Feu d'artifice - Paris
Les Maoris
Les Maoris de Nouvelle-Zélande (mi : māori ; API : /maːori/ ) sont des populations polynésiennes autochtones de Nouvelle-Zélande. Ils s'y seraient installés par vagues successives à partir du viiie siècle. Ils sont aujourd'hui plus de 700 0001 (environ 15 % de la population néo-zélandaise), auxquels il faut ajouter une diaspora de plus de 100 000 personnes dont une grande majorité vit en Australie.
Dans les légendes et les traditions orales, le mot « maori » distingue les êtres humains mortels des dieux et des esprits [réf. nécessaire]. Ce mot se retrouve dans les autres langues polynésiennes comme l’hawaïen ou le marquisien, (Maoli), le tahitien (Maohi) et le māori des îles Cook, avec un sens identique. Les premiers visiteurs européens des îles de Nouvelle-Zélande (les « Pakehas » arrivés au xviiie siècle), ont désigné le peuple qu’ils y ont trouvé par des termes variés comme « indiens », « aborigènes », « natifs » ou encore « Néo-Zélandais ». C'est au contact de ces étrangers que ces populations ont commencé à se désigner d'abord sous le terme de « tangata māori » (homme ordinaire, autochtone), pour finalement ne garder que « māori ». En 1947, le « Département des Affaires indigènes » a été renommé « Département des Affaires mmāories », consacrant ainsi la reconnaissance de ce terme. Dans la culture māorie, chaque tribu (« iwi »), chaque sous-tribu (« hapu »), chaque individu est doté d'un mana. Dans le mana, les valeurs de loyauté et de solidarité comptent davantage que les hiérarchies de rang ou de fortune.
La généalogie est la constante préoccupation des Māoris, capables de décliner la liste de leurs ancêtres jusqu'au premier d'entre eux, migrant de la lointaine et mythique Hawaiki, vingt ou trente générations plus tôt.
La carte du Procope - photo prise dans le passage de la Cour du Commerce Saint André
https://fr.wikipedia.org/wiki/Caf%C3%A9_Procope
Le café Procope est un célèbre, et l’un des plus anciens, cafés-restaurants de Paris. Il se situe au 13, rue de l'Ancienne-Comédie, dans le 6e arrondissement. Il est également accessible par le passage de la Cour du Commerce-Saint-André.
Café d’artistes et d’intellectuels, il était fréquenté au XVIIIeme siècle par Voltaire, Diderot et d’Alembert. Centre actif durant la Révolution française, il reste longtemps un lieu de rencontre d’écrivains et d’intellectuels (Musset, Verlaine, Anatole France), d’hommes politiques (Gambetta) et du « Tout-Paris ».