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Jours tranquilles à Paris
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16 octobre 2019

Valerio Adami- La gloire des années 80- DERNIERS JOURS à la Galerie Templon

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Galerie Templon

La Galerie Templon revient sur l'éclosion de l'artiste Valerio Adami

Sa peinture associe le savoir, la mémoire et les émotions. Valerio Adami est un artiste précoce formé dans la tradition du dessin néo-classique à l’Académie des Beaux-Arts de Brera en Italie, où il fait une rencontre fondatrice pour son parcours alors qu’il n’a que 16 ans : Oscar Kokoschka, dont il découvre le Prométhée à la Biennale de Venise, lui faisant comprendre la dimension mentale et la puissance intellectuelle de la peinture. Grand voyageur, il rencontre des poètes et des écrivains du monde entier qui nourrissent sa propre réflexion sur la construction de ses dessins et de ses tableaux. Sa peinture est le fruit d’une analyse subtile, ancrée dans la tradition classique occidentale dont il est issu pour créer une œuvre à la fois hors du temps et profondément moderne, grâce à des aplats figuratifs aux couleurs vives contournées de noir, rappelant le style de la bande dessinée. En présentant un choix d’œuvres des années 80, le parcours porte un nouvel éclairage sur une période qui a vu l’artiste s’épanouir – c’est d’ailleurs lors de celle-ci qu’il réalise les vitraux de l’Hôtel de Ville de Vitry, les fresques du Théâtre du Châtelet puis de la Gare d’Austerlitz. Le voyage devient dès lors un thème récurrent dans une œuvre où Adami ne cesse de tisser des liens entre les générations et les territoires.

His painting combines knowledge, memory and emotions. Valerio Adami is an early artist trained in the tradition of neo-classical drawing at the Brera Academy.

GALERIE TEMPLON

Jusqu'au 19 octobre 2019

30, rue Beaubourg, 75003 Paris

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12 octobre 2019

Au cours d'une exposition à la Galerie Templon...

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1 octobre 2019

Valerio Adami - La gloire des années 80

Galerie Templon

La Galerie Templon revient sur l'éclosion de l'artiste Valerio Adami

Sa peinture associe le savoir, la mémoire et les émotions. Valerio Adami est un artiste précoce formé dans la tradition du dessin néo-classique à l’Académie des Beaux-Arts de Brera en Italie, où il fait une rencontre fondatrice pour son parcours alors qu’il n’a que 16 ans : Oscar Kokoschka, dont il découvre le Prométhée à la Biennale de Venise, lui faisant comprendre la dimension mentale et la puissance intellectuelle de la peinture. Grand voyageur, il rencontre des poètes et des écrivains du monde entier qui nourrissent sa propre réflexion sur la construction de ses dessins et de ses tableaux. Sa peinture est le fruit d’une analyse subtile, ancrée dans la tradition classique occidentale dont il est issu pour créer une œuvre à la fois hors du temps et profondément moderne, grâce à des aplats figuratifs aux couleurs vives contournées de noir, rappelant le style de la bande dessinée. En présentant un choix d’œuvres des années 80, le parcours porte un nouvel éclairage sur une période qui a vu l’artiste s’épanouir – c’est d’ailleurs lors de celle-ci qu’il réalise les vitraux de l’Hôtel de Ville de Vitry, les fresques du Théâtre du Châtelet puis de la Gare d’Austerlitz. Le voyage devient dès lors un thème récurrent dans une œuvre où Adami ne cesse de tisser des liens entre les générations et les territoires.

His painting combines knowledge, memory and emotions. Valerio Adami is an early artist trained in the tradition of neo-classical drawing at the Brera Academy.

GALERIE TEMPLON

Jusqu'au 19 octobre 2019

30, rue Beaubourg, 75003 Paris

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26 septembre 2019

Prune Nourry à la Galerie Templon

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Prune Nourry

Après son succès au musée Guimet en 2017, Prune Nourry investit pour la première fois l’espace de la galerie Templon rue du Grenier Saint Lazare et présente Catharsis. L’exposition, qui sera inaugurée le 7 septembre, rassemble un ensemble de nouvelles sculptures en dialogue avec des extraits de Serendipity, son premier long métrage documentaire.

L'exposition Catharsis marque un tournant dans la démarche créatrice de l’artiste. Depuis plus de douze ans, Prune Nourry développe une œuvre pluridisciplinaire, puissante et sensible explorant le corps au filtre de la question du genre et de l'hybridation. Objective comme un chercheur ou un anthropologue, elle tenait son sujet à distance. Récemment soignée pour un cancer du sein, la jeune femme s’est sentie devenir, le temps du traitement de la maladie, sujet de son propre travail et sculpture aux mains des médecins. Avec Catharsis, armée de ses outils de sculpteur, Prune Nourry se réapproprie son corps et sa féminité, tissant un écho intime entre ses recherches passées et son expérience de vie.

Toutes les sculptures de l’exposition s'inscrivent dans la lignée des ex-voto, ces offrandes populaires qui, sous la forme d’un objet, d’un membre ou d’un organe, cristallisent les remerciements ou les espoirs de guérison des hommes et des femmes confrontés à la peur, à l'infertilité et à la maladie. A toutes les époques et dans toutes les cultures, on retrouve cette idée de transfert d’une émotion vers un objet. Pour créer les œuvres de l'exposition Catharsis, Prune Nourry a travaillé avec des archéologues, des sociologues et des artisans et s'est nourrie des différentes formes et matériaux empruntés par ces objets.

L'exposition présente quelques extraits choisis du film Serendipity où l’artiste explore la connexion étrange entre ses œuvres passées et sa maladie. Le film témoigne de son parcours transformant son traitement médical en une véritable épopée artistique.

Dans la dernière séquence du film Serendipity apparaît The Amazon, une sculpture monumentale de 4 mètres de haut, en béton et yeux de verre, inspirée d'un marbre antique du Metropolitan Museum of Art représentant une amazone blessée. Cette œuvre a été créée par Prune Nourry dans un geste cathartique contre la maladie. Empruntant à la tradition des ex-voto, notamment les "Mizuko Kuyo" japonais, l’œuvre est recouverte de milliers de bâtons d’encens. Lors d’une performance publique au cœur de Manhattan, l’encens est parti en fumée, comme un symbole de guérison. Dans l’exposition Catharsis, une sculpture miniature en bronze, simulacre de la sculpture monumentale, est la mémoire de ce geste.

Datées de 2010, les œuvres en verre de laboratoire In Vitro témoignent de la « sérendipité » à l'œuvre dans le travail de Prune Nourry. Ces œuvres ainsi que l’intrigante River Woman produite pour Glasstress 2019 dans le cadre de la Biennale de Venise sont des ex-voto des temps modernes où les espoirs de fertilité prennent la forme de tubes à essais dans les hôpitaux de procréation médicalement assistée.

Catharsis partage avec le regardeur l’espoir de l’homéostasie du corps et de l’équilibre de l’âme.

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10 septembre 2019

A la Galerie Templon actuellement...

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2 juin 2019

GALERIE TEMPLON : KEHINDE WILEY Tahiti - Kehinde Wiley Jusqu'au 20 JUILLET 2019 PARIS – GRENIER SAINT LAZARE

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KEHINDE WILEY  

Tahiti - Kehinde Wiley         

Jusqu'au 20 JUILLET 2019

PARIS – GRENIER SAINT LAZARE      

Je m’intéresse à la transformation et à l’artifice. Ma dernière exposition en date abordera l’histoire de France et son attitude extérieure envers les corps à la peau noire ou brune, spécifiquement en ce qui concerne les penchants sexuels. Gauguin est très présent dans l’imaginaire de la France et de son interface mondiale – invitant à sa suite une histoire tout entière, celle d’un regard ambigu. J’interroge, j’absorbe et je contribue aux discours sur les Māhū, sur la France, et sur l’invention du genre.

– Kehinde Wiley, 2019

Kehinde Wiley, star de la scène artistique américaine et portraitiste officiel de Barack Obama, est de retour à Paris. Pour sa première exposition parisienne depuis celle du Petit Palais en 2016, il dévoilera une série inédite de peintures ainsi qu’une installation vidéo basée sur son séjour à Tahiti au cours de cette dernière année.

Les nouvelles œuvres de Wiley portent sur la communauté Māhū de Tahiti, classification traditionnelle en Polynésie des personnes de troisième genre, entre homme et femme. Les Māhū jouissaient d’un grand respect au sein de leur société avant d’être exclus par les missionnaires catholiques et protestants. Renvoyant et se confrontant aux célèbres tableaux de Paul Gauguin où figurent également des sujets de la communauté transgenre, les portraits de belles Tahitiennes transgenres de Wiley sont cependant chargés de connotations historiques ayant trait au colonialisme et à l’objectivation sexuelle. Développant les questionnements sur l’identité masculine et la virilité déjà en filigrane dans ses précédents portraits, ces nouvelles œuvres explorent la question identitaire sous l’angle de la transformation et abordent l’artifice comme l’artificiel en tant que phénomène transculturel.

Au cours des quinze dernières années, Wiley a élaboré un remarquable corpus d’œuvres qui, tout en l’interrogeant, contribue au canon de l’art du portrait de l’histoire de l’art occidental. La rencontre de Wiley avec Tahiti s’inscrit dans la continuité des voyages de l’artiste à travers le monde contemporain à la suite de son exploration de l’Amérique du Nord, de l’Asie du Sud et de l’Afrique de l’Ouest. L’attention que Wiley porte à Tahiti offre à présent l’occasion de se livrer à un réexamen de la France, de son histoire coloniale et de son image à travers le prisme des tableaux de Gauguin. Fidèle à sa démarche, l’exposition présente une perspective politique et esthétique singulière sur le pouvoir de l’art à infléchir les perceptions et à donner une visibilité aux figures oubliées de l’histoire.

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1 juin 2019

GALERIE TEMPLON : PHILIP PEARLSTEIN At 95 Jusqu'au 20 JUILLET PARIS - 30 RUE BEAUBOURG

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PHILIP PEARLSTEIN        

At 95  

Jusqu'au 20 JUILLET          

PARIS - 30 RUE BEAUBOURG   

« Je souhaitais créer une peinture forte et agressive qui puisse concurrencer le meilleur de l’abstraction ». Ainsi s’exprime, Philip Pearlstein, un des grands maîtres de la peinture figurative américaine, qui a choisi Paris pour souffler ses 95 bougies, le 24 mai 2019.

A cette occasion, la Galerie Templon propose un parcours rétrospectif de cet artiste profondément original, qui, même s’il partagea dans sa jeunesse les mêmes bancs d’école qu’Andy Warhol, s’engagea dans une direction tout autre : un retour à la peinture d’atelier, uniquement à partir de modèles vivants, nus, mis en scène dans des compositions à la fois complexes et incongrues.

A travers une quinzaine de toiles, de 1969 à 2018, se dessine un travail intègre et toujours novateur malgré l’apparent dépouillement des sujets. Dès les années soixante, Philip Pearlstein définit un protocole radical qu’il suit encore aujourd’hui, quotidiennement. Il élabore des scénographies décalées dans lesquelles des modèles, hommes ou femmes, masqués ou dévêtus, posent de longues heures, pendant des semaines. Chineur compulsif et collectionneur passionné, il les immerge dans des décors savants où se mêlent meubles dépareillés, tapis à motifs, jouets vintage, sculptures africaines, masques ethniques, gadgets... Philip Pearlstein peint ensuite méticuleusement ses modèles, d’une touche à la fois neutre et attentive, évacuant toute tentative de psychologie. Le résultat, frontal et réaliste, s’émancipe de toute interprétation narrative, et propose une réflexion dérangeante sur la puissance de la peinture, la perception et les conventions de la représentation.

Il invente ainsi une figuration du corps humain loin de tout académisme, qui renouvelle la notion de portrait. Dans la lignée d’un Lucian Freud ou d’une Alice Neel, il s’inscrit comme eux dans une revendication d’un retour à la peinture de portrait, au nu, mais chez lui, il y a la volonté de concurrencer l’abstraction moderne new yorkaise qu’il fréquente assidument, tout autant que l’art minimal ou conceptuel. Son approche pionnière et décomplexée de la figure humaine, a fait de lui un des précurseurs du « retour à la peinture » des années quatre-vingts aux Etats-Unis, annonçant par exemple le travail d’un Eric Fischl. Aujourd’hui, dans une époque si politiquement correcte, la radicalité de ses nus et le choix de ses cadrages sans séduction, restent d’une pertinence frappante.

Biographie

Né en 1924 à Pittsburgh en Pennsylvanie, Philip Pearlstein vit et travaille à Manhattan depuis près de 70 ans. Formé au Carnegie Institute of Technology de Pittsburgh, puis à la New York University Institute of Fine Arts, où il se lie d’amitié avec Ad Reinhardt, Philip Pearlstein a travaillé comme graphiste pour Life Magazine avant d’enseigner au Pratt Institute, Brooklyn puis au Brooklyn College, New York. Il a été également reçu comme artiste invité de nombreuses institutions prestigieuses américaines dont notamment l’Université de Yale.

Une rétrospective lui a été consacrée dès 1983 au Brooklyn Museum de New York. En 2018, la Saatchi Gallery de Londres lui consacrait une exposition remarquée. Il a récemment été exposé en 2017 au Susquehanna Art Museum (SAM), Harrisburg, Pennsylvanie, Etats-Unis, en 2014 au National Academy Museum, New York et au New York Studio School, New York (commissariat Robert Storr) et en 2013 au Museum of Fine Arts, St. Petersburg, Floride, Etats-Unis.

Son œuvre est représentée dans plus de soixante-dix collections publiques américaines – Museum of Modern Art, New York, Metropolitan Museum of Art, New York, The National Gallery of Art, Washington – mais aussi à la Tate Britain, Londres, à la Berlin National Galerie, au Museum Ludwig, Cologne et au Musée Berardo, Lisbonne.

La Galerie Templon a exposé l’artiste en 1998, en 2007 et en 2011.

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25 novembre 2018

David Lachapelle à la Galerie Templon

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22 novembre 2018

David Lachapelle à la Galerie Templon

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8 novembre 2018

Galerie Templon - DAVID LACHAPELLE - Letter to the World

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Galerie Templon

DAVID LACHAPELLE     

Letter to the World   

3 NOVEMBRE - 29 DÉCEMBRE 2018    

PARIS – GRENIER SAINT LAZARE

David LaChapelle revient à Paris avec une exposition conçue spécialement pour l’espace du 28 rue du Grenier Saint-Lazare. Scénographiée comme un parcours à travers l’imagination de l’artiste, Letter to the World réunit œuvres anciennes, devenues iconiques, et nouvelle production inédite.

Les deux étages de la galerie s’organisent comme un dialogue entre deux mondes : de la destruction à l’utopie, des excès à la rédemption.

Au sous-sol, David LaChapelle met en scène une civilisation au bord de l’effondrement, traversée par les excès de la société de consommation, le culte de la célébrité, et les dangers environnementaux. Seismic Shift, Death by Hamburger et Addicted to Diamonds cotoient les portraits d’Andy Warhol, David Bowie ou Michael Jackson. Des natures mortes déjantées répondent aux paysages industriels. Au-delà des interrogations politiques que cet ensemble soulève, se dessine en creux une réflexion sur le rôle de l’artiste et du spectateur : notre aspiration à la beauté et la jeunesse éternelle, le désir complice d’un bien être matérialiste toujours insatisfait.

Au rez-de-chaussée, David LaChapelle répond à ce monde apocalyptique par un « New World » fantastique. Guidé par son admiration pour les grands maîtres de l’histoire de l’art, il développe une vision onirique d’un paradis sauvage. Cela fait 10 ans que David LaChapelle s’est installé dans la jungle de Hawaï. En quête de spiritualité et d’une vie plus saine, il

révèle avec ses nouvelles photographies un aspect inattendu de ses recherches. Ses images sont baignées de couleurs électriques, composées comme des collages. Elles convoquent à la fois les débuts de la photographie, William Blake, Léonard de Vinci ou l’iconographie religieuse.

Pour la première fois, David LaChapelle expose également quelques-unes de ses toutes premières photographies, datées de 1983 à 1989. Réalisées en processus analogique avec peinture sur négatif, elles manifestent déjà la sensibilité de l’artiste et l’appel de la nature.

David LaChapelle entremêle avec virtuosité histoire de l’art et références populaires, street culture et questionnements métaphysiques, pour dresser une allégorie saisissante de la culture du XXIème siècle. L’un des photographes les plus publiés ces vingt dernières années, il se concentre depuis 2006 sur l’aspect artistique de sa pratique.

Ces dernières années, il a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles et rétrospectives à l’international y compris au Groninger Museum aux Pays-Bas (2018), à la Casa dei Tre Oci à Venise, au BAM à Mons et au ARA Modern Art Museum de Seoul (2017), à la Edward Hopper House, New York, au MOCA Bangkok et une rétrospective multi-site à Montevideo en Uruguay (2016), au Palazzo delle Esposizioni à Rome (2015), au Hangaram Art Museum en Corée (2012), à la Galerie Rudolfinum à Prague (2011/2012) et au Fotografiska Museet de Stockholm (2012), au Tel Aviv Museum of Art et au Museum of Contemporary Art de Taipei (2010), à La Monnaie de Paris (2009), au Palazzo Reale à Milan (2007) et au Barbican Centre de Londres (2002). Ses œuvres sont présentes dans de grandes collections internationales dont celles du Los Angeles County Museum of Art, de la National Portrait Gallery à Londres et de la National Portrait Gallery à Washington, D.C.

En 2017, LaChapelle a publié le projet le plus extensif de sa carrière : Lost & Found et Good News sont les deux derniers volumes d’une anthologie qui en compte cinq, LaChapelle Land (1996), Hotel LaChapelle (1999) et Heaven to Hell (2006).

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IMG_1951Reportage photographique : J. Snap

 

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