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Jours tranquilles à Paris
20 février 2018

Sylvio Testa

sylvio testa21

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20 février 2018

Ailona Hulahoop (artiste)

ailona547

20 février 2018

Simone Veil entrera au Panthéon le 1er juillet

simone55

Lors de l’hommage national aux Invalides le 5 juillet 2017, Emmanuel Macron avait annoncé que l’ancienne ministre de la santé et rescapée de la Shoah reposerait au Panthéon avec son époux.

Simone Veil entrera au Panthéon le 1er juillet, a annoncé l’Elysée, lundi 19 février. Elle sera alors la cinquième femme à reposer au Panthéon et elle reposera au côté de son époux Antoine, disparu en 2013. L’ancienne ministre de la santé et ex-présidente du Parlement européen est morte le 30 juin 2017, à l’âge de 89 ans.

Rescapée de la Shoah, elle fut l’une des rares femmes engagées en politique dans les années 1970, qui la virent œuvrer à la légalisation de l’avortement en France. Membre du Conseil constitutionnel puis de l’Académie française, Simone Veil a inspiré le respect de la classe politique, jusque chez ses adversaires.

« Remerciement du peuple français »

L’annonce de son entrée au Panthéon avait été faite, le 5 juillet, par Emmanuel Macron en conclusion de son éloge funèbre à Mme Veil, lors de l’hommage national qui s’était tenu dans la cour d’honneur des Invalides. Une décision prise, « en accord avec sa famille », afin de témoigner de « l’immense remerciement du peuple français à l’un de ses enfants tant aimés, dont l’exemple, lui, ne nous quittera jamais », avait alors déclaré le chef de l’Etat.

M. Macron avait notamment salué les « combats du siècle » dernier menés par Simone Veil, dont la « bataille » en faveur de la loi sur l’interruption volontaire de grossesse en 1974 ou encore son « combat pour l’Europe », « elle qui fut la première présidente du Parlement européen ».

Une personnalité qui entre au Panthéon se doit d’être exemplaire et d’incarner les idéaux de la République.

Féminiser le Panthéon

A plusieurs égards, le profil de cette femme politique, qui a marqué l’histoire de la deuxième moitié du XXe siècle, correspond aux valeurs prônées par le président Emmanuel Macron : « Simone Veil n’est ni de droite ni de gauche, puisqu’elle a été ministre centriste, c’est une européenne convaincue, une ancienne déportée et une combattante pour l’IVG, qui marque une étape dans le droit des femmes. Alors qu’on se rapproche de la commémoration de la loi Neuwirth de 1967 sur la contraception, on peut imaginer une continuité avec le mariage pour tous et la procréation médicalement assistée », estimait l’historien Patrick Garcia.

Parmi les 80 « panthéonisés » figurent des politiques, des écrivains, des scientifiques, quelques religieux et beaucoup de militaires. Si quatre femmes y reposent pour l’instant, un rapport public de 2013 préconise de féminiser le Panthéon.

Sophie Berthelot, distinguée « en hommage à sa vertu conjugale », y est enterrée avec son mari le chimiste et homme politique Marcelin Berthelot en 1907, car le couple ne souhaitait pas être séparé dans la mort. Les cendres de Marie Curie y ont été transférées en 1995 avec celles de son époux Pierre, avec qui elle partage le prix Nobel de physique. En 2015, elles ont été rejointes par Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle-Anthonioz.

L’écrivain Michel Déon va être inhumé à Paris. La maire de Paris Anne Hidalgo (PS) a informé, lundi 19 février, la famille de M. Déon qu’elle avait demandé aux services municipaux de « trouver une sépulture parisienne » pour « ce grand écrivain ». Un texte signé par une centaine d’écrivains et d’éditeurs, parmi lesquels Antoine Gallimard, Michel Houellebecq ou Amélie Nothomb demandait à la Ville de donner à l’auteur d’Un taxi mauve, membre de l’Académie française, cette sépulture. L’inhumation à Paris, comme le demandait la famille de l’écrivain mort en Irlande fin décembre 2016 à l’âge de 97 ans, a fait polémique ces derniers jours, la mairie invoquant les « règles fixées par le code général des collectivités territoriales » pour ne pas pouvoir l’accorder. Michel Déon, n’étant ni domicilié, ni électeur ni décédé dans la capitale, ne remplissait pas les conditions pour y être inhumé.

20 février 2018

#satturodrigues

19 février 2018

Simone Veil entrera au Panthéon le 1er juillet

Simone Veil, morte à l'âge de 89 ans le 30 juin 2017, entrera au Panthéon le 1er juillet 2018, a appris franceinfo lundi 19 février auprès de l'Élysée. Emmanuel Macron avait annoncé le 5 juillet 2017, en conclusion de son éloge funèbre dans la cour des Invalides, que Simone Veil y reposerait "avec son époux", Antoine Veil, en "accord avec sa famille". Ce sera la première fois qu'un homme fera son entrée au Panthéon en tant qu'époux.

Le Panthéon, où Simone Veil sera la cinquième femme à faire son entrée, est depuis plus de cent ans la nécropole laïque des "grands Hommes", dont la "patrie reconnaissante" veut honorer la mémoire.

Simone Veil, rescapée de la Shoah et symbole du combat pour l'émancipation féminine, reposera au Panthéon pour lui témoigner "l'immense remerciement du peuple français à l'un des ses enfants tant aimés", avait annoncé le président Emmanuel Macron.

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19 février 2018

Catherine Deneuve et David Bailey...

deneuve bailey

1965. L'actrice Catherine Deneuve vient d'épouser le célèbre photographe Anglais David Bailey à la mairie de Saint Pancras à Londres.

19 février 2018

Vu sur internet - j'aime beaucoup

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jaime55

19 février 2018

In Palais de Tokyo...

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19 février 2018

Leclerc ouvrira en 2020 un supermarché en plein Paris

Par Cécile Prudhomme

L’enseigne s’installera dans le quartier de la Gaîté-Montparnasse, qui intéresse également Ikea.

Après un premier pas en direction de la capitale en 2016, avec un magasin dans le 19e arrondissement, aux abords du périphérique, l’enseigne de distribution Leclerc va investir le cœur de Paris. Avec un supermarché qui ouvrira, en avril 2020, dans le centre commercial du quartier de la Gaîté-Montparnasse, à deux pas de la gare.

La gare, les boutiques attenantes opérées par Altarea Cogedim, et même la tour Montparnasse, ont lancé un vaste programme de rénovation de ce quartier. La foncière Unibail-Rodamco va reconstruire entièrement la galerie Gaîté, désertée au fil des ans par les clients et les enseignes. Dans le passé, elle a accueilli jusqu’à 4 à 5 millions de clients les bonnes années, et 1,3 million de personnes la traversent chaque année pour accéder plus vite à leur train à partir du métro Gaîté. Le bâtiment des années 1970, composé d’une architecture sur dalle, très en vogue à l’époque dans le Paris du tout voiture, avait alors été pensé comme une entrée sur Paris depuis l’autoroute A6.

Une galerie marchande agrandie

L’adhérent du groupe Leclerc, qui possède déjà le magasin de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) au centre commercial So Ouest appartenant à Unibail, vient de signer avec la foncière pour y installer un supermarché de 2 500 mètres carrés (3 700 m² en comptant les réserves), très axé sur les produits frais. Il aura comme voisin le magasin Darty, qui sera déplacé et restera ouvert pendant la durée des travaux.

L’ensemble de l’îlot immobilier actuellement composé de l’hôtel Pullman – qui sera modernisé –, d’une galerie marchande, de bureaux et de logements, dont Unibail a mis plusieurs années à reconstituer la propriété foncière, sera entièrement repensé. En partie grâce à la suppression de 1 000 places de parkings, la galerie commerçante sera considérablement agrandie, passant de 14 000 à 27 770 m2 sur trois étages. Elle ouvrira en 2020. Les bâtiments à proximité accueilleront une crèche, une bibliothèque, un jardin communautaire…

Rebaptisée « les Ateliers Gaîté », l’ancienne galerie passera de huit commerces à vingt-huit en 2020, avec un espace de près de 4 000 m2 destiné à la restauration et composé d’une trentaine de comptoirs indépendants, avec des baux de courte durée et pour chacun un concept à la mode, comme il en existe à Lisbonne ou à Londres. Un étage entier de près de 10 000 m2 sera entièrement consacré à des enseignes de mode et de beauté.

Une clientèle de centre-ville

Le centre commercial, qui vise de 8 à 10 millions de visiteurs à terme, intéresse également Ikea. Le géant suédois du mobilier est en discussion avec Unibail-Rodamco pour louer un local de 4 500 m2 qui pourrait accueillir sa première implantation dans Paris intra-muros.

Le groupe avait annoncé, fin 2014, un projet qui n’a pas encore vu le jour d’« implantation d’un point de vente dans Paris intra-muros pour faciliter l’accès à son offre aux personnes vivant en centre-ville », une clientèle dont près de 70 % ne possèdent pas de voiture et 30 % n’ont pas le permis.

Ce local intéresse aussi d’autres acteurs du bricolage et de l’équipement de la maison, comme Leroy-Merlin, mais Ikea pourrait y aménager des espaces de conseil pour son activité cuisine. D’autant que la galerie marchande sera volontairement positionnée par son opérateur autour de l’expérience utilisateur afin de se différencier de l’achat sur Internet grâce à des ateliers (réparation de vélo, ateliers de cuisine…) et des services. Elle sera complétée d’un futur espace logistique urbain pour mutualiser les livraisons dans le quartier.

La bataille de la vente à domicile

L’arrivée de l’enseigne Leclerc en plein centre de la capitale s’inscrit dans le projet du groupe de s’attaquer au marché parisien, l’un des fiefs d’Amazon dans le secteur du non-alimentaire. Mercredi 31 janvier, sur RMC et BFM-TV, le patron du distributeur, Michel-Edouard Leclerc, a annoncé le lancement à partir du printemps de « la vente à domicile à Paris » sous le nom de « Leclerc chez moi », promettant des prix « de 15 % à 20 % moins chers et aussi des “drives” piétons et des dépôts relais ».

« Il nous faut trois ans pour parfaire les systèmes » et « maîtriser la logistique » après « une période de test sur certains quartiers ». « Nous avons une technologie logée à Toulouse. Cinq cents ingénieurs travaillent sur des algorithmes, des applications, sur la monétique et nous allons relever le défi d’Amazon sur la ville la plus chère de France », a-t-il assuré.

A Paris, la concurrence a commencé à s’attaquer à la livraison à domicile ou en drive. Franprix (groupe Casino) propose depuis le 16 novembre 2017, à Paris et en région parisienne (et cette année à Lyon), une livraison en trente minutes, par la start-up Stuart, filiale de La Poste, des courses commandées à partir d’une application sur téléphone mobile, prélevées à partir de dix-huit magasins. Elle a déjà été utilisée par 400 000 clients. Après plusieurs semaines de test sous le nom de Carrefour livraison express, Carrefour s’est associé à Stuart pour lancer la livraison de courses en moins d’une heure.

Monoprix (groupe Casino) a conclu, pour sa part, un accord capitalistique en décembre 2017 avec la start-up Epicery, pour livrer dans l’heure des courses en même temps que celles de commerces de bouche du quartier, avant la mise en place d’ici à deux ans de livraisons à partir d’un entrepôt alimentaire 100 % automatisé, grâce à son alliance avec le britannique Ocado. Reste à savoir si, en trois ans, Amazon, qui cherche toujours à nouer des accords avec des enseignes de distribution alimentaire, n’aura pas déjà conquis le marché.

19 février 2018

Olivier Rousteing

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