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Jours tranquilles à Paris
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16 mai 2020

Banksy

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8 mai 2020

Banksy

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Banksy transforme les infirmières en super-héroïnes dans un tableau qu'il offre aux soignants britanniques

Intitulé Game changer, le tableau montre un jeune garçon délaissant ses figurines de super-héros pour jouer avec une poupée d’infirmière masquée.

Banksy, comme de nombreux de ses confrères street-artistes, voulait faire un geste pour le personnel soignant des hôpitaux britanniques. Pour les remercier, il vient d’offrir au Southampton General Hospital un tableau qu’il a peint récemment. L’artiste a laissé une note avec son œuvre : « Merci pour tout ce que vous faites. J’espère que cela éclairera un peu le lieu, même si ce n’est qu’en noir et blanc. »

Intitulé Game changer (qui change la donne), le tableau représente un jeune garçon en salopette, assis sur ses genoux, en train de jouer. Le garçon, qui a délaissé ses traditionnelles figurines de super-héros – on peut voir Batman et Spider-Man dans une petite corbeille à droite qui ressemble à une poubelle – joue avec une poupée d’infirmière affublée d’un masque de protection et d’une cape de super-héroïne.

L’œuvre est exposée dans le foyer près du département des urgences de l’hôpital, et le restera jusqu’à cet automne, après quoi elle sera mise aux enchères afin de récolter des fonds pour le National Health Service.

24 avril 2020

Banksy masqué

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17 avril 2020

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11 mars 2020

Coup de com ou intox : Banksy, voleur de ses propres œuvres ?

Banksy, à l’origine du vol d’une de ses œuvres ?

L’affaire n’en finit plus de rebondir. Un des suspects du Rat au cutter volé dans la nuit du 1 er au 2 septembre, aurait agit pour le compte de Banksy lui-même.

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Le rat au cutter de Banksy ou l’histoire sans fin

Les faits en bref :

25 juin 2018: réalisation par Banksy d’un pochoir

Un rat foulard sur le museau, cutter entre ses griffes, est réalisé par l’artiste pour commémorer les 50 ans de mai 68. Il l’identifie dès le lendemain sur son compte instagram : « Fifty years since the uprising in Paris 1968. The birthplace of modern stencil art » (« cinquante ans depuis le soulèvement de 1968 à Paris. Le berceau de l’art du pochoir »).

1 er – 2 septembre 2019 : vol de l’œuvre

Malgré les précautions, le pochoir disparaissait.

3 septembre : Plainte du Centre Pompidou

Le Centre Pompidou porte plainte « pour vol et dégradation, au sein d’un espace relevant de son périmètre ».

4-5 février 2020 : mise en examen par un juge d’instruction de 2 suspects.

Deux hommes, 32 et 35 ans, sont interpellés dans le Val-d’Oise et en Seine-et-Marne mardi matin.

Début mars 2020 : un des suspects, Mejdi R., dit avoir été chargé par Banksy lui-même de voler cette œuvre.

Le suspect n’aurait agit que sur commande de Banksy. Banksy serait donc lui-même l’auteur du vol. Mensonge ou spéculation ?

6 mars 2020

Sur ses réseaux sociaux, Banksy dément l’information pourtant soutenue à nouveau par le suspect Mejdi R. lors de son audition le même jour.

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8 mars 2020

Banksy

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6 mars 2020

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14 février 2020

Le cadeau de Banksy à Bristol pour la Saint-Valentin

7 février 2020

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22 décembre 2019

Banksy dévoile sa crèche de Noël emmurée à Bethléem

La crèche de Bansky a été dévoilée sans l'artiste, dans l'hôtel qu'il possède à Bethléem, en Cisjordanie occupée.

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La crèche de Banksy à Bethléem

SYMBOLIQUE - Une petite crèche disposée devant des pans de mur transpercés par un obus: à quelques jours de Noël, la dernière oeuvre de l’artiste Banksy a été dévoilée dans la symbolique ville de Bethléem, en Cisjordanie occupée.

L’artiste de rue britannique, qui entretient le plus grand mystère sur son identité, n’était pas présent vendredi lors de la présentation de cette oeuvre, intitulée “La cicatrice de Bethléem”.

Celle-ci est exposée dans l’entrée de l’hôtel “Walled-Off” que Banksy a ouvert en 2017 dans la ville palestinienne et dont les chambres donnent sur le mur érigé par Israël et qui empiète en Cisjordanie.

Des mini pans de mur, sur lesquels des tags appellent à la paix et à l’amour, servent d’arrière plan à une crèche posée sur une petite table, avec à son pied des cadeaux. L’impact de l’obus sur le mur fait penser à une étoile au dessus de Marie, Joseph et Jésus, entourés d’une vache et d’un âne.

Pour le directeur de l’hôtel Wissam Salsaa, “La cicatrice de Bethléem” symbolise une “cicatrice de la honte”.

“Le mur symbolise la honte pour tous ceux qui soutiennent ce qu’il se passe sur notre terre, tous ceux qui soutiennent l’occupation illégale” par Israël de la Cisjordanie, depuis 1967.

L’Etat hébreu a commencé en 2002 la construction d’une barrière, composée par endroits de blocs de béton de plusieurs mètres de haut, pour se protéger des incursions de Cisjordanie en pleine vague d’attentats palestiniens au cours de la deuxième Intifada (2000-2005). La Cour internationale de justice a déclaré illégale sa construction en 2004.

Israël affirme que la barrière continue de le protéger d’attaques d’assaillants venant de Cisjordanie. Pour les Palestiniens, la barrière est l’un des symboles les plus honnis de l’occupation israélienne.

Graffitis subversifs -

Les conflits, le mur et les Territoires palestiniens sont depuis longtemps une source d’inspiration pour Banksy, rendu célèbre par ses peintures au pochoir dans l’espace public.

Avec celle-ci, il contribue ”à sa manière” aux festivités de Noël qui auront lieu la semaine prochaine à Bethléem, ville où est né Jésus selon la tradition chrétienne.

“C’est une façon formidable et différente de parler de Bethléem, pour pousser les gens à réfléchir davantage à la manière dont nous vivons ici”, a déclaré M. Salsaa, qui n’était pas en mesure d’indiquer si l’oeuvre était vouée à rester dans son établissement.

Banksy “essaye de diffuser la voix des Palestiniens dans le monde à travers l’art et crée un nouveau modèle de résistance grâce à cet art”, s’est félicité M. Salsaa.

L’artiste a commencé à se faire connaître en 2003 en Angleterre par ses graffitis subversifs ―gardes royaux en train d’uriner sur un mur, policiers échangeant un baiser passionné.

Il s’était déjà rendu à Bethléem en 2007, laissant derrière lui un certain nombre de graffitis sur le mur de sécurité, dont une fillette fouillant au corps un soldat israélien les bras en l’air, son fusil posé à côté de lui.

En 2005, il avait peint neuf pochoirs ―dont une échelle posée sur le mur ou une petite fille emportée par des ballons― voulant mettre en évidence l’impact du mur sur la vie des Palestiniens.

Le mur de sécurité est devenu à la fois un lieu de protestation et un terrain d’expression politico-artistique. Les fresques qui le recouvrent par endroits en font une attraction pour les touristes.

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