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Jours tranquilles à Paris
12 janvier 2019

Fuite de gaz : explosion meurtrière à Paris

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ALERTE-Explosion-Paris: Le bilan grimpe à 3 morts après le décès d’une Espagnole
Une femme espagnole est morte dans l’explosion de la boulangerie rue de Trévise à Paris. Information donnée par le ministre espagnol des Affaires étrangères.
Le bilan grimpe donc à 3 morts et 10 blessés en urgence absolue. Les deux autres personnes décédées sont des sapeurs-pompiers de Paris.

MAJ du 13 janvier 2019 : Explosion à Paris : les riverains décrivent le souffle, les cascades de verre et l’odeur du gaz

Par Pierre Bouvier

La plupart des habitants du quartier dormaient lorsque l’explosion les a tirés de leur lit, peu avant 9 heures.

Daniel De Spirt et sa fille Alice errent rue du Faubourg-Montmartre. Peu après la puissante explosion, survenue samedi 12 janvier dans une boulangerie du 9e arrondissement de Paris, la police a évacué le périmètre où se trouve leur appartement. Les riverains, descendus dans la rue pour la plupart, ignorent, trois heures après, pour combien de temps ils seront bloqués dehors. « On nous a dit 14 heures, ou dans l’après-midi », relate le père.

Le bilan est de trois morts, deux sapeurs-pompiers et une touriste espagnole, tandis qu’une quarantaine de personnes sont blessées, dont dix grièvement.

Les De Spirt, qui habitent rue Bergère, ont été réveillés en sursaut. On a entendu « comme une cascade de sons, ceux des vitres des étages supérieurs qui cédaient les unes après les autres », raconte Alice. Ce sont leurs voisins d’en face qui leur ont indiqué d’où venait l’explosion. Selon les premiers éléments de l’enquête, la déflagration s’est produite dans le local commercial alors que les pompiers étaient déjà en intervention pour une fuite de gaz. « Les gens étaient dans la rue et les pompiers à l’intérieur » de l’immeuble, selon le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, qui s’est rendu sur place. Dans l’air, « il flottait une forte odeur de gaz », raconte Daniel.

« Juste avant 9 heures, tout a tremblé », décrit encore Leslie, qui habite rue du Faubourg-Poissonnière. Elle s’estime chanceuse : « Mes fenêtres ne sont pas tombées. » Maxime Daridan, un journaliste qui habite rue de Trévise, à proximité du local commercial, a également été « réveillé par le bruit de l’explosion et l’effet de souffle ».

Examen des immeubles impactés

« Les services des pompiers et ceux de la ville doivent procéder au diagnostic de tous les immeubles impactés par l’explosion », a déclaré M. Castaner. De son côté, Anne Hidalgo, la maire de Paris, a annoncé l’ouverture d’un dispositif d’accueil, à la mairie du 9e arrondissement, pour les habitants et les nombreux touristes présents dans les hôtels du quartier, touchés par l’explosion.

Le périmètre concerné est très large. Selon le commandant Eric Moulin, des sapeurs-pompiers de Paris, « l’onde de choc s’est propagée dans les quatre rues adjacentes, sur environ 100 mètres ».

A une centaine de mètres du lieu de l’explosion, en bas de la rue du Faubourg-Poissonnière, où stationnaient une myriade de véhicules de pompiers, un homme balaie les débris de verre de la pharmacie Fougère. « Je suis le mari de la pharmacienne. Il était… 8 h 57, j’étais dans le bureau au-dessus de la pharmacie lorsque l’explosion a retenti, le souffle a brisé toutes les vitrines. » A ce moment-là, personne ne connaissait le bilan de l’explosion, même si le passage d’un hélicoptère de la Sécurité civile, qui est allé se poser place de l’Opéra, laissait présager du pire.

Enquête en cours

Environ deux cents pompiers ont été mobilisés par les opérations de secours. L’enquête, confiée à la direction régionale de la police judiciaire, ne fait que commencer.

Selon Rémy Heitz, procureur de Paris, « nous sommes (…) sur une origine accidentelle, mais à ce stade nous n’excluons aucune hypothèse ». Les experts de la police sont sur place pour « identifier l’origine de l’explosion, et la poche de gaz qui aurait donc conduit à ce dramatique accident », a-t-il ajouté.

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11 janvier 2019

'SECONDE PEAU' PAR EDWARD ANINARU {EDITORIAL EXCLUSIF / NSFW}

Le photographe roumain Edward Aninaru s'est associé au mannequin Emma Bella pour ce bel éditorial créé avec son équipe. Edward, a une passion pour les histoires et les tatouages ​​et une vie dans la photographie.

Voir plus de travail d'Edward ici: WEBSITE / INSTAGRAM

https://www.instagram.com/edward_aninaru/

https://www.instagram.com/emmabella_/

https://edwardaninaru.com/

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11 janvier 2019

Tintin fête ses 90 ans

11 janvier 2019

Vu sur internet

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11 janvier 2019

Cinq bonnes idées par jour

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11 janvier 2019

Eglise Saint Germain

11 janvier 2019

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11 janvier 2019

CAC 40 : le volume des dividendes en hausse de 12,8 % en 2018

Par Jean-Michel Bezat

Les quarante plus grands groupes français ont versé 57,4 milliards d’euros à leurs actionnaires, dont 10,9 milliards sous forme de rachats d’actions.

L’année 2018 aura été faste pour les actionnaires des entreprises du CAC 40. Du côté des dividendes, du moins, puisque l’indice phare de la Bourse de Paris a, lui, chuté de 10,95 % (contre + 9 % en 2017). Les quarante plus grands groupes français leur ont versé 57,4 milliards d’euros, dont 10,9 milliards sous forme de rachats d’actions (0,8 % de leur capitalisation moyenne), au titre de l’exercice 2017, annonce La Lettre Vernimmen.net, sur la base d’une compilation des informations publiées par les sociétés.

En progression de 12,8 % par rapport à 2017, ce volume de dividendes des sociétés du CAC 40 est comparable aux 57 milliards d’euros enregistrés en 2007. « Ce n’est pas surprenant, compte tenu de leurs très bons résultats (à l’exception des banques) à ce point du cycle, note la lettre réalisée par Pascal Quiry et Yann Le Fur, professeurs à HEC. Il est probable que les chiffres que nous publierons [en 2020] seront encore meilleurs, compte tenu de la progression des résultats 2018 que l’on entrevoit » (48 milliards d’euros de profits au premier semestre).

L’étude souligne que la progression moyenne du dividende (+ 4,7 %) est très sensiblement inférieure à la hausse des résultats nets courants part du groupe (+ 18 %). Le taux de distribution recule encore par rapport aux années précédentes (46 %), mais il atteint 59 %, si l’on y inclut les dividendes extraordinaires et les rachats d’actions.

Phase de grande prospérité pour les multinationales

Fait nouveau, toutes les entreprises ont versé un dividende en 2018, même si celui d’ArcelorMittal reste modeste et si trois d’entre elles (Engie, TechnipFMC et Carrefour) ont dû le réduire. A elles seules, Total (10,1 milliards d’euros), Sanofi (4,8 milliards) et BNP Paribas (3,8 milliards) pèsent 33 % des capitaux redistribués. En y ajoutant Axa, LVMH, L’Oréal et Schneider, on atteint 51 %.

Les auteurs répondent aux critiques de ceux qui estiment que ces entreprises feraient mieux de les réinvestir (ou d’augmenter les salaires). Ils jugent « plus sain de les reverser à leurs actionnaires, plutôt que de les gaspiller en surinvestissements ou en placements oisifs de trésorerie, et de priver ainsi de capitaux propres d’autres groupes qui en auraient besoin pour se développer », supposant que les actionnaires les réinvestiront ailleurs.

La lettre affirme, en outre, qu’« aucun groupe n’a dû réduire ses investissements pour verser un dividende » ni s’endetter au-delà du raisonnable pour le faire. Certains ont, comme Total ou Danone, préféré en verser une partie en actions, afin de garder des marges de manœuvre financières, notamment pour faire des acquisitions. Cette part reste réduite, puisque le paiement en actions ne représente que 3,8 milliards d’euros.

Les multinationales françaises traversent globalement une phase de grande prospérité, même si leurs résultats et leur valorisation n’atteignent pas les sommets des groupes américains. Mais les quarante premières entreprises valent plus que les quarante plus puissantes sociétés allemandes, note M. Quiry dans un entretien aux Echos.

11 janvier 2019

Patti Smith photographiée par Annie Leibovitz

Patti Smith by Annie Leibovitz

10 janvier 2019

Les Coquettes

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