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Jours tranquilles à Paris
galerie templon
6 décembre 2014

David Lachapelle (photographe) actuellement exposé à la Galerie Daniel Templon

Cliquez ICI pour avoir plus d'informations sur l'exposition de David Lachapelle à la Galerie Templon

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25 novembre 2014

David Lachapelle (photographe) actuellement à la Galerie Daniel Templon

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Voir mon billet du 31 octobre 2014

31 octobre 2014

David Lachapelle (photographe) actuellement à la Galerie Daniel Templon - Vu ce soir

 

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Voir mes précédents billets sur David Lachapelle : 26/10/2014, 15/07/2014; 26/06/2014, 22/06/2014, 19/10/2013, 07/08/2013, 24/07/2013, 07/07/2013, 22/06/2013, 13/06/2013, 10/05/2013, 26/04/2013, 25/03/2013, 18/12/2012, 17/12/2012, 31/05/2012, 22/04/2012, 15/04/2012, 14/04/2012, 11/04/2012, 06/04/2012, 05/11/2011, 22/05/2011, 06/05/2011, 04/05/2011, 02/05/2011, 09/04/2011, 15/02/2011, 21/10/2010, 02/07/2010, 13/12/2009, 11/12/2009, 11/12/20009.

Pour y accéder (après avoir noté les différentes dates) voir l'historique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html

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David LaChapelle
LAND SCAPE
October 30 > December 23, 2014
Paris - 30 rue Beaubourg

Ceux que j'aime bien - David Lachapelle

Le photographe américain David LaChapelle revient à la Galerie Daniel Templon avec une exposition saisissante consacrée aux paysages industriels.

La série LAND SCAPE met en scène des maquettes d’infrastructures de production et de distribution du pétrole, illustrant leur impact sur la société contemporaine.

Photographiées dans les déserts et sur le littoral de Californie, les éblouissantes Refineries se dressent comme des sanctuaires du pétrole et du style de vie qu’elles rendent possible. L’envers de ce décor magique – constitué de produits de consommation courante – baigné d’une lumière éthérée, est la vision apocalyptique d’un système aux besoins insatiables.

Dans la série Gas Stations, des stations-services sont dissimulées au coeur de la végétation luxuriante de Maui (Hawaï). La forêt tropicale agit comme une force ambiguë, productrice et destructrice, source des énergies fossiles mais capable d’engloutir ces créations humaines. Le scintillement surnaturel et la composition des photographies évoquent des influences artistiques d’Edward Hopper à Ed Ruscha.

David LaChapelle entremêle avec virtuosité histoire de l’art et références populaires, street culture et questionnements métaphysiques, pour dresser une allégorie saisissante de la culture du XXIème siècle.

LAND SCAPE par David LaChapelle du 30 octobre au 23 décembre 2014

Galerie Daniel Templon

30 rue Beaubourg et Impasse Beaubourg

75003 Paris

du lundi au samedi de 10h à 19h

26 octobre 2014

David Lachapelle (photographe) à la Galerie Daniel Templon - à partir du 30 octobre

Le photographe américain David LaChapelle revient à la Galerie Daniel Templon avec une exposition saisissante consacrée aux paysages industriels.

La série LAND SCAPE met en scène des maquettes d’infrastructures de production et de distribution du pétrole, illustrant leur impact sur la société contemporaine.

Photographiées dans les déserts et sur le littoral de Californie, les éblouissantes Refineries se dressent comme des sanctuaires du pétrole et du style de vie qu’elles rendent possible. L’envers de ce décor magique – constitué de produits de consommation courante – baigné d’une lumière éthérée, est la vision apocalyptique d’un système aux besoins insatiables.

Dans la série Gas Stations, des stations-services sont dissimulées au coeur de la végétation luxuriante de Maui (Hawaï). La forêt tropicale agit comme une force ambiguë, productrice et destructrice, source des énergies fossiles mais capable d’engloutir ces créations humaines. Le scintillement surnaturel et la composition des photographies évoquent des influences artistiques d’Edward Hopper à Ed Ruscha.

David LaChapelle entremêle avec virtuosité histoire de l’art et références populaires, street culture et questionnements métaphysiques, pour dresser une allégorie saisissante de la culture du XXIème siècle.

LAND SCAPE par David LaChapelle du 30 octobre au 23 décembre 2014

Galerie Daniel Templon

30 rue Beaubourg et Impasse Beaubourg

75003 Paris

du lundi au samedi de 10h à 19h

 

24 mai 2014

Exposition à la Galerie Daniel Templon - Pierre et Gilles (photographes) - Attention derniers jours !

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9 mai 2014

Exposition à la Galerie Daniel Templon - Pierre et Gilles (photographes)

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Pierre et Gilles
Héros
April 10 > May 31, 2014
Paris - 30 rue Beaubourg

10 janvier 2014

Galerie Templon : Gérard Garouste

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Gérard Garouste est interne au Collège du Montcel puis fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris de 1965 à 1972, dans l'atelier « abstrait » de Gustave Singier2. Il découvre alors Marcel Duchamp et l'art conceptuel. À cette époque, il pratique essentiellement du dessin d'humour et crée de nombreuses scénographies pour son ami l'auteur et metteur en scène Jean-Michel Ribes (notamment sur les spectacles Il faut que le Sycomore coule, Jacky parady etc.). En 1977, il présente au Palace Le Classique et l'Indien, un spectacle dont il est l'auteur, le metteur en scène et le décorateur. Depuis 1979, il vit et travaille dans l'Eure. Il intervient au Palace jusqu'en 1982, comme scénographe et comme peintre. C'est une exposition de Jean Dubuffet et des œuvres d'art Brut qui le décident à s'orienter dans la voie de la peinture figurative à la fin des années 19702.

En 1980, il expose pour la première fois à la galerie Durand-Dessert, avec une peinture figurative, mythologique et allégorique. Sa première exposition internationale a lieu à New York en 1982 à la Holly Solomon Gallery. D'autres suivront, notamment chez Leo Castelli et Sperone. Il est le seul artiste français invité à l'exposition Zeitgeist à Berlin. La reconnaissance institutionnelle arrive en 1987, au CAPC de Bordeaux, où il présente conjointement huiles sur toiles et acryliques sur indienne, puis à la Fondation Cartier.

Il a réalisé des œuvres ou des décors pour le palais de l'Élysée, des sculptures de la cathédrale d'Évry, le plafond du théâtre de Namur, une fresque pour la salle des mariages du bel hôtel de ville gothique de Mons ou encore les vitraux de l'église Notre-Dame de Talant. En 1989, Garouste réalise le rideau de scène du théâtre du Châtelet.

Une étape importante de son action est la création en 1991 de l'association La Source, à La Guéroulde dans l'Eure, qui aide des enfants et des jeunes issus de milieux défavorisés, voire en situation d'exclusion, à s'épanouir en participant à des ateliers animés par des artistes professionnels.

Il reçoit commande, en 1996, d'une œuvre monumentale pour la Bibliothèque nationale de France, mêlant peinture et fer forgé. Sculpture et gravure l'attirent de plus en plus, ainsi que l'illustration de textes universels, de Don Quichotte à la Haggadah. En 2001, il présente, à la Fondation Cartier, Ellipse, ensemble de toiles montées sur une architecture qu'il a lui-même dessinée. En 2008, sur commande d'État, il crée la maquette d'une tapisserie d'Aubusson monumentale de 24 m2, le Murex et l'Araignée, installée dans l'escalier d'honneur de l'hôtel de ville d'Aubusson. Depuis 2001, il est représenté par la galerie Daniel Templon.

Ses peintures, figuratives, font souvent référence à la Bible qu'il étudie intensément parallèlement à l'apprentissage de l'hébreu entamé à la fin des années 90.

Gérard Garouste est le mari de la designer Elizabeth Garouste. Par ailleurs, il explique librement avoir régulièrement vécu des crises et des moments de délires psychiatriques, décrits dans son livre L'Intranquille, pour lesquels il a été traité notamment dans sa jeunesse à l'hôpital psychiatrique Paul-Guiraud de Villejuif3 et plus récemment à l'hôpital Sainte-Anne. Source Wikipedia

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Gérard Garouste
Contes ineffables
January 11 > February 26, 2014
Paris - 30 rue Beaubourg

22 décembre 2013

ASIM WAQIF à la Galerie Templon - vu hier (dernier jour)

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Un an après avoir créé l'événement au Palais de Tokyo avec son intervention Bordel Monstre, le jeune artiste indien Asim Waqit présente pour la première fois son travail en galerie, en France, avec une spectaculaire installation in situ interactive. L'immense structure de bambous Venu est chargée de capteurs qui répondent au toucher, aux sons, à la lumière et aux vibrations. Le visiteur est invité non seulement à expérimenter l'œuvre mais aussi à en être facteur, le déctencheur. Architecte de formation, Asim Waqif puise son inspiration dans notre environnement construit. Particulièrement attentif à la recherche sur les matériaux, aux politiques de développement urbain, et à la question du rebut, il fait appel à différents média-vidéo, installation, photographie, sculpture. Avec Venu, l'artiste met l'accent sur les concepts de durabilité et sur la complémentarité entre les traditions architecturales vernaculaires et les nouvelles technologies, II cherche à proposer une structure pertinente à la fois d'un point de vue écologique et culturel. L'artiste signe une fois de plus un commentaire sur le consumérisme contemporain. « La détérioration et la destruction ont un rôle important à jouer pour l'adaptation du dynamisme de la société » affirme-t-il.

22 décembre 2013

Yue Minjun à la Galerie Templon - vu hier - ATTENTION derniers jours

Yue Minjun (岳敏君 en chinois), né en 1962 dans la province de Heilongjiang en Chine, est un artiste chinois contemporain vivant à Beijing, en Chine, connu par ses toiles le dépeignant en diverses mises en scène, figé dans un rictus hilare. Source WIKIPEDIA

http://www.danieltemplon.com/pdf/artist/pdf_bio_285_us.pdf

Galerie Daniel Templon

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Alors que la Fondation Cartier revenait en 2012 sur le parcours du peintre Yue MlnJun, icône de l'art chinois contemporain, la Galerie Templon propose cet hiver et pour la première fois à Paris, un ensemble d'oeuvres récentes et inédites de l'artiste, réunissant peintures et sculpture monumentale. Probablement le peintre chinois le plus influent de sa génération, Yue Minjun s'est fait connaître par ses toiles ambigües, peuplées de personnages aux visages largement ouverts sur d'inquiétants sourires. L'artiste a adopte le rire comme thème central de son œuvre : rire stratégique, de dénonciation de l'absurdité du monde actuef, Il peut se charger de sens différents et lui permet de « cacher son impuissance » ou de caricaturer l'uniformisation de la société chinoise.
Devenu le modèle immuable de tous ses tableaux, le portrait de Yue Minjun est sans cesse réinterprété, parfois démultipiié, dans des compositions qui alternent éléments grotesques et poétiques. La nouvelle exposition à la Galerie Templon met en avant le thème de la vanité et celui de l'autoportrait.Yue Minjun est le représentant le plus connu des jeunes artistes chinois regroupés sous l'appellation de réalisme cynique, qui ont rompu avec le réalisme socialiste dans les années 1990. En ces temps de désillusion, liée à l'ouverture du pays au capitalisme de marché, ces créateurs sont « revenus à la peinture des choses authentiques et fiables » selon Yue Minjun.Dans la nouvelle série exposée à la galerie, on retrouve les énigmatiques mises en scène du peintre, ses portraits d'un rose vif, riant à gorge déployée, découpés sur des ciels d'azur aux nuages immaculés. L'artiste use du gros plan cinématographique, mais aussi de jeux d'association d'images où la mort est désormais très présente. Il propose également des improvisations autour de l'histoire de l'art occidentale et orientale - avec des références aussi variées que Les femmes d'Alger ou les labyrinthes chinois. Né en 1962 à Daqing, Yue Minjun vit et travaille à Pékin. Après une participation remarquée à la Biennale de Venise en 1999, l'artiste a été exposé dans de nombreuses institutions internationales, notamment au San Francisco Museum of Modern Art en 1999, au Queens Museum de New York en 2007, à la Fondation Beyeler à Bale en 201Ï et a bénéficié d'expositions personnelles He Xiangning Art Museum de Shenzhen en 2006, au Queens Museum of Art de New York en 2007 et à la Fondation Cartier à Paris en 2012.

Galerie Templon - 30 rue Beaubourg

Du lundi au samedi de 10h à 19 h

Jusqu'au 28 décembre 2013

13 juin 2013

Exposition : David Lachapelle à la Galerie Daniel Templon - jusqu'au 27 juillet

Le photographe américain David LaChapelle présente pour la première fois en France deux séries radicales, l’inédite Last Supper et Still Life. Mondialement connu pour ses photographies de mode hautes en couleur et mises en scène baroques peuplées de célébrités, David LaChapelle surprend avec une nouvelle orientation qui met en avant son double intérêt pour l’envers du rêve américain et l’histoire de l’art. Informé d’actes de vandalisme perpétrés au musée de cire de Dublin, David LaChapelle, chasseur d’icônes obsédé par la question de la notoriété, s’est rendu sur place pour documenter ces sosies brisés, et a poursuivi son enquête dans d’autres musées aux Etats-Unis, en Californie et dans le Nevada. Le point d’orgue de ces séries est une nouvelle fresque photographique réinterprétant la Cène de Leonard de Vinci. Mises en scènes dans des cartons, les têtes coupées, flottantes, de Jésus, Marie et des apôtres, accompagnées de mains sectionnées mais expressives, recomposent précisément le chef-d’œuvre dans sa version contemporaine. Les fragments de mannequins offrent une vision brute de la piété, en résonance étrange avec l’iconographie chrétienne du martyre. Le thème est récurrent dans le parcours du créateur, qui intègre souvent aux thèmes apparemment les plus profanes des traces du sacré. Un grand panoramique de près de quatre mètres tient autant de la tradition du polyptyque religieux que de celle du collage. Dix ans après l’iconique Homeboy Last Supper où il faisait se rencontrer culture de rue et religion, David LaChapelle ne cesse d’interroger les résurgences spirituelles de notre société de divertissement. Les mannequins de cire bibliques ont été épargnés par le vandalisme, contrairement à ceux de la série Still Life (présentée à l’Impasse Beaubourg). Les photographies y donnent à voir des célébrités de cire déformées, de Leonardo di Caprio à John Kennedy en passant par Madonna ou Lady Diana. Le rendu hyperréaliste des images donne à ces artefacts endommagés, poupées oubliées, un aspect authentique d’autant plus dérangeant que David LaChapelle a le plus souvent déjà photographié les modèles vivants en magnifiant leur plastique conquérante. Les Still Life basculent du côté obscur de la pop culture. Réflexion sur la fragilité de la célébrité et du pouvoir du système Hollywoodien, la série interroge notre attrait pour les répliques, les sosies. Ces ‘natures mortes’ humaines aux visages brisés, renvoient à notre fascination pour le spectacle de la déchéance des héros autrefois adulés. Avec ces portraits effrayants, David LaChapelle revisite avec humanité la figure de nos archétypes.

Un catalogue est édité pour l’occasion « David LaChapelle STILL LIFE », 67 pages – 47 illustrations

« Still Life » de David LaChapelle

Jusqu'au 27 juillet 2013

Galerie Daniel Templon

30 rue Beaubourg 75003 Paris

Entrée libre

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Voir mes précédents billets sur David Lachapelle

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