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Jours tranquilles à Paris
barack obama
11 décembre 2013

Barack Obama et Raul Castro aux obsèques de Nelson Mandela

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28 septembre 2013

Iran-Occident : comment un coup de fil historique entre Obama et Rohani va déclencher un bouleversement au Moyen Orient

rtrblwqCa y est, la semaine tant attendue est terminée. Le nouveau Président iranien, Hassan Rohani, est arrivé à New York en star sous les feux des projecteurs, le sourire aux lèvres. Il a volé la vedette à l‘ensemble des autres chefs d’Etat et a été suivi par une cohorte de journalistes. En effet, la planète entière était aux aguets pour comprendre la personnalité de cet élu que tous qualifiaient de modéré. Il s’agissait de vérifier que, comme annoncé, il y aurait une rupture, tant anticipée, avec la présidence chaotique de son prédécesseur, Ahmadinejad. Tous furent rassurés. Ce membre du clergé iranien s’est employé à chaque instant à convaincre les observateurs que non seulement le ton avait changé en Iran mais aussi que la substance avait été métamorphosée.

Rohani s’est efforcé de véhiculer l’idée qu’entre lui et son prédécesseur ce n’était pas une histoire de bonnet blanc et blanc bonnet mais qu’il existait une véritable différence. Il s’est même abstenu de mentionner le nom d’Israël dans son discours devant l’assemblée générale de l’ONU en contraste radical avec son prédécesseur. Alors qu’Ahmadinejad ne cessait d’invectiver l’Occident en donnant des leçons de moralité, de nier la Shoah et d’appeler de ses vœux la destruction de l’Etat d’Israël ; Rohani, en revanche, a réservé une surprise nouvelle pour chaque jour de sa présence aux Etats-Unis.

Cela a commencé par un changement de ton. Fini les invectives. Fini le discours millénariste. Fini l’attitude belliqueuse d’un Ahmadinejad se pavanant des attributs d’un paon rempli de certitudes, servant la théorie du complot sioniste à la communauté internationale tant à propos du 11 septembre que de l’Holocauste. Rohani a interpellé tous les observateurs par la novation qu’il a apportée. Après avoir préparé l’Occident au changement par son message de nouvel an adressé au peuple juif, il a radicalement rompu avec Ahmadinejad en reconnaissant la Shoah et en condamnant le génocide juif de la Seconde guerre mondiale. En libérant des prisonniers politiques dans son pays avant son arrivée à New York, il a traduit son souhait de changement à l’intérieur même de son pays.

En insistant sur le fait qu’il avait le soutien du Guide suprême, il a coupé court à l’argumentaire des pessimistes qui persistaient à le présenter comme un pantin entre les mains de l’homme fort du régime. Le Guide lui-même, en rappelant à l’ordre la milice armée du régime, les gardiens de la révolution, a apporté son concours à l’initiative de paix personnifiée par le Président iranien. Ceci a valu à Obama l’abandon de la phrase « toutes les options sont sur la table » dans son discours. Phrase qui brandissait en permanence la menace de frappe contre l’Iran.

En demandant à Javad Zarif, son Ministre des affaires étrangères, de changer de fusil d’épaule, il a fait dire à l’ensemble des ministres du groupe de 5+1 que l’Iran semblait avoir changé et que le dialogue avec ce pays s’avérait être constructif après tant d’années de langue de bois et d’inertie. Soudain donc, les mêmes paroles que l’Iran ne cessait de répéter à travers les années, prenaient un sens nouveau. Elles devenaient crédibles. Comme si dans la bouche de Rohani la proclamation selon laquelle l’Iran ne cherchait pas à développer la bombe prenait un sens nouveau. Alors que la même phrase dans la bouche de son prédécesseur semblait vide de sens. Même la « fatwa » du guide suprême contre les armes nucléaires, maintes fois réitérée, rappelée par Rohani, paraissait plus crédible et reconnue comme telle par Obama

Et voilà qu’en ce vendredi, un entretien téléphonique venait d’avoir lieu, à « l’improviste », entre Rohani et Obama. Une première depuis 1979. Voici 35 ans que les dirigeants iraniens n‘avaient pas échangé avec un Président américain. Voici chose faite. La voie diplomatique est maintenant la seule à être choisie par les parties. Il est peut-être même possible que le calendrier de 3 à 6 mois dépeint et souhaité par Rohani pour aboutir à une solution sur le nucléaire soit une réelle possibilité. Il était venu à New York pour mettre un terme aux sanctions qui asphyxient l’économie de son pays. Il était venu avec l’espoir d’entamer le retour de l’Iran dans le concert des nations, en mettant un terme à l’ostracisme que subissait l’Iran depuis 35 ans. Il était venu pour expliquer aux américains que comme eux, l’Iran combattait Al-Qaeda et le djihadisme.

Article de :  Ardavan Amir-Aslani, avocat et essayiste, spécialiste du Moyen-Orient. Il tient par ailleurs un blog www.amir-aslani.com, et alimente régulièrement son compte Twitter: @a_amir_aslani.

5 septembre 2013

La une de Libération de ce matin

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2 septembre 2013

La une de Libération de ce matin

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1 septembre 2013

Syrie : tu veux ou tu veux pas...

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31 août 2013

SYRIE : wait and see...pas avant le 9 septembre !

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Barack Obama a déclaré, samedi 31 août, qu'il avait pris la décision de principe de frappes contre le régime syrien mais demandé au Congrès de donner son feu vert à une telle opération, éloignant la perspective d'une intervention américaine à court terme.

"J'ai décidé que les Etats-Unis devraient agir militairement contre des cibles du régime syrien", et le pays est "prêt à frapper quand nous le choisirons", a affirmé le président américain dans une intervention solennelle depuis la Maison blanche, en exhortant les élus à soutenir une telle opération au nom de la "sécurité nationale" des Etats-Unis. Le Congrès est en vacances jusqu'au 9 septembre et M. Obama a semblé indiquer qu'il ne serait pas rappelé en session extraordinaire.

Après le départ de Syrie, samedi, des experts de l'Organisation des Nations unies, une "fenêtre d'opportunité" pour d'éventuelles frappes s'est ouverte, selon les experts – malgré l'opposition à une intervention militaire de Londres, Moscou et Pékin. Les présidents américain, Barack Obama, et français, François Hollande, veulent adresser un "message fort" au régime du président Assad, qu'ils tiennent pour "responsable" de l'attaque du 21 août dans la banlieue de Damas.

29 août 2013

Martin Luther King

25 août 2013

Quelles options pour les Etats-Unis avant une intervention en Syrie ?

Barack Obama examine d'éventuelles options militaires contre la Syrie. Après une première réunion jeudi à la Maison Blanche, le président américain a de nouveau convoqué, samedi 24 août, "son équipe de sécurité nationale (...) pour discuter des allégations d'attaque aux armes chimiques par le gouvernement syrien", a annoncé un responsable de la présidence.

La Maison Blanche est sous pression depuis que l'opposition syrienne a accusé Damas d'avoir mené une attaque de grande ampleur aux armes chimiques, qui aurait tué au moins 1 300 morts, mercredi. En retrait par rapport à ses alliés européens, le chef de l'exécutif des Etats-Unis reste extrêmement prudent sur ces allégations, niées en bloc par le président syrien, Bachar Al-Assad. Barack Obama est aussi très réticent à toute nouvelle aventure militaire au Moyen-Orient.

Comment agir sans s'embourber dans une situation dans une situation difficile ? Francetv info résume les options dont le président américain dispose.

Vérifier les faits

La Maison Blanche a répété, samedi, que Barack Obama avait ordonné à ses services de renseignement de "regrouper faits et preuves afin de déterminer ce qui s'est passé en Syrie". "Une fois que nous aurons vérifié tous les faits, le président prendra une décision avisée sur la manière d'y répondre", a insisté le responsable américain. "Nous allons agir de façon réfléchie afin de prendre des décisions en accord avec nos intérêts nationaux ainsi qu'avec notre évaluation de ce qui peut faire avancer nos objectifs en Syrie", a-t-il ajouté.

Il n'empêche que le patron du Pentagone Chuck Hagel a annoncé le déploiement de moyens militaires. L'objectif est de fournir des "options" au président, s'il devait donner l'ordre d'une intervention en Syrie.

Déployer un 4ème destroyer équipé de missiles en Méditerranée

Ces moyens comprennent l'envoi en Méditerranée d'un quatrième destroyer équipé de missiles de croisière, a annoncé vendredi un responsable de la Défense américain. La VIe flotte américaine, responsable de la Méditerranée, a donc décidé de laisser sur zone l'USS Mahan, qui devait initialement retourner à son port d'attache de Norfolk sur la côte est américaine et être remplacé par l'USS Ramage.

Au total, quatre destroyers (le Gravely, le Barry, le Mahan et le Ramage) tous équipés de plusieurs dizaines de missiles de croisière Tomahawk, contre trois habituellement, vont donc croiser en Méditerranée.

Rester prudent

Si ce renfort permet au Pentagone, qui a mis à jour ces plans d'action militaire en Syrie, d'agir plus rapidement en cas d'intervention, le président américain n'a pas franchi ce pas. Ni l'envoi de "troupes au sol, (ni) une zone d'exclusion aérienne n'ont été discutés" lors de la réunion jeudi à la Maison Blanche, a confié un responsable du département d'Etat.

Lors d'un entretien vendredi sur CNN, Barack Obama s'est montré très prudent. "Nous voyons des gens qui réclament une action immédiate. (Mais) se précipiter pour faire des choses qui tourneraient mal, nous embourber dans des situations très difficiles, peut nous entraîner dans des interventions très compliquées et coûteuses qui ne feraient qu'alimenter encore le ressentiment dans la région", a-t-il argumenté.

15 août 2013

Barack Obama s'exprimera à 16h15 (heure française) depuis son lieu de vacances au sujet de la situation en Egypte

La presse américaine attend avec impatience la prise de parole de Barack Obama. Le président des Etats-Unis n'avait pas voulu voir la chute de Mohamed Morsi comme le résultat d'un coup d'Etat fomenté par l'armée, pour ne pas interrompre ses relations avec son allié principal dans la région. Il sera peut-être obligé de revoir sa position après les derniers événements.

 

19 juin 2013

FEMEN : Obama, help !

FEMEN appeal to the leader of world democracy the president of USA Barack Obama about the violation of human rights in the Middle East and ask to contribute to the release of Tunisian prisoners of FEMEN. Obama help FEMEN! Berlin police break up topless FEMEN protest.

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