Chantal Thomass nous charme avec sa très enjôleuse demoiselle... en lingerie fine !
Le mannequin Louise Donegan représente bien l'univers de Chantal Thomass. Du haut de son 1m78 et de ses 25 ans, cette belle Britannique nous fait rêver.
Le mannequin Louise Donegan représente bien l'univers de Chantal Thomass. Du haut de son 1m78 et de ses 25 ans, cette belle Britannique nous fait rêver.
Après 18 mois de travaux de rénovation, les 260 colonnes en
marbre noir et blanc installées depuis 1986 à deux pas de la Comédie française,
du Conseil d'Etat et du ministère de la Culture sont comme neuves. Les travaux
d'éclairage et d'étanchéité du sol ont coûté près de six millions d'euros.
Seule modification visible à l'oeil nu: les plots lumineux,
qui émergeaient auparavant, sont placés au ras du sol.
Très controversée lors de son installation, l'oeuvre
"Les Deux Plateaux", mieux connue sous le nom de "colonnes de
Buren", fait désormais partie intégrante du Palais-Royal, site né au XVIIe
siècle où de nombreux enfants viennent jouer chaque jour.
"Depuis le tout début, j'ai été ravi et intéressé de
voir que les gens venaient. Ils sont toujours là, discutent, se donnent
rendez-vous, les enfants inventent des jeux", a dit Daniel Buren à la
presse.
"Tout cela est objectivement positif et
personnellement, ça me fait plaisir bien sûr", a ajouté l'artiste, dont
l'oeuvre a été décrite par Frédéric Mitterrand comme "la conjonction de
l'ancien et du nouveau, de la création et du patrimoine".
"Avec le recul du temps, force est de constater que les
colonnes de Buren ont conquis une place (...) je dirais, presque royale dans
l'espace public", a-t-il souligné.
Le mauvais état de l'installation, qui avait fait l'objet
d'une commande publique, avait provoqué en 2007 la colère de Daniel Buren, qui
avait menacé de faire démonter ses colonnes si elles n'étaient pas restaurées.
L'artiste s'est dit satisfait des rénovations. "Elles sont comme elles étaient il y a presque 25 ans. C'est très réussi, très bien fait. Même si elles ne sont pas visibles, les améliorations sont intéressantes pour le futur", a-t-il dit.
Site du Ministère de la Culture et de la Communication
Photo : Didier Plowy. De gauche à droite, M. et Mme Jack Lang, M. Frédéric Mitterand, M. Daniel Buren, Mme Catherine Tasca.
Philippe Séguin, premier président de la cour des comptes, est mort dans la nuit de mercredi à jeudi à l'âge de 66 ans, a-t-on appris auprès de l'UMP sans autre précision. L'ancien président de l'Assemblée nationale, ancien président du RPR est mort à son domicile à Paris, dans le XVe arrondissement de Paris, d'une crise cardiaque, a-t-on appris de source policière et auprès d'un de ses proches. Les pompiers appelés sur place ont constaté son décès vers 7H20, a-t-on ajouté. Aussitôt connu, le décès de Philippe Séguin, grand pourfendeur du traité de Maastricht et gaulliste convaincu, a provoqué de nombreuses réactions. "C'est évidemment une nouvelle qui me bouleverse parce que Philippe Séguin était un ami très cher, un homme passionné aimant son pays" et "pour la France c'est une grand perte", a déclaré sur RTL l'ancien ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua, sénateur UMP des Hauts-de-Seine, qui était très proche de Philippe Séguin. "Il était profondément pénétré par l'idée de la nation, de la République, c'était un grand républicain, un grand gaulliste", a-t-il dit saluant sa personnalité "passionnée". La mort de Philippe Séguin "sonne comme un coup de tonnerre", a déclaré le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre saluant "un homme droit et passionnné qui a consacré toute son énergie au service des autres". "C'était un homme à caractère exceptionnel, il n'avait peur de personne, il résistait à tout, il avait de fortes convictions et beaucoup de courage, beaucoup d'audace", a déclaré l'ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, sur Radio Classique. "Non seulement c'était un orateur, mais il avait ce trait de caractère qui faisait de lui une personnalité à fort rayonnement dont le vide marquera la vie politique pendant des années", a-t-il ajouté. Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, s'est dit "ému" et "admiratif de l'homme et de son parcours", et a fait part de "l'immense tristesse des parlementaires". "Il s'agit, a-t-il dit, avec Philippe Séguin d'une personnalité politique de première importance". "Il a contribué à la vie démocratique avec un talent incomparable, des convictions extrêmement fortes et un caratère extrêmement attachant même si ce caractère était l'objet de courroux aussi brusques qu'inattendus". Il a salué "un très grand président" de l'Assemblée nationale, ajoutant: "C'est une très, très grande perte pour notre pays et notre démocratie".
MAJ du 8 janvier 2010 :
Obsèques de Philippe Séguin
Le Président de la République se rendra lundi 11 janvier
2010 aux obsèques officielles de Philippe SÉGUIN au cours desquelles un hommage
national lui sera rendu.