aucun souvenir ».

Il n’a pas non plus gardé une mémoire précise de son départ de chez Ogilvy, fin 2015, après six ans passés au sein de l’antenne parisienne de cette agence américaine, où il était devenu directeur de création. Selon nos informations, son départ a été brutal, sur fond d’accusations de harcèlement sexuel. « Chez Ogilvy, j’ai fait n’importe quoi en termes managériaux, parce que je suis passé de petit créatif à dirigeant d’une boîte de 600 personnes à 29 ans, sans aucune formation, sans rien, affirme Baptiste Clinet, écartant tout possible harcèlement sexuel. J’ai dû, parfois, possiblement être insultant, vexer des gens. Je me suis vu devenir un petit con. D’un coup, j’ai gagné beaucoup d’argent, je me suis pris pour Justin Bieber. » Contactée à plusieurs reprises, Natalie Rastoin, présidente d’Ogilvy en France, n’a pas répondu à nos sollicitations. Le groupe n’a jamais communiqué sur cette éviction.

« Toutes les agences font ça »

Au sujet de ce départ mouvementé, une dizaine de sources nous ont toutefois affirmé que « tout le monde de la pub, à Paris, était au courant ». Mais Andrea Stillacci, le président d’Herezie, assure qu’il n’en savait rien au moment où il a embauché M. Clinet, en octobre 2016. « Je ne suis pas un insider, je n’ai pas les infos », explique-t-il. Lui ne tient pas à se prononcer sur le fond du conflit prud’homal, mais tient à souligner le côté « très flirty » de Marie, avec qui il était « très difficile de travailler au quotidien ». A propos de l’appartement loué à Cannes et occupé par le directeur de création et les deux jeunes salariées, il assure que « toutes les agences font ça », « pour des raisons de coût » : « Je ne voyais rien de malsain, je n’ai pas pensé au négatif direct. » M. Stillacci souligne que, dans le milieu de la publicité, vie personnelle et professionnelle se mélangent souvent.

Le président d’Herezie vante la création d’un « comité Happiness » (« bonheur ») il y a plusieurs mois, « uniquement dédié aux cadeaux pour les nouveaux ». A la Saint-Valentin, ajoute-t-il, des « mimosas » ont été offerts « à toutes les femmes de l’agence » – mais également aux hommes, précise une salariée. M. Stillacci assure être extrêmement sourcilleux : « Je suis à un tel niveau de paranoïa que je n’ai aucun meeting avec une femme de l’agence sans la porte ouverte. »

Mais au-delà de ces précautions, les dirigeants d’Herezie sont-ils vraiment sensibles aux questions de sexisme et de violences sexuelles ? Contacté, Pierre Callegari, l’un des cofondateurs de l’agence, qu’il dirige encore à 68 ans, n’a pas souhaité s’expliquer. Dans un mail succinct, il évoque des « arguments nauséabonds » de la part de ses deux anciennes salariées qui l’attaquent aux prud’hommes. « Les mains aux fesses, pour vous, ce n’est pas des agressions physiques ? », lui demandait Lilia, le 12 décembre 2017, lors d’un entretien au sujet des accusations visant Baptiste Clinet. « C’est possible. C’est là ma limite juridique. Je ne suis pas un expert, je ne sais pas où finit telle ou telle caractéristique », répondait alors le dirigeant, avant de changer de sujet de conversation. Sept mois plus tard, la jeune femme était licenciée pour inaptitude professionnelle.

28 février 2019

Publicité BALMAIN avec Cara Delevingne

balmain

21 février 2019

Publicité

pub

19 février 2019

IKKS célère ses vingt ans… Et s’offre Laetitia Casta

Si vous habitez la capitale, cette nouvelle ne vous aura pas échappée, tant elle est partout dans les rues parisiennes. Pour célébrer son vingtième anniversaire, la marque IKKS a en effet choisi Laetitia Casta comme égérie de sa dernière campagne. Huit looks modernes qui mélangent le rock'n'roll et le casual chic et qui mettent en scène l’actrice et mannequin de 40 ans, définitivement sublime sous l’objectif du photographe australien Chris Colls. C.L.

Laetitia Casta est la nouvelle égérie IKKS.

laetitia-casta-devient-le-nouveau-visage-d-ikks

Chris Coll pour IKKS / photo presse

Publicité
16 février 2019

Laetitia Casta, femme rock'n'roll et accomplie pour IKKS

castaagain

par Helena Ergisi

C'est officiel, Laetitia Casta est le nouveau visage d'IKKS. Pour célébrer son vingtième anniversaire, la marque française est bien décidée à marquer les esprits avec cette égérie au parcours unique et hors norme.

Pour sa campagne Printemps/Eté 2019, IKKS met tout le monde d'accord en choisissant une égérie de taille qu'on ne présente plus : Laetitia Casta. Actrice, muse, comédienne et mannequin, elle incarne aujourd'hui la femme française dans toute sa splendeur. A 40 ans, elle est libre, affirmée et rayonnante. Trois adjectifs qui collent parfaitement à la marque française, qui célèbre cette année son vingtième anniversaire. Des podiums aux planches, des paillettes au 7ème art, sur écrans ou derrière la caméra, Laetitia Casta ne s'essouffle jamais et elle est bien décidée à maintenir son statut d'icône de mode. Plus rock'n'roll et assumée que jamais pour IKKS, la Française ne cesse de nous surprendre.

Spontanément passionnée et naturellement engagée, les valeurs de Laetitia Casta résonnent parfaitement avec l'ADN d'IKKS. Sous l'oeil du photographe australien Chris Colls, l'actrice française s'adonne à un exercice qu'elle maîtrise sur le bout des doigts et le résultat est à la hauteur de nos attentes : moderne et envoûtant. Véritable mix & match des iconiques de la marque, les huit looks dévoilés collent aussi à la personnalité de cette femme belle et rebelle à la fois. Smoking, perfecto en cuir noir, mini-short en jean... Stylistiquement parlant, la femme française selon IKKS n'a peur de rien et s'assume complètement. Une vision de la mode qui fait du bien et qu'on approuve totalement.

15 février 2019

IKKS veut marquer les esprits avec Laetitia Casta

laetricasta

Par Anaïs Lerévérend    

Le nouveau visage d’IKKS est celui de Laetitia Casta. La marque française veut frapper fort et investit en conséquence sur une vaste campagne incarnée par la mannequin et comédienne, dont le premier volet démarre en cette mi-février, mais comprendra plusieurs temps forts pendant toute l’année 2019. Pour IKKS, qui a connu une année 2018 chahutée par une restructuration de sa dette qui a débouché sur un accord ces dernières semaines, c’est un signal fort et positif que cette prise de parole sur la femme qui connaît une bonne évolution ces dernières saisons.

Si IKKS investit également sur l’enfant en dévoilant à partir du 20 février les heureux élus de sa campagne « casting » et en lançant la deuxième saison du dispositif, c’est bien sur la femme que la marque qui s’adresse à toute la famille a choisi de miser cette année. Et de miser fort. « Sur un marché du prêt-à-porter féminin qui recule, nous arrivons à progresser avec nos collections féminine ; tout est aligné aujourd’hui, l’offre et le réseau, c’est donc le bon moment pour prendre la parole et faire résonner notre propos avec une personnalité forte », explique Valérie Dassier, directrice générale adjointe en charge du marketing.

Un vaste dispositif puisqu’il se déploie à 360 degrés et en plusieurs temps. Le premier démarre en cette mi-février avec le lancement d’une première campagne dévoilant Laetitia Casta et notamment un visuel inaugural autour du perfecto, pièce phare de la marque, toujours sous la nouvelle signature de marque lancée en 2018 « Les esprits libres ». Un parti pris illustré également en vidéo, avec un clip qui sera largement diffusé sur les réseaux sociaux, via des partenariats médias, mais aussi sur le site de la marque qui fera l’objet d’une refonte le 15 février pour l’occasion, pour présenter avec Laetitia Casta une nouvelle « IKKSpérience » concoctée avec l’agence Brand Station.

Affichage, presse, Web, la campagne publicitaire à échelle européenne aura également un déploiement fort en boutiques. « L’ensemble des points de vente, y compris multimarques, recevront les éléments pour amplifier ce message », précise Valérie Dassier. Dans les boutiques à l’enseigne IKKS, au nombre de 481 dont 276 exclusivement dédiées à la femme, la campagne avec Laetitia Casta aura un fort impact : vitrines, PLV mais aussi sacherie seront à l’effigie de l’égérie, mais pas seulement. Les silhouettes de la campagne seront également à l’honneur : au nombre de huit pour la saison, ce sont elles qui feront le rythme et la mise en place des thématiques de collection dans les mois qui viennent.

Une deuxième campagne publicitaire sera lancée ensuite en avril, avec l’un de ses looks, une robe jaune soleil qui lancera un temps fort plus estival. Et la marque de poursuivre avec Laetitia Casta la saison suivante, saison des 20 ans de l’existence de la ligne femme IKKS, ce qui lui vaudra d’être au cœur d’une soirée anniversaire. IKKS a également prévu une option pour une troisième saison supplémentaire avec son égérie.

Une prise de parole majeure donc, en attendant l’officialisation prochaine de son changement de propriétaires, le fonds LBO France (majoritaire depuis 2015) et Zannier (minoritaire après avoir vendu à LBO France) devant sortir du capital, tandis que le pool de trois fonds américains créanciers Avenue Capital, CarVal Investors et Marathon Asset Management deviendra majoritaire. Une transformation de la dette en capital qui permettrait de réduire celle-ci de 320 à 140 millions d’euros. Avec des objectifs d’amélioration de la rentabilité de l’entreprise passant notamment par quelques dizaines de fermetures de boutiques sur les plus de 800 dans le monde, mais aussi de progression, notamment en surfant sur la bonne dynamique d’IKKS Femme, la direction menée par Pierre-André Cauche, maintenu à son poste, souhaiterait atteindre un chiffre d’affaires de 394 millions d'euros (contre 348 millions en 2017) pour 57,8 millions d'euros d’Ebitda en 2021, selon des informations parues dans la presse financière. 

casta321

2 février 2019

BALMAIN - Olivier Rousteing

orousteing (1)

orousteing (4)

orousteing (5)

orousteing (6)

8 janvier 2019

Publicité

publicite

15 décembre 2018

AUBADE

aubaaaade

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 > >>
Publicité