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Jours tranquilles à Paris
auray
12 décembre 2016

Auray illuminé...

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3 décembre 2016

AURAY : Un mois de retard pour les travaux en centre-ville

La première phase de travaux a pris du retard. Le chantier fera une pause le temps des fêtes de fin d’année, à partir du 16 décembre.

Les travaux d’aménagement du centre-ville ont un mois de retard. Ils devaient s’achever à la mi-décembre. Finalement, ce sera fin janvier. Au départ, la réalisation de la rue devait prendre quinze jours, puis quinze autres jours pour le séchage de la structure. La route devait se faire les quinze premiers jours de décembre et le séchage devait s’opérer durant la pause de quinze jours la seconde quinzaine de décembre. Mais des imprévus ont retardé ce calendrier.« Il n’y avait pas eu de gros travaux depuis quarante ans, indique le maire, Jean Dumoulin.Il y a donc eu des surprises. » Et d’énumérer vingt bracelets de raccordement d’eau qui alimentent les commerces à changer, dix mauvais branchements d’eaux usées à refaire, un linéaire de 50 mètres d’eaux pluviales à changer en entier… Sans compter la découverte d’une grenade datant de la Seconde Guerre mondiale sur le chantier le 12 octobre…

Réunion avec les commerçants

Les travaux s’arrêteront le jeudi 15 décembre au soir pour une trêve jusqu’à la fin de l’année. Ils reprendront début janvier et se prolongeront durant tout le mois pour refaire la rue. À partir du 16 décembre, les accès aux commerces seront possibles depuis la terrasse, qui est d’ailleurs terminée. Une réunion s’est tenue jeudi soir avec les commerçants directement concernés par ces travaux. Le maire avait proposé que les travaux se poursuivent la semaine du 19 au 23 décembre pour rattraper un peu le retard. Les commerçants ont refusé cette proposition. La seconde phase de travaux, qui devait commencer mi-janvier, commencera finalement fin janvier. Elle concernera la rue de l’autre côté, qui sera fermée à son tour jusqu’à la rue Barré. La place de la mairie, utilisée par les entreprises comme lieu de stockage, sera aménagée pendant la phase deux. Une phase qui pourrait aussi réserver des surprises. Article de Sophie CAPELLE.

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24 octobre 2016

AURAY - travaux Place de la République

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Photos : Mairie d'Auray

20 octobre 2016

AURAY : La région alréenne fait sa « vélorution »

L’intercommunalité veut développer ses infrastructures pour développer l’usage du vélo. Élus, associations et techniciens planchent sur ce réseau intercommunal de pistes cyclables.

Le vélo est sur la bonne piste ! La communauté de communes d’Auray Quiberon Terre Atlantique (Aqta) planche sur son réseau de pistes cyclables. Objectif ? Le développer pour« démocratiser » l’usage de la petite reine.

Trajet domicile-travail

Selon un diagnostic établi par le cabinet d’études Item, près de 10 000 personnes sur le territoire travaillent dans leur commune de résidence, soit la moitié des actifs du secteur. Et 81 % des scolaires étudient dans la région.« Les flux vont en majorité vers Auray dans le cadre de déplacement domicile-travail, et une majorité de personnes vient du nord du territoire » , indique Séverine Grould, chef de projet au cabinet. Soit un secteur relativement proche de la cité alréenne. Or, malgré ce nombre important de personnes qui réalisent de courtes distances, le vélo est sous utilisé. 3 % seulement l’utilisent contre 15 % qui choisissent de marcher. Le potentiel est donc là quand on sait que sous la barre des 5 kilomètres, la pratique de la petite reine peut devenir un vrai mode de vie.

Des besoins

Reste que c’est justement dans le nord que l’inventaire des infrastructures cyclables révèle le plus de besoins. Si la côte est bien pourvue en termes de liaisons douces permettant la pratique du vélo, du côté de Landaul, Plumergat, Sainte-Anne, Locoal ou encore Pluneret, le manque de pistes cyclables est réel.« Le territoire ne part pas de rien » , rappelle néanmoins Fabrice Robelet, vice-président à Aqta en charge du dossier. 357 kilomètres de voies cyclables existent en effet déjà et 137 kilomètres sont en projet par les communes. Mais seulement 45 % de ce réseau existant sont en adéquation avec les déplacements domicile travail.

Un plan

Des propositions sur les infrastructures à mettre en place pour élaborer un réseau intercommunal cyclable ont été présentées : où rallonger les pistes, installer des équipements adaptés, etc., en s’appuyant aux équipements intercommunaux prioritaires comme les gares, le futur pôle d’échange multimodal, les aires de stationnement… Des ateliers vont à présent être mis en place avec élus, cabinet, associations d’usagers et techniciens pour prioriser les besoins :« Nous ne pourrons pas tout faire d’un coup » ,confirme Emmanuel Oger, directeur pôle technique et infrastructure à Aqta.« L’idée n’est pas d’intervenir sur besoins communaux mais bien d’établir un réseau continu d’intérêt intercommunal » , rappelle le technicien. Le schéma définitif pourrait être présenté dès le printemps prochain avec un début de travaux espéré dès fin d’année. Fanny Pilet, chargée de mission mobilité transport à Aqta, l’assure :« La demande pour la réalisation de ces liaisons douces est très forte. Et c’est en créant les infrastructures nécessaires que l’on donnera de nouvelles habitudes pour aller au travail. C’est l’avenir. » Article de Stéphanie HANCQ.

11 octobre 2016

AURAY : Baisse des ventes sur le marché du lundi

Depuis un mois, une partie du marché du lundi a déménagé du côté de la place de Gaulle en raison des travaux place de la République. Certains commerçants sont très mécontents.

La polémique

Comme souvent, il y a ceux qui sont contents et ceux qui sont mécontents. Depuis le lundi 12 septembre, les commerçants non sédentaires du marché du lundi, installés place de la République, ont déménagé vers la place de Gaulle et du Four-Mollet. En raison des travaux de la place de la République, les étals ont quitté leur site historique pour quelques semaines. Dans un premier temps jusqu’à la mi-décembre, si le rythme des pelleteuses et des pioches ne prend pas de retard… Hier matin, ce n’était déjà plus l’affluence du mois de septembre sur le marché nouvelle version, les vacanciers ayant visiblement quitté le sud du Morbihan. D’ailleurs, quelques étals avaient changé de place, migrant de la place du Four-Mollet à la place de Gaulle. Il est vrai que des marchands ambulants saisonniers avaient eux aussi quitté la ville.

« Moins 30 % »

Place du Four-Mollet sont essentiellement installés ceux qui sont partis de la place de la République. Comme Laurent, de Lolo Rôtisserie. Lui, comme d’autres sur le même lieu, ne s’y retrouve pas :« Les quinze premiers jours, j’ai perdu 30 % de mon chiffre d’affaires. Les clients nous ont finalement retrouvés petit à petit. Aujourd’hui, c’est moins 20 %. Si ça devait durer, on se poserait des questions. » Yolande, elle, vend des fruits et des légumes. Et ne se plaint pas car« il y a du passage. Les clients ont retrouvé mon étal. Mais je me rends compte que mes ventes ont baissé ». Jean-Luc, Mister Paella depuis 22 ans, note aussi une légère baisse.« Je fais différents marchés, c’est toujours comme cela au départ quand on bouge. Ici, au bout d’un mois, les gens commencent à s’habituer. » À quelques mètres, Jean est mécontent. Celui qui est là depuis 1979 avec ses tissus et ses voilages, estime qu’il« n’y a eu aucune concertation avec la Ville. Alors que nous avons l’expérience. On aurait pu être consultés pour les emplacements ». Roland, qui vend des fruits et des légumes confirme :« On n’a pas été du tout concertés. Un plan a été fait et c’est tout. La clientèle m’a retrouvé, mais j’ai une perte financière. » Beaucoup de clients apprécient le côté« regroupé des étals. C’est mieux », indique Pierrick, un habitué. Et c’est vrai que les gens sont plutôt du côté de la place de Gaulle. Julien, de la poissonnerie Beg ar Pesked, est à un coin de rue et a une vue circulaire :« La fréquentation est la même, mais ce ne sont pas les mêmes personnes. Certains ne viennent plus car les parkings sont remplis très tôt le matin. » Isabelle, elle, apprécie ce changement depuis son camion de galettes bio car« avant, on était très peu sur la place en hiver. C’est très bien de tout regrouper ». Du côté des Halles, c’est plutôt grise mine. Mais pas le lundi, car des clients du marché font un détour. Le constat est plus sévère pour les autres jours de la semaine. Car les travaux sur la place en rebutent plus d’un. Article de Sophie CAPELLE. Ouest France

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7 octobre 2016

Travaux Place de la République à Auray

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26 septembre 2016

AURAY : À quand la fin des bouchons Porte-Océane ?

Dans le cadre du projet du pôle multimodal, une liaison routière est en projet pour relier la gare et la Porte-océane, permettant ainsi de désenclaver ce nœud routier. Deux études sont en cours.

Enquête

Matin ou fin de journée, le rituel est le même pour les automobilistes empruntant la Porte-Océane : il faut passer par les bouchons. Et lors des vacances, cette entrée de la cité alréenne ressemblerait à s’y méprendre aux portes de l’enfer avec ses files interminables de voitures, prenant la direction de la côte.« Ça devient très préoccupant , reconnaît d’emblée le maire d’Auray, Jean Dumoulin.Il devient urgent de désenclaver la zone. »

Gros bouchons

Depuis 2012, les zones d’activités de ce secteur ne cessent de se développer. De nouvelles entreprises doivent encore s’y installer, à l’image du projet de bâtiment porté par Kermorvant, à Kerbois, ou encore des 2 500 m2 de bureaux dans le parc d’activités de Porte-Océane en cours de construction (la Saur doit s’y installer). Problème : la circulation y est complètement congestionnée. L’axe charrie en effet environ 20 000 véhicules par jour, en moyenne annuelle. Aux heures d’embauche et de débauche, le rond-point de Kerbois se retrouve complètement bloqué, entraînant de fait la paralysie de la circulation sur la voie express où là, ce sont plus de 33 000 véhicules qui circulent chaque jour.

2x2 voie avortée

Le problème n’est pas nouveau. La mise en 2x2 voies de la route départementale 768, entre Auray et le rond-point du Purgatoire, qui marque la séparation entre les routes de Carnac et Plouharnel, a été envisagée dans les années 90. Cette liaison aurait pu soulager, un peu, le rond-point de Kerbois, mais le projet a avorté depuis longtemps. Pour preuve : l’hôtel du rond-point de Kergroix, situé face au parc de loisirs Le P’tit Délire, et acheté à l’époque par le conseil départemental pour créer un échangeur à cet endroit, est actuellement en vente.

Projet de la gare et déviation

Une autre idée a émergé ces dernières années : la construction d’une voie de désengorgement entre la gare et la zone d’activités de PorteOcéane. Cette liaison est l’un des volets du projet d’échange multimodal (PEM), qui prévoit notamment le redimensionnement de la gare d’Auray, en vue de l’arrivée de la ligne à grande vitesse (Paris à 2 h 30 au lieu de 3 h 15 actuellement).« Une déviation et une desserte Porte-Océane sont en effet prévues » , précise Fabrice Robelet, maire de Brec’h et vice-président à Aqta (Auray Quiberon terre atlantique) en charge du PEM. La communauté de communes a d’ailleurs acheté 15 ha de terrain à La Chartreuse, pour un montant de 1,7 million d’euros dans cet objectif. Cette desserte permettrait de désengorger la zone de Porte-Océane en créant une nouvelle sortie.

Premiers coups de pelle en 2018

Alors où en sont ces projets ?« Une étude environnementale a été lancée au printemps pour connaître le tracé exact de cette liaison. Une fois les résultats connus, au printemps 2017 normalement, une enquête publique sera lancée » , annonce Fabrice Robelet. Une seconde étude portant sur la circulation et le stationnement dans le cadre du PEM vient aussi d’être lancée. L’élu se veut confiant :« Les travaux pourraient débuter début 2018. » Une nouvelle qui ravit le maire alréen, Jean Dumoulin :« On a vraiment hâte de voir cette route aboutir ! » Article de Stéphanie HANCQ.

17 septembre 2016

AURAY : Deuxième édition de la 3 000 slips

Cette course en ville pour sensibiliser au cancer de la prostate se déroulera dimanche 18. Seule contrainte : venir en slip.

Pourquoi, comment ? Pourquoi une course en slip ?

L’association 3 000 slips a été créée en mars 2014, afin de parler du cancer de la prostate. L’idée est née de trois amis qui ont constaté qu’il n’existait pas de course pour les hommes, alors que de plus en plus de courses pour les femmes, et le cancer du sein, étaient organisées. La première course a été organisée le 20 septembre 2015. L’épreuve de 9 km, réservée aux hommes, a réuni 225 participants. Seule contrainte : ils doivent courir en slip. Le départ et l’arrivée se font au stade du Loch, où des stands d’information sur le cancer de la prostate sont installés. Les coureurs passent par Saint-Goustan. L’an dernier, 900 € ont été reversés à la Ligue contre le cancer.

Comment se présente la seconde édition ?

Le départ aura lieu à 15 h dimanche. Il est encore possible de s’inscrire. Cette année, une nouveauté : le challenge équipe, soit une formation constituée d’amis, de la famille, de salariés d’une entreprise ou d’élèves membres d’une école. Il y aura également l’élection du « funny slip », soit le slip le plus drôle et original. Car cette course solidaire est également un moment de détente. De nombreuses animations sont proposées : un village animation, un concert, un stand de massage… La veille de la course, samedi soir, la discothèque de Carnac, La Maison Blanche, organisera une élection « funny slip » (entrée 15 €, 1, 50 € étant reversé à la Ligue contre le cancer). Il sera possible de s’y inscrire pour la course du lendemain de 19 h à 23 h.

Dimanche 18 septembre, départ à 15 h, stade du Loch. Possibilité de s’inscrire sur le site Internet 3000slips.com

14 septembre 2016

Saint Goustan (commune d'Auray) : Le port de commerce est devenu perle du tourisme

Longtemps qualifié de faubourg, le port de Saint-Goustan a derrière lui un long passé de port de commerce maritime.

L’histoire

Passé le temps des vacances et celui des visiteurs flânant le long des quais, les touristes attablés aux terrasses commerciales se font moins nombreux. L’été pourtant, Saint-Goustan accueille nombre de curieux venus découvrir l’un des joyaux de la cité alréenne. Mais si le petit port fait figure de passage incontournable pour celui qui veut découvrir le département, cela n’a pas toujours été le cas. D’abord haut lieu du commerce à sa fondation, le port de Saint-Goustan a longtemps été l’un des quartiers les plus populaires d’Auray avec ses chantiers navals, avant le virage touristique des années 80.

Passé médiéval

Les fondations du quartier remontent au Moyen Age. Les contreforts du château d’Auray - aujourd’hui disparu et construit sur les rives de la ville haute - sont ainsi toujours visibles et témoignent de ce passé médiéval. La bâtisse a sans doute contribué pendant des siècles au développement et au rayonnement de la cité alréenne et de la ville basse, Saint-Goustan. Il a ainsi servi de villégiature aux ducs de Bretagne et aux gens de leur cour. Autre témoignage de ce passé : le pont aux quatre arches de pierre datant du XIIIe siècle : «Il a été le lien entre la ville haute et la ville basse, mais il était aussi un lieu de passage obligé entre Nantes et Audierne avant la construction du pont d’Auray », relate Geneviève Hamon, directrice du service patrimoine et archives de la Ville.

Riche port de commerce

Le pont permet aujourd’hui encore de relier les différents quais de SaintGoustan. Mais les bords du Loch n’ont pas toujours été aménagés de la sorte :« Les quais où nous aimons flâner n’existaient pas au Moyen Age , confirme la responsable.A marée haute, les bateaux utilisaient des planches pour décharger les marchandises. Il fallait donc s’acquitter d’un droit de planche ! Le produit était affecté à l’ancienne chapelle Saint-René, l’édifice étant une filiale de l’hôpital d’Auray. » Au XVIIe siècle, le port gagne ses lettres de noblesse grâce au négoce de vin et de céréales.

Indépendance américaine

Le trafic est tel que Saint-Goustan est alors le troisième port breton ! A l’angle du quai Franklin et de la rue du Petit-Port, des maisons de rapport - non habitées mais louées à des gens qui étaient en affaires - rappellent la vitalité du port d’Auray. C’est également ici qu’accostera l’Américain Benjamin Franklin, le 4 décembre 1176, célèbre diplomate venu demandé l’aide de la France pour l’indépendance américaine.

Le bouleversement du train

« Pendant très longtemps, les routes étaient mauvaises et la seule alternative était le transport maritime. Dans la première partie du XVIIIe , le port d’Auray a été celui où la construction navale était la plus importante en Bretagne », continue Geneviève Hamon. Le déclin du port de commerce date de l’arrivée du chemin de fer au milieu du XIXe , qui a bouleversé l’ordre économique et la géographie de la cité. Saint-Goustan tombe alors dans l’oubli jusqu’aux années 80 et l’arrivée des premiers touristes.

2 septembre 2016

Auray télévision. La ville filmée par des passionnés de l'audiovisuel

C'est la fusion d'une bande de copains passionnés par l'audiovisuel et d'un journaliste à la retraite qui a donné naissance à Auray télévision.

Leur but ? Informer et faire découvrir la ville par le biais d'une chaîne YouTube.

En octobre 2015, ils avaient monté pour le plaisir une junior association nommée Vox Alrée. Pierre-Louis, Romane, Théo et Quentin, âgés de 16 à 17 ans, se sont connus sur les bancs du lycée Franklin. Ils se sont réunis grâce à une seule et même passion : l'audiovisuel. Une lubie qui est devenue de plus en plus sérieuse, après la rencontre avec un journaliste à la retraite, qui a notamment travaillé pour la World Press Agency de New York. « On a rencontré Jean-Michel Maignent au forum des métiers à Athéna. Il nous a tout de suite proposé ses conseils, lui-même intéressé pour créer une télévision locale », se souvient Pierre-Louis de Ligault, vice-président et caméraman d'Auray télévision.

Un vaste terrain d'apprentissage

Parainnée par la mairie d'Auray, la fédération des commerçants et le Rugby-club d'Auray, l'équipe ne tarde pas à proposer ses services lors de diverses animations telles que la Fête du sport, les Joutes du Loch, la fête de la Musique, le feu d'artifice ou encore les Jeudis du port... « Notre but est de faire découvrir notre ville, Auray, à travers la culture, le patrimoine, la jeunesse, le sport, l'économie et social, explique l'équipe. Néanmoins, nous mettons un point d'honneur à ne faire aucun sujet politique ou religieux ».

Bientôt en direct

À la rentrée, les choses vont s'accélérer pour Auray télévision. En plus des quelques vidéos d'ores et déjà disponibles sur leur chaîne Youtube « Auray télévision », l'équipe devrait passer au direct courant septembre. « On va transmettre en direct sur notre chaîne Youtube aussi bien des débats d'intérêt général que des matchs de rugby importants », précise Pierre-Louis de Ligault. En projet également, un film sur la prévention de la drogue et de l'alcool, en partenariat avec le service jeunesse et le conseil départemental. « On est aussi en train de travailler sur la mise en place d'un bref résumé hebdomadaire de ce qui se passe dans la ville, un genre d'agenda », explique le président de l'association, Jean-Michel Maignent. Des tas de projets donc, qui devraient se concrétiser par l'obtention d'un local où l'équipe pourrait y établir son studio de montage et pourquoi pas, dans quelque temps, son plateau télévision.

En attendant, l'heure est à la reprise du lycée pour quatre des cinq membres de l'équipe. Mais comme le dit Pierre-Louis de Ligault, « Les études passent avant tout, mais on aura toujours un petit moment à consacrer à notre passion... »

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