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Jours tranquilles à Paris
jr
24 janvier 2018

Agnès Varda et JR

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15 janvier 2018

Agnes Varda et JR

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12 janvier 2018

Agnès Varda et JR

jr et

15 octobre 2017

Agnès Varda et JR

jr et

12 octobre 2017

JR et Agnès Varda

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9 septembre 2017

J.R.

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Va-t-il attraper un des garde-frontières américains pour jouer avec? "Kikito", un bébé d'origine et de photographie géante a été installée par @JR, regarde avec curiosité par-dessus la frontière séparée le #Mexique des #EtatsUnis à #Tecate , au nord-ouest du Mexique.

L'idée de cette nouvelle oeuvre est née «il ya un an environ» j'ai fait le rêve d'un enfant regardant par-dessus la frontière », raconte le street-artiste français pas les collages spectaculaires s'insèrent dans l ' espace public. JR s'est réuni avec les artistes de Tecate et de la ville voisine de #Tijuana pour concrétiser son projet. Sans l'aide des autorités, il s'est appuyé sur la pleine collaboration des habitants de cet Etat qui borde la #Californie .

Devant l'interdiction de placer la photo sur la barrière métallique dressée par les autorités américaines, il s'est installé sur le terrain d'une famille modeste, qui a également accepté que le plus jeune de la famille servent de modèle pour la photo en Noir et blanc qui ont été agrémentés d'une exposition. «Il nous ont mis à disposition une partie de leur jardin pour placer l'image, sans savoir que c'est leur neveu que nous allions photographier», raconte JR.

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20 août 2017

Au cinéma ce soir... Visages Villages

Visages Villages- Cinéma d'Etel

SYNOPSIS ET DÉTAILS

Agnès Varda et JR ont des points communs : passion et questionnement sur les images en général et plus précisément sur les lieux et les dispositifs pour les montrer, les partager, les exposer.

Agnès a choisi le cinéma.

JR a choisi de créer des galeries de photographies en plein air.

Quand Agnès et JR se sont rencontrés en 2015, ils ont aussitôt eu envie de travailler ensemble, tourner un film en France, loin des villes, en voyage avec le camion photographique (et magique) de JR.

Hasard des rencontres ou projets préparés, ils sont allés vers les autres, les ont écoutés, photographiés et parfois affichés.

Le film raconte aussi l’histoire de leur amitié qui a grandi au cours du tournage, entre surprises et taquineries, en se riant des différences.

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30 juin 2017

Agnès Varda et JR

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28 juin 2017

Varda et JR sur les routes de France

jr et varda

Jr et

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Par Mathieu Macheret

La réalisatrice octogénaire et le photographe-street-artiste filment leur balade de village en village.

Il y avait sans doute beau jeu d’ironiser sur l’alliance incongrue entre Agnès Varda, faiseuse d’images multisupports, et le photographe JR, réputé pour coller ses tirages monumentaux sur les parois du monde entier, pour ce qui semblait s’annoncer comme une simple bande autopromotionnelle vouée à mettre leurs travaux en avant.

A l’arrivée, Visages Villages, fruit de leur collaboration, financé en partie sur une plate-forme de financement participatif, est un objet beaucoup plus composite que prévu, ouvert aux quatre vents, s’évadant sans cesse du cinéma pour y revenir par la bande, offrant finalement une réflexion décousue sur le regard, cette sécrétion immatérielle de l’œil qui jaillit vers les autres et refaçonne le monde à sa guise.

Après une brève introduction, sous l’égide des peintures murales de Los Angeles que Varda avait filmées dans Murs, murs (1981), celle-ci embarque dans la camionnette de JR, et les voilà partis sur les routes de France, sans plan de bataille, pour dénicher des sujets à photographier et des façades à badigeonner.

Leur promenade improvisée les mène dans un coron du Pas-de-Calais, dans une usine chimique des Alpes, sur le port du Havre (Seine-Maritime) et dans un village fantôme de la Manche. Les projets de collages occasionnent une multitude de saynètes avec les habitants du coin, dont les portraits géants sont placardés sur les murs.

Une mémoire active

A l’image, l’octogénaire et le jeune histrion forment une sorte de duo comique se cherchant gentiment des noises : l’un taquine l’autre sur son âge vénérable et l’autre cherche à faire tomber les éternelles lunettes noires de l’un, pour filmer son regard, comme elle l’avait fait jadis avec Jean-Luc Godard dans Les Fiancés du pont Mac Donald (1961).

Le film navigue ainsi à vue entre reportage télé bucolique (parfois un peu gnangnan) et scènes où l’émotion cinématographique affleure inopinément, comme avec le carillonneur de Bonnieux (Vaucluse), dont les gestes occasionnent un montage ébouriffant, ou devant un blockhaus échoué de Sainte-Marguerite-sur-Mer (Seine-Maritime), repeint au souvenir du photographe Guy Bourdin (1928-1991), dont l’image sera bientôt emportée par la marée.

Visages Villages nous rappelle surtout qu’un film ne naît pas nécessairement d’un scénario, ni même d’un sujet préétabli, mais peut sortir de rien du tout, d’un geste, d’une idée, d’une balade dominicale – les collages géants servant surtout de dispositif transitoire pour collectionner les portraits passagers et les rencontres fugaces.

La beauté du film tient aussi au fait qu’il fonctionne comme une mémoire active, Varda ne cessant de puiser dans son passé de photographe ou dans ses archives filmées pour éclairer le présent. Au bout du chemin, quelque part dans le canton vaudois, se niche pourtant un souvenir plus ingrat que les autres, aux retombées véritablement bouleversantes, mais qui ne disqualifie en rien le plaisir de partir sans bagage à l’aventure.

« Visages Villages », documentaire français d’Agnès Varda et JR (1 h 29). A voir.

21 mai 2017

Save the date : 28 juin - Visages, villages - Agnès Varda et JR

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