La Grande-Bretagne n'est plus épargnée par les agences de notation. Vendredi 22 février, Moody's a annoncé qu'elle dégradait la note du pays, qui passe du maximum, AAA, à Aa1. Elle justifie cette décision par des perspectives de croissance faible.

EUROPE - Ils n'y a pas que les pro-européens de Bruxelles qui sont tentés de pousser le Royaume-Uni vers la sortie. Selon une enquête BVA pour l'édition dominicale du Parisien, une majorité de Français (52%) est favorable à une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Dans cette enquête, les sympathisants de gauche sont à 54% favorables à la sortie du Royaume-Uni de l'UE tandis que les sympathisants de droite sont à 52% pour son maintien. Pour mémoire, les Français avaient été 68 % a répondre oui lors du référendum de 1973 sur l'entrée de la Grande Bretagne dans l'Union européenne, rappelle Le Parisien. Sauf que... le Journal du Dimanche publie une enquête démontrant l'inverse. D'après l'hebdomadaire, 58% des Français sont en faveur du maintien de Londres dans l'UE. Mercredi 23 janvier, le Premier ministre britannique s'est engagé à tenir un référendum d'ici à 2017 sur le maintien ou non du Royaume-Uni dans l'Union européenne, s'il remporte les législatives de 2015. "Ce sera un référendum sur une question claire : in/out [dedans ou dehors]" a-t-il promis. Sondage Ifop/JDD réalisé en ligne du 24 au 25 janvier auprès d'un échantillon de 987 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).  Sondage BVA/Le Parisien réalisé les 24 et 25 janvier en ligne auprès d'un échantillon de 1.136 personnes recrutées par téléphone, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Source : Francetv info avec AFP

David Cameron veut un référendum sur le maintien ou non du Royaume-Uni dans l'UE d'ici à 2017

Le Premier ministre britannique a indiqué, mercredi 23 janvier, vouloir organiser un référendum d'ici à 2017 sur le mainitien ou non du Royaume-Uni dans l'Union européenne s'il remporte les élections de 2015. Dans un discours très attendu sur l'Europe prononcé à Londres, David Cameron a averti que sans réforme de l'Union européenne, les Britanniques risquaient de "dériver vers la sortie".

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Martin Schulz président du Parlement européen

"Nous avons besoin d'un Royaume-Uni membre à part entière, qui ne reste pas ancré dans le port de Douvres."

Le responsable allemand a réagi sur Twitter à la proposition de David Cameron d'organiser un référendum au Royaume-Uni sur la sortie de l'UE. "L'Europe 'à la carte' de Cameron n'est pas une option", a-t-il averti.

Faut-il armer la résistance syrienne ? Après avoir ouvert la porte à cette hypothèse mardi, François Hollande évoquera la question demain avec le chef de l’opposition syrienne, cheikh Ahmad Moaz al-Khatib, qu’il recevra à l’Elysée. Hier, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a reçu ses homologues allemand, polonais, espagnol et italien pour poser la question. Et en début de semaine prochaine, tous les ministres de l’Union européenne débattront de la levée de l’embargo européen sur les livraisons «d’armes défensives». La voie a été ouverte par l’unification de l’opposition syrienne, condition préalable requise par les pays occidentaux.

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François Hollande a estimé que les pays de l'Union européenne étaient "tout près" d'une sortie de crise de la zone euro, dans un entretien à plusieurs journaux européens, dont Le Monde, donné à la veille d'un nouveau sommet à Bruxelles. "Sur la sortie de la crise de la zone euro, nous en sommes près, tout près. Parce que nous avons pris les bonnes décisions au sommet des 28 et 29 juin et que nous avons le devoir de les appliquer, rapidement", déclare le président français.

Michel Barnier, commissaire français européen au Marché intérieur. "Il n'y a pas d'autre exemple de continent qui s'organise ainsi pour mutualiser son destin, exister dans le monde et continuer à peser dans le monde." "(Ce prix) est décerné à l'Union et à toutes celles et tous ceux qui ont depuis 1950 eu l'audace, le courage de participer à ce projet de paix et de progrès", a-t-il ajouté. Photo : Michel Barnier au Salon du Livre 2008

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Un prix Nobel de la paix amplement mérité (Article du Monde - pour abonnés)

Valéry Giscard d'Estaing Ancien président de la République

"Il est juste que l'effort extraordinaire accompli par les Européens et leurs dirigeants pour établir une paix définitive sur leur continent, historiquement ravagé par les guerres, soit reconnu et honoré"

L'ancien président, qui s'est particulièrement impliqué dans la construction européenne ces dernières décennies, salue l'attribution du prix Nobel de la paix à l'Union européenne.

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