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Jours tranquilles à Paris
5 juin 2015

La Demeure du Chaos (DDC)

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Photos : Jacques Snap

http://www.abodeofchaos.org/

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5 juin 2015

La photographie retrouve la nature à La Gacilly

La douzième édition du festival Photo Peuples et nature de La Gacilly sera inaugurée ce soir avec l’Italie comme invité d’honneur. Quatorze expositions en plein air sont à voir jusqu’au 30 septembre.

C’est reparti pour quatre mois de balades photographiques à La Gacilly qui inaugure ce soir la douzième édition de son Festival photo Peuples et nature. Depuis onze ans, les murs, ruelles, jardins, parcs et berges de la ville accueillent des clichés des plus grands photographes de la planète. Pour sa douzième édition, le festival a choisi l’Italie comme invité d’honneur pour jouer les ambassadeurs de l’exposition universelle de Milan dont le thème est Nourrir la planète. Une problèmatique qui s’accorde parfaitement avec le festival de La Gacilly créé par son maire Jacques Rocher qui souhaitait y joindre ses deux passions, la photographie et la nature.

L’Italie à l’honneur

On y retrouve la nature photographiée par ses plus grands photographes italiens comme celle du Kenya, vue par Mirella Ricciardi dans les années 70,« un monde qui n’existe plus aujourd’hui ». Le théâtre à l’Italienne de Massimo Siragusa et ses plages bondées de touristes ou les paysages de Toscane de Franco Fontana dont les clichés ne sont qu’aplats de couleurs et lignes de perspectives, à la limite de la peinture abstraite. D’une ruelle à un parc, on passe d’un regard à un autre à travers quatorze expositions différentes. 600 photos dispersées sur plus de 5 km de balade à travers la cité d’Yves Rocher. Un parcours qui fait voyager à travers les cinq continents que les vingt-cinq photographes représentés ont sillonnés pour photographier, comme Peter Menzel, nos habitudes alimentaires, ou, comme George Steinmetz qui nous montre la démesure de l’agriculture intensive. Le festival Photo de La Gacilly donne à voir, mais aussi à réfléchir. Article de Olivier CLÉRO.

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Jusqu’au 30 septembre, à La Gacilly, festival Photo peuples et nature. Gratuit. Samedi 6 juin : séance de dédicaces des photographes à la librairie de La Passerelle à 11 h. À 15 h, projection-débat sur le thème de l’alimentation avec Marie-Pierre Subtil, rédactrice en chef de la revue Six mois . À 16 h, conférence : La photographie peut-elle éveiller les consciences ?, sous le grand chêne, près du Végétarium.

4 juin 2015

La Demeure du Chaos (DDC)

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Photos : Jacques Snap

http://www.abodeofchaos.org/

28 mai 2015

Festival Photo de La Gacilly du 5 juin au 30 septembre 2015

http://www.festivalphoto-lagacilly.com/

Le plus grand Festival Photo en plein air de France. Créé il y a 12 ans, le Festival Photo Peuples et Nature de La Gacilly a réuni plus de 2,5 millions de visiteurs autour des plus grands photographes internationaux. Une photo éthique et humaniste croisant les regards de photographes issus du monde de l’art et du photo-journalisme. Un festival engagé dans le développement durable.

http://www.festivalphoto-lagacilly.com/IMG/pdf/presentation_reunion_151014.pdf

 

20 mai 2015

Jérémie Mazenq, exposant au FEPN

Interview IDEAL MAG : Jérémie Mazenq, exposant au FEPN

par priscillemolitor     

Jérémie Mazenq, exposant au festival européen de la photo de nu, a bien gentiment répondu à quelques unes de nos questions pour en savoir un peu plus sur lui et sur sa carrière.

ID : Bonjour Jérémie, tour d’abord comment avez compris que vous deviez vous lancer dans une carrière de photographe? Votre parcours professionnel?

JM : Je ne me suis jamais dit que j’allais me lancer mais avant cela j’étais ingénieur du son pour le cinéma et après avoir habité 6 ans à Paris, je suis revenu sur Bordeaux. J’ai eu plus de temps libre pour me consacrer à la photo. J’ai laissé et je laisse encore faire les choses naturellement.

ID : Pourquoi faire essentiellement de la photo de nu?

JM : Je fais essentiellement de la photo de portrait et de nu, et même quand je fais de la photo de nu je la traite souvent à la manière du portrait. La nudité et tout ce qu’elle implique m’a toujours intéressé mais c’est surtout l’humain de manière générale qui me fascine.

ID : Comment en êtes vous arrivez à exposer au Festival Européen de la Photo de Nu?

JM : Pour ma participation au fepn, je la dois essentiellement à Bernard Minier le directeur artistique du festival avec qui j’ai exposé en Russie en 2011 et qui m’a encouragé à envoyer un dossier.

ID : Avez-vous, vous-même, déjà posé nu?

JM : Je n’ai jamais posé moi même

ID : Quelles sont vos prochaines actualités?

JM : Ma prochaine actualité est une exposition au mois de juin de ma série de portrait dans une chambre dans la région Bordelaise, le château de Malromé, l’ancienne demeure du peintre Toulouse Lautrec.

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Reportage photo : Jacques Snap

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20 mai 2015

« LOVE » de Gaspar Noé - ce soir à Cannes

Séances de minuit

Projeté en séance de minuit, Love, de Gaspar Noé, ne s'annonce pas moins sulfureux ou dérangeant qu' « Irréversible » et « Enter The Void », présentés respectivement en compétition en 2002 et 2009. Le film est annoncé comme un mélodrame sexuel. En salles le 15 juillet 2015.

20 mai 2015

Dans la peau de Kim Jong-un - ARTE

15 mai 2015

Soirée de clôture du Festival Européen de la Photo de Nu aux Baux de Provence dans les Carrières de Lumières (FEPN 2015)

13 mai 2015

Festival de Cannes

9 mai 2015

ARLES - Espace Van Gogh 1er étage Sud

« Asphyxia » est une série d’autoportraits révélée uniquement lors du Festival Européen de la Photographie de nu. Dans ce sens, les images que je vous donne à voir ici sont inédites et exclusives.

« Asphyxia » naît d’une création spontanée, à l’image de l’écriture automatique des surréalistes, d’une nécessité libératrice. L’idée est celle d’évacuer cette surcharge d’émotions en lui donnant une forme concrète, matérielle, palpable. C’est, en quelques sortes, un moyen de communication non verbale.

« Asphyxia » est donc une série d’images introspectives axées sur la manifestation d’un malaise psychologique, un trouble obscur, un déchirement intérieur douloureux, un bouleversement psychique éprouvant. Il s’agit ici pour moi de « vomir » cette sensation d’étouffement, cette fermentation intestine. Il s’agit de faire sortir « Le monstre », de le sublimer afin de lui donner une forme acceptable. Ce que je vous ouvre ici, c’est une porte sur mon âme.

Vous verrez à travers ses images différentes formes par lesquelles ce sentiment s’exprime, la privation de la communication (« Je hurle en silence »), l’étouffement de l’enfant qui est en soi, la perte d’identité, le poids de la culpabilité, la destruction de soi, etc…

Le fil conducteur, la cohérence de cette série est cet « accessoire », toujours le même, un sac plastique. Cet élément œuvre ici tantôt comme une marque d’étouffement tantôt comme un stigmate de dépersonnalisation de l’individu. L’émotion devient alors la seule identité valable comme reflet d’individualité.

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